Le Souffle au cœur

plus interdit et s'installe dans ce café comme chez lui. 1-Drôles de paroissiens Étrange comportement que celui des consommateurs des cafés qui à l'heure de la fermeture nocturne des établissements se dirigent collectivement derrière les églises au cœur des villages, les "granges respectables" des Premières communions" repeinte tous les 100 ans, pour uriner contre la maison de Dieu avant d'aller se coucher. Uriner sur la maison de Dieu, en guise de prière, en plus de l'offense, c'est une atteinte

Texte étudié : Femme nue, femme noire Vétue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté J'ai grandi à ton ombre; la douceur de tes mains bandait mes yeux Et voilà qu'au coeur de l'Eté et de Midi, Je te découvre, Terre promise, du haut d'un haut col calciné Et ta beauté me foudroie en plein coeur, comme l'éclair d'un aigle Femme nue, femme obscure Fruit mûr à la chair ferme, sombres extases du vin noir, bouche qui faislyrique ma bouche Savane aux horizons purs, savane qui frémis

aussi découvrir ce qu’était l’amitié il y’a des années selon les poètes. J’ai trouvé mes poèmes dans différents recueils au C.D.I mais aussi sur Internet. Mon poème est préféré est sans aucuns doutes celui de Joachim Du Bellay : Qui est ami du cœur est ami de la bourse. J’adore ce poème car il montre bel et bien le comportement des gens face à l’argent. Il a été écrit sans aucuns vices, sans aucune peur de montrer la vision que nous avons de l’argent et les conséquences que l’argent peut avoir

poids de ce dernier. Dans cette maladie, la structure normale du tissu musculaire cardiaque est perturbée et va pouvoir également, outre les perturbations liées à l'hypertrophie myocardique, entraîner des perturbations des fonctions électriques du cœur. La cardiomyopathie hypertrophique peut être d'origine génétique, secondaire à des mutations sur certains gènes codant des protéines musculaires. Elle peut être également conséquence d'un travail en pression trop élevée durant une longue période,

qui s'allonge, Et Vénus, qui pour moi jadis étincela, Tout avait disparu que j'étais encor là. J'étais là, suppliant celui qui nous exauce ; J'adorais, je laissais tomber sur cette fosse, Hélas ! où j'avais vu s'évanouir mes cieux, Tout mon coeur goutte à goutte en pleurs silencieux ; J'effeuillais de la sauge et de la clématite ; Je me la rappelais quand elle était petite, Quand elle m'apportait des lys et des jasmins, Ou quand elle prenait ma plume dans ses mains, Gaie, et riant d'avoir

Et j’avance, le cœur serré, j’avance, transit par le froid, j’avance. Les arbres me paraissent morts, les oiseaux muets, les fleurs fanées. Je jette quelques regards dans le lointain, je dévisage le ciel à la recherche d’un signe, d’un éventuel présage, quelque chose qui me redonnerait l’espoir. Mes larmes coulent, mes membres tremblent, je n’ai que faire de l’image que je renvoie dans ce monde où tout n’est que désespoir. Rien, pas un signe, rien. Un vent inconnu m’entraîne. Serais-je si différente

envahit tout son corps, parcourue son cœur et exalta ses pensés. Il fit glisser le mouchoir lentement jusqu'à son cœur, ses yeux se perdirent dans ses pensées. Après quelques instants il se retourna, posa son regard sur une femme. Il fut éblouie, comme aveuglé par la beauté qu'elle dégagée. Cette délicieuse créature était accoudée à une table, une flûte de champagne à la main. Il découvrit la plus belle femme qu'il lui avait été donné depuis sa naissance. Son cœur s'accéléra jusqu'a cogner dans sa poitrine

revanche faite aux coups du sort, il paraît, parfois, qu’un esprit très bienveillant veuille nous éclairer l’existence. C’est, dirait-on, un cadeau qui nous arrive alors, nouvelle, succès ou rencontre, une pluie en terre de sécheresse ou le feu croisé au cœur de l’hiver. Elle est venue, ainsi, radieuse et mutine, la bouche au trouble passé et l’œil noyé de clair. Si je devine là, mécréant, une main ou, mieux, une baguette féerique, c’est parce que Lucile m’a regardé et adopté. Bien sûr, j’ai voulu lui donner

de chacun des poètes suivants : Ronsard, Rimbaud, Baudelaire, Verlaine, Hugo, Apollinaire, Prévert, Vian, Desnos, Eluard, Ponge Page 2 : Ronsard Mignonne allons voir si la rose Page 3 : Rimbaud Ophélie Page 5 : Verlaine  Il pleut dans mon cœur Page 6 : Baudelaire Enivrez-vous Page 8 : Victor Hugo La plume de Satan et Ecrit au bas d’un crucifix Page 10 : Prévert Sable mouvant Page 12 : Ponge La bougie Page 11 : Eluard Suite Page 13 : Apollinaire Colchiques et Paris Page 15 :

Marceline Desbordes-Valmore …J’ai semé ma joie au sommet d’un roseau ! Au cœur même de ces poèmes qu’on trouve parfois négligés – ma plume court, dira volontiers Marceline – et qui manquent certainement de tout désir de composition, apparaît ce qu’on ne peut dire autrement que par l’idée de lumière. Comme si les mots retrouvaient une intensité, une qualité d’évidence qui seraient en puissance dans chaque chose, un vers puis un autre et un autre encore se détachent de la méditation ou du souvenir