Le Tartuffe Schéma Narratif

formulée après la lecture. 5. Bilan II doit consister en la confrontation des acquis de la vérification avec l'hypothèse générale, et en la formulation d'un jugement critique sur le texte. II° Éléments pour l'analyse des textes I. Le texte narratif | II. Le texte argumentatif | Entrées (outils d'analyse)-structure du texte-rapport dialogue/récit, analyse/récit description/récit-marques temporelles-temps grammaticaux (comprenant modes-énonciation aspects)-narration-énonciation-focalisation-tonalité

ajouta Julien, avec un petit air hypocrite. » 7, « un hypocrite consommé » 8 , calculateur, en particulier dans la scène avec Mme de Rênal, où il s’est donné un objectif, celui de prendre sa main…, rusé : « maitre Tartuffe, dont il savait le rôle » 9 plus loin : « le génie de Tartuffe vint au secours de Julien » 10 , ambitieux : « ambitieux et vif jusqu’au tremblement nerveux. » 11, « j’ai été ambitieux » 12, « l’âme de ce jeune ambitieux» 13, enfin, sensible, rêveur et romantique. Comme nous

Dans le Tartuffe comme dans Dom Juan, l’hypocrite est celui qui feint de se conformer aux préceptes de la religion. Ainsi, Tartuffe admet en privé une conception très singulière du péché : « Et ce n’est pas pécher que pécher en silence. » Cette conception contredit tous les préceptes de la religion pour laquelle le regard des autres est moins important que le jugement divin, auquel il est impossible de rien dissimuler. Uniquement soucieux de la préservation des apparences, Tartuffe affiche une

= Prise de notes 5.2. Les erreurs liées à la pdn 5.3. Le matériel 5.4. Les règles de base 5.5. Procédés abréviatifs pour transcrire rapidement les mots 5.5.1. L’annotation : la pdn la moins coûteuse 5.5.2. Les méthodes séquentielles 5.5.3. Pdn en schémas 5.6. La pdn peut également 5.7. Remarques complémentaires 5.8. Exercices personnels 5.9. Pour aller plus loin 5.10. Résumer et synthétiser une opération intellectuelle complexe 5.10.1. Résumer et synthétiser 5.10.2. Objectif et fonction 5.10.3. Les

esthétique" défini comme "l'écart entre l'horizon d'attente préexistant et l'œuvre nouvelle" et comme la condition du caractère artistique de l'œuvre. J l'illustre en montrant l'exemple de Jacques le F où D déjoue l'horizon d'attente des lecteurs (le schéma romanesque à la mode du récit de voyage) en démontant les mensonges inhérents à la fiction. La notion d'écart esthétique fournit à J un critère de qualité: une gde œuvre rompt avec des formes préétablies, bouleverse les habitudes de lecture et

critiques dont ils sont porteurs. Dans cette appréhension de l’univers de la fiction, on n’oubliera pas que la découverte du sens passe non seulement par l’analyse méthodique des différents aspects du récit qui peuvent être mis en évidence (procédés narratifs et descriptifs notamment), mais aussi par une relation personnelle au texte dans laquelle l’émotion, le plaisir ou l’admiration éprouvés par le lecteur jouent un rôle essentiel. »< Extrait du Bulletin Officiel. 4 Séquence 4 – FR10 © Cned

la morale . Il est fier et orgueilleux , il impose son autorité à tous y compris la morale et la religion . Il vit au jour le jour et profite de chaque moment sans se soucier de l’avenir . En 1665, Molière n'en a pas fini avec la querelle du Tartuffe et cherche encore sa revanche contre les dévots qui l'ont censuré. Mais pourtant, on ne peut pas dire que la naissance de Don Juan est seulement une réponse hostile aux ennemis de son auteur. En effet, en donnant comme dernier mot à Sganarelle le

1674), LA BRUYÈRE (Les Caractères, 1688), s’inspirent d’auteurs grecs et latins. L’esthétique baroque (1580-1650) L’époque classique (1650-1700) Révisions 7 Cned – Académie en ligne Des polémiques opposent MOLIÈRE aux dévots (Tartuffe, en 1664, puis à nouveau en 1667), PASCAL aux jésuites (Les Provinciales, 1656), ou divisent les écrivains (Querelle des Anciens et des Modernes, 1680-1700). Le siècle des lumières (1700-1800) Les découvertes scientifiques encouragent l’esprit

plutôt sa moquerie parce que les aspirations d’un ermite devraient être plus élevées. Avec «gros et gras», l’analogie est frappante avec Tartuffe, le personnage de Molière dont la pièce était tout à fait contemporaine, type lui aussi du dévot hypocrite : «.....il se porte à merveille, Gros et gras, le teint frais, et la bouche vermeille» (“Tartuffe”, vers 234). «Dieu prodigue ses biens» : Les biens donnés par Dieu devraient être uniquement spirituels, mais La Fontaine lance une pointe

plutôt sa moquerie parce que les aspirations d’un ermite devraient être plus élevées. Avec «gros et gras», l’analogie est frappante avec Tartuffe, le personnage de Molière dont la pièce était tout à fait contemporaine, type lui aussi du dévot hypocrite : «.....il se porte à merveille, Gros et gras, le teint frais, et la bouche vermeille» (“Tartuffe”, vers 234). «Dieu prodigue ses biens» : Les biens donnés par Dieu devraient être uniquement spirituels, mais La Fontaine lance une pointe