Le Temps d'aimer et le Temps de mourir

ACTE IV. Cette fois, Andromaque se résout à épouser Pyrrhus, mais elle précise à sa confidente, Céphise, qu’une fois que le roi aura solennellement promis de protéger Astyanax, avant la fin de la cérémonie, elle se donnera la mort (sc. 1). Après un temps de silence, qui étonne sa confidente (sc.2), Hermione demande à Oreste de lui prouver son amour en assassinant Pyrrhus ; après avoir hésité, Oreste accepte (sc. 3). A Pyrrhus, venu lui faire part de son mariage avec Andromaque, Hermione répond en

épouse Tristan, Yseut aux blanches mains de, par jalousie, lui affirma que la voile était noire. Cette nouvelle fit perdre à Tristan la volonté de vivre. Yseut la blonde apprend la mort Tristan, enfin arrivé au chevet de son défunt amant, se laisse mourir de douleur pour rejoindre son amant dans l'autre monde. Cet amour impossible explique le mariage de Tristan avec une autre femme et la vengeance de celle-ci lorsqu’elle découvre l’amour adultère, vengeance qui entraîne la mort des deux amants, dans

 DISERTATION DE PHILO N°1 « SOMMES-NOUS IMPUISSANTS À ETRE HEUREUX » *En quoi le bonheur mène t-il a l'impuissance? *Qu'es-ce qui nous rend puissant ? *L'impuissance face au bonheur n'exprime t-il pas notre refus de mourir ? *Qu'es-ce qui nous rend malheureux ? Nous cherchons le bonheur et la satisfaction dans la consommation, le sexe, les distractions licites et illicites. Rechercher l'âme sœur, accumuler les richesses, partir en aventures, faire des exploits, atteindre le pouvoir et

première chose c'est toi mon bébé. Aimer c'est la moitié de croire, croire c'est déjà aimer. Aimer c'est mourir en soit pour revivre en autrui. Aimer c'est se donner complètement à celui qu'on aime. Aimer, ce n'est pas seulement aimer bien, c'est surtout comprendre. Aimer, c'est se donner corps et âme. Aimer c'est se faire confiance l'un à l'autre, si il n'y a point de confiance à quoi sert d'aimer. Aimer c'est se laisser guider, aimer c'est fermer les yeux et les réouvrir avec un sourire, celui de

au sein du groupe où il est pourtant sans cesse question de fraternité La situation permet alors d’exposer deux types d’engagement bien distincts. Il y a tout d’abord l’engagement de Stepan, qui après un séjour au bagne, s’est vu retiré la force d’aimer et ne possède plus que celle de haïr. Stepan perçoit la révolution comme un déchainement de terreur sans limites. Il est un personnage dépourvu d’amour pour ses semblables, ne comprenant pas le refus de Kaliayev de tuer des enfants pour la juste

y a une double violence Elle utilise l’impératif dans une violence morale quand elle lui demande d’agir vite pour la punir de son amour : v30 : « venge toi, punis moi d’un odieux amour ». Il y a aussi la violence physique, Phèdre veut se punir d’aimer Hyppolyte : v 35 «Voilà mon cœur, c’est là que ta main doit frapper L’impératif est aussi utilisé :v 38 « frappe » A la fin de ce vers, l’expression « de tes coups » évoque la violence. Nous avons vu que la violence est présente du début jusqu’à

actions des Hommes en différenciant ce qui est bon et mauvais car rend honteux un acte mauvais effectué devant un individu qu’on aime. Phèdre établit que l’Etat serait inatteignable s’il composait son armée uniquement d’aimés et d’amants (cf. pédérastie) Seuls les amants acceptent de mourir pour autrui, amour = source de courage permettant reconnaissance des Dieux (cf. Alceste ressuscité, Eurydice refusé à Orphée, Achille récompensé pour avoir vengé Patrocle) 3. Discours de Pausanias Contredit

touriste. Les touristes, bien entendu, ce sont toujours les autres. (Les rencontres des jours, Folio n° 2878, p.29) Dis-moi Qu'as-tu choisi ? Qu'est-ce que tu veux garder ? Que veux-tu conserver dans la tirelire à temps dans ton léger trésor d'instants sauvés ? (Les rencontres des jours, Folio n° 2878, p.32) Pourquoi j'aime écrire des poèmes : Parce que pour qu'un poème surgisse il faut avoir fait le silence et le lisse en soi, et que déjà

simplicité exemplaires est un appel à la vie, pour que l'amour ne soit plus jamais porteur de mort. C'est le 30 novembre 1993 qu'elle a le déclic et elle décide de parler de sa maladie dans les lycées et les universités, afin de montrer qu'en très peu de temps, on peut gâcher sa vie si on ne fait pas attention à ses actes. Elle a aussi eu l'honneur d'ouvrir l'émission "SIDACTION" où elle a fait part de son histoire au public, en terminant son témoignage par une phrase très émouvante : " Ce fut ma première

de journée elle écrit plus tard « je voulais tuer mon frère ainé, je voulais le tuer, arriver à avoir raison de lui une seule fois et le voir mourir