Le Temps retrouvé

TEMPS LITURGIQUE ET RÉPERTOIRE. COHÉRENCES ET FONDEMENTS THÉOLOGIQUES I- SITUATION DU RÉPERTOIRE. 1. Le mot répertoire et fondements théologiques L’usage du terme « répertoire » se fait plus courant au XVIIe siècle. Dans son Dictionnaire universel de 1690, Antoine Furetière en délimite l’usage : « répertoire : lieu où l’on trouve ce dont on a besoin. Les Indices des Livres sont des répertoires qui enseignent où sont traitées les matières qu’on cherche. Les lieux communs sont des répertoires aux

chute se retrouve dans une pièce souterraine. Là, sur une table, elle trouve un petit flacon avec l’indication « bois-moi ». Alice boit le contenu du flacon et rétrécit. Elle mange ensuite un gâteau qui se trouvait sous la table, dans une boîte avec l’indication « mange-moi ». Elle s’attend à grandir, mais il ne se passe rien. • Chapitre 2 : La mare aux larmes Le gâteau fait son effet, et Alice grandit. Elle se met à pleurer, voit repasser le Lapin, puis rapetisse à nouveau. Elle se retrouve alors

malgré la faim rejette des poissons, pourtant acceptables, ne les estimant pas digne de lui. La fille, quant à elle, cherche un mari parfait. Mais faisant la difficile, trouve finalement un malotru. Dans un premier temps nous analyserons le portrait du Héron, puis dans un deuxième temps celui de la Fille et enfin nous étudierons la structure du récit. Plan rédigé  I. Le Héron On le décrit ayant de "longs pieds", un "long bec", et un "long cou" (vers 1 et 2, Un jour sur ses longs pieds allait

La beauté pour Baudelaire est une chose divine et infernale. Dans ce poème, la premiere partie est consacrée à la naissance de la rêverie, la femme est un intermédiaire entre la réalité et le rêve, le physique et le spirituel, elle est en même temps la muse du poète et l’entraine dans un paysage idyllique dans lequel les femmes sont franches et où les hommes ont un corps vigoureux. Comme à son habitude Baudelaire fait appel aux cinq sens (“Je respire l'odeur”, “Je vois se dérouler des rivages

jeune femme au destin tragique et de son lien sentimental avec celui qu'elle considère comme son frère et protecteur. Nous devons déterminer en quoi le passage s'inscrit-il dans le registre lyrique, tragique ainsi que pathétique. Dans un premier temps, nous analyserons la dimension lyrique, puis la présence du tragique et enfin la prédominance du pathétique. Tout d'abord, dés que l'on rentre dans le texte, on peut apercevoir l'utilisation de la première personne du singulier (comme l'indique

propre existence lui échappe, d'autant plus qu'il se retrouve complètement ancré dans un univers. De plus, l'affirmation d'une responsabilité de son existence ne constitue-t-elle pas un leurre lorsque l'on prend en compte des facteurs extérieurs? En effet, est-ce-que l'homme tient réellement les commandes de son avenir? N'est-il pas baigné dans un contexte socioéconomique le poussant à agir et à penser de la même façon que le dictent son temps et son cadre de vie? Prenons l'exemple de certaines

L’HORLOGE » Situation du poème : évocation du temps qui passe, thème lyrique qui fait apparaître l’angoisse de la mort qui nous hante et qui est la principale source du Spleen. Dans quelle mesure ce poème fait-il apparaître la fatalité de la condition humaine ? I. L’horloge symbolise le temps qui passe A. Entre personnification et animalisation Nous retrouvons la personnification de Dieu au vers 1 démontrant que l’implication du temps va au delà de l’humanité mais aussi par l’accumulation

sur les passions humaines portant sur le conflit qu’elles engendrent avec les concepts de la vertu et de la raison. Cette réflexion se retrouve notamment dans La Princesse de Clèves , publié anonymement par Mme de Lafayette en 1678 ; il s’agit également de l’un des premiers romans éponymes d’analyse psychologique. L’œuvre

au rêve de prendre toute sa place. On retrouve cette dimension dans la poésie ; c’est le cas du poème « Déjà la nuit », où Du Bellay évoque notre monde dans un cadre fantastique. Dans un autre registre littéraire, on peut citer les fables de La Fontaine (« Le gland et la citrouille ») ou même encore le conte philosophique « Candide » de Voltaire, où à première vue, l’histoire racontée suscite la curiosité du lecteur et son intérêt ; et dans un second temps, cette fonction distractive va s’effacer

énoncés. Juste avant notre passage, il arrive à Loisy et retrouve Sylvie ; mais cette dernière a fêté toute la nuit et se fait alors ramené par notre narrateur chez elle afin qu’elle alle se reposer. Malgré les courtes retrouvailles, la narrateur a déjà pu remarqué quelques changements chez Sylvie du fait de sa lecture de « la Nouvelle Héloïse » de Rousseau. Pendant : Le narrateur, désirant revoir Sylvie, décide pour faire passer le temps d’aller se distraire par une balade à Ermenonville, plus