Le Texte De Jason Et La Toison D Or

suffisamment large des sources antiques du personnage dans l’article de Marie-Adélaïde Debray, « Orphée et Médée. Approche comparative de deux gestes mythiques », Folia electronica classica, n° 4 (2002). Pour une étude complète voir Alain MOREAU, Le Mythe de Jason et Médée, Paris 1994. Médée n’est d’abord que l’un des personnages marquants du cycle épique des Argonautes, déjà bien connu d’Homère (Odyssée, XII, 70) et de son contemporain Hésiode (Théogonie, v. 958-961) ; le cycle sera repris plus tard (au 3e

Tableau récapitulatif : 9 c) Les Dieux et leurs attributs : 11 d) Neptune : 15 2. Le culte : 19 a) Les lieux du culte : 19 b) Les prêtres : 21 c) Le culte : 23 III. LES HEROS GRECO-ROMAINS : 25 1. Hercule : 25 2. Jason : 29 [pic] [pic] [pic] LES DIEUX DOMESTIQUES : Les cultes domestiques sont pratiqués exclusivement par les patriciens*. Ils sont fondés en grande partie sur la croyance à l'immortalité de l'âme. Chaque famille honore les divinités

qui tua ses propres enfants pour se venger de son mari, Jason. Le sujet de Médée ne retrace en réalité que la seconde partie des aventures de Jason et Médée, qui s'étaient rencontrés lors de l'expédition de la Toison d'Or2. En effet, Pélias, l'oncle de Jason, après avoir dépouillé son père du trône de Iolchos, en Thessalie, décida d'envoyer son neveu conquérir la célèbre Toison d'Or, simple prétexte pour l'éloigner. Arrivés en Colchide, Jason et les Argonautes se virent imposer par Aétes, roi de Colchos

large des sources antiques du personnage dans l’article de Marie-Adélaïde Debray, « Orphée et Médée. Approche comparative de deux gestes mythiques », Folia electronica classica, n° 4 (2002). Pour une étude complète voir Alain MOREAU, Le Mythe de Jason et Médée, Paris 1994. Médée n’est d’abord que l’un des personnages marquants du cycle épique des Argonautes, déjà bien connu d’Homère (Odyssée, XII, 70) et de son contemporain Hésiode (Théogonie, v. 958-961) ; le cycle sera repris plus tard (au

Sentiments : La nostalgie, la mélancolie, le regret, la douleur… Structure : C’est un sonnet = 2 quatrains + 2 tercets en alexandrins (ABBA ABBA CCD EED) On a des rimes suffisantes (2 syllabes) ou bien riches (3 syllabes) Il y a aussi dans le texte des « rimes internes », c’est-à-dire des mots qui riment à l’intérieur du vers. C’est le cas avec le mot « palatin » et « marin ». Espaces blancs entre les strophes Enfin, dans ce travail sur l’écriture poétique de du Bellay, on peut noter les nombreux

Table des matières 2 Introduction 4 Chapitre I 5 La biographie de Théophile Gautier et son œuvre 5 1.1 Théophile Gautier, sa vie et son œuvre. 5 Chapitre II 10 La beauté idéale dans La Toison d’Or 10 2.1 Le mythe grec de la Toison d’or 10 2.2 La femme peinte et la femme réelle dans La Toison d’Or. 17 Mademoiselle de Maupin - « hymne à la beauté » 19 3.1. La recherche de l’amour 19 3.2 L’androgynie idéale 22 3.3 « Hymne à la beauté ». 24 3.4 Tiburce et d’Albert – la comparaison

d’être éduquer. Comme un enfant l’amour a besoin d’être éduqué. C’est pourquoi Eros est représenté comme un enfant. Eros Aristophane : Selon Aristophane l’amour est né dans un œuf clair c'est-à-dire un œuf qui n’a pas été fécondé. Lecture d’un texte sur les oiseaux qui sont des êtres supérieurs d’Aristophane. Eros est le père même de la fécondité est né à partir d’un œuf clair. Le désir nait de lui-même. il n’a ni père ni mère et c’est le désir qui réunit le reste de l’univers. Eros Orphique :

Médée qui, après avoir aidé Jason lors de la conquête de la Toison d'or, et quitté la Colchide pour l'accompagner, est répudiée par celui-ci, qui lui préfère la princesse Créuse. Médée, ne pouvant supporter une telle humiliation, entreprend de se venger. Au début de l’acte V, la vengeance est déjà en cours : le messager, Theudas, nous apprend que Créuse et Créon agonisent. Mais ce début ne suffit pas à calmer la fureur de Médée. Celle-ci projette maintenant de blesser Jason, qui l’a trahie, en assassinant

monstrueuse et apparait comme un pur artifice théâtral et non comme le rassemblement d´indices donnés auparavant par le texte En effet, se calquant sur le principe tragique de la fatalité, Euripide nous offre une Médée conçue d´une façon telle que tout au long de l´œuvre on est guidé vers la monstruosité ultime exécutée par la magicienne. Dès lors, on pourrait dire que le texte en entier est la préparation du crime final puisque, dès le prologue, la nourrice nous apprend que Médée « […] abhorre

d’une double rencontre. Ainsi, dans le programme du théâtre de Sartrouville, on lit : « convoquer Médée la magicienne ici et maintenant exigeait pour Laurent Fréchuret deux conditions : une nouvelle traduction de Florence Dupont, afin d’établir un texte clair, laissant apparaître sa structure musicale, ses ruptures, ses contrastes, et la présence de Catherine Germain pour faire le voyage avec cette héroïne hors normes ». Il s’agit pour Laurent Fréchuret d’« inventer la résurrection de Médée », devenue