Le Theatre Est Un Miroir De La Realite

ce ton là que l’on a retenu pour définir le genre en opposition à la comédie. Le XVIIe siècle place la tragédie au sommet, perfection de l’art dramatique ; la farce occupe la dernière place. Personnages, sujets, etc… Amusement, elle n’est qu’un miroir des mœurs populaires. Ne peut correspondre à l’idéal classique qui est de « plaire et d’éduquer ». Pour Diderot, elle trouve sa dignité, fondée sur le mouvement et la chaleur. La « sottie » est un genre qui met en scène des fous et permet une

opposantes (son petit miroir à barbe 8), des forces adjuvantes (cette figure-là 28, la résolution et l’indépendance 29, une haute glace 5). Le personnage n’existe qu’à travers un programme : la réussite et la conquête amoureuse (auprès des dames 20). On assiste dans cet extrait à la création du personnage par lui-même. Comme dans un conte de fées le miroir est l’instrument magique de la transformation : « Voilà une excellente invention » (33). L’antithèse « petit miroir » (8) / « haute glace »

une fiction qui ne privilégie pas seulement le divertissement. Tertio : être un miroir de l’existence’’. Ainsi, en suivant les dire de Jonathan, après avoir montré que le cinéma est avant tout sujet à divertir, il s’agira de rappeler que le cinéma est aussi un art comme les autres et comme tout art nous fait réfléchir, a une fonction plus poussée, et pour finir, nous montrerons que le film est un reflet de la réalité et de nous même. Comme le dit Jonathan Demme, (auteur du célèbre

une réelle prise de conscience quant aux relations humaines. Nous ferons dans un premier temps un parallélisme entre le contexte socio-politique et les idéologies, les convictions de l’auteur. Ensuite, nous analyserons comment à travers sa pièce de théâtre l’auteur souligne l’impact que le comportement des autres a sur la société. JP Sartre, orphelin de père et emprisonné pendant un an durant la 2ième guerre mondiale a, de par son vécu, assisté aux nombreuses injustices liées à l’occupation allemande

et se retrouve dans une maison de redressement. Il inversera les valeurs de la société et prônera la mort, l’exécution comme une apothéose, car il a grandi à l’inverse de ce que la société défend : la protection des enfants et la justice. Il est le miroir à l’envers de l’ordre moral. Il tombe ensuite dans la prostitution et s’offre aux touristes masculins. Sartre et Cocteau lancent Genet. Louis Jouvet lui commande une pièce : Les Bonnes. Genet est l’écorché vif au langage ordurier. 2-Faites un

En outre le cinéma à souvent pour but de dénoncer et de faire réfléchir sur des phénomènes de sociétés comme, Gomorra, un film italien qui expose la réalité du sud de l’Italie où la mafia règne. Et n’est-ce pas le but d’un grand nombre d’artistes dans tous les domaines ? Picasso et son célèbre Guernica, Victor Hugo et ses pamphlets en ragés contre Napoléon III ou encore les nombreux chants populaires contestataires comme la Marseillaise qui a été composé par Rouget de Lisle pendant la Révolution

l'illusoire, le grotesque et le sublime, le mensonge et la vérité) Bien souvent il traite des thèmes comme : - l’inconstance, - l’illusion (pièce de théâtre L'Illusion comique de Corneille) - les figures minérales, - la métamorphose - le travestissement ou le déguisement (comme dans L'Astrée), - le rêve, le songe, - le sommeil, le miroir, le double, le corps humain, la vanité des choses. La mort est souvent un thème récurrent dans les œuvres baroques, intimement liées au domaine de l'évasion

2000) Rééd. LGF - Livre de Poche, 2004 - LGF - Livre de Poche, 2008. - Retour à Montechiarro, roman, Editions Fayard, Paris, 2001. (Prix Rossel des jeunes) - Vae Victis, roman (longue nouvelle) sous le pseudonyme de Baptiste Morgan, Le Grand Miroir, Bruxelles, 2001. - Mon voisin, c'est quelqu'un. Nature morte V, roman, sous le pseudonyme de Baptiste Morgan, Editions Fayard, Paris, L'instant même, Québec, 2002. - Requiem vénitien, roman, Éditions Fayard, Paris, 2003, Livre de Poche, 2004.

goût des contrastes et des jeux sur les mots, par des visions souvent symboliques aux couleurs violentes, horribles ou au contraire idylliques, par la métamorphose des formes (ex. au théâtre, goût des pièces à machines). C’est le règne de l’inattendu (ex. apparition au théâtre du personnage de Don Juan), des jeux de miroirs, du chatoiement des surfaces (celles des éléments : eaux, neige, glace, nuages - celles des bêtes : papillons, oiseaux), de l’attirance pour l’ostentation (ex. le héros cornélien)

prêt la lumière s'allume" D'où également l'importance des gestes et des mouvements : presque davantage du mime que du théâtre : absence de parole ou de notation sonore (les chaises elles-mêmes descendent "doucement") : un monde antérieur à la naissance de la parole ? Mais la mise en scène ne peut durer : au théâtre, tout est calculé jusqu'au bout et "ça marche" ; ici, le théâtre lui-même va basculer dans le flou d'abord, puis dans un univers encore plus confus. Pourquoi ? 3. Un univers déshumanisé