Le Theatre Reflete Il Réalité

sur le monde des filles , enquêter sur le terrain et observer Paris, il utilise une technique ''d'observation et d'expérimentation '' en vue de créer un véritable ''document humain ''. Cette phrase du célèbre auteur résume parfaitement sa vison et reflète quelque peu le symbolisme qu'il revendique .'' Pour Nana, écrivit Zola, les réquisitoires dépassent tout ce qu'on peut imaginer… J'ai cherché à mettre de l'humanité sous mes phrases, j'ai eu l'ambition, sans doute trop grande, de vouloir planter debout

la poésie italienne. Thèmes essentiels : L’exaltation du sentiment amoureux La fuite du temps et la mélancolie La beauté féminine, reflet de la splendeur de l’univers L’immortalité de la poésie Procédés d’écritures : -L’utilisation de l’alexandrin -Multiplication des métaphores et des allégories

méditation sur l’Homme et sur soi • le dialogue incessant du maître et de l’élève • l’instruction du Prince et des Puissants sur leurs devoirs. • l’exaltation du sentiment amoureux • la fuite du temps et la mélancolie • la beauté féminine, reflet de la splendeur de l’univers • l’immortalité de la poésie -l’usage des sentences et des maximes, -la citation de la Bible et des textes de l’Antiquité, -interpellation du lecteur -l’utilisation de l’alexandrin -multiplication des métaphores

de la virtuosité de l’artiste. (Corneille, L’illusion Comique 1636) -Théâtre, roman, poésie, genres ouverts à tous les jeux formels. Le classicisme : En réaction contre l’exubérance du Baroque, le classicisme cherche à créer des modèles, en fondant chaque genre littéraire sur des règles de construction claires et rigoureuses. Ils revendiquent l’usage d’un style simple et naturel. (La Fontaine, Fables 1668-1693) -Théâtre, fable, portrait, favorisant l’analyse morale et psychologique. 18ème

Introduction Le théâtre est l'endroit idéal pour interpeller les gens tout en les faisant rire mais aussi réfléchir à la représentation théâtrale. Certains procédés comme les différents comiques (de gestes, de situations, de mots et de caractères), la caricature, la déformation, l'exagération, le changement de rôles et l'écart permettent, bien sûr, de se détendre mais aussi, et surtout, de corriger les moeurs d'une société et de porter un regard proprement humain sur la réalité humaine. Ainsi, le

futurs acteurs. Il s’agira donc dans cette scène de voir en quoi dans cette scène se joue le théâtre, ou qu’est-ce que nous dit cette répétition intrascénique de la pièce de Marivaux. Nous verrons tout d’abord la structure de la scène et les préparatifs de la pièce, puis dans un second temps le badinage galant et le marivaudage, et enfin dans un troisième temps le phénomène de théâtre dans le théâtre. I) Les préparatifs de la pièce : A) Structure du passage : B) Les personnages : II) Le marivaudage

Étymologiquement, le mot théâtre renvoie à l'action de regarder. Dès son origine on le conçoit comme un spectacle qui requiert des acteurs et un public. Un lien se créé entre comédiens et spectateurs. Barthes, dans Essais Critiques, déclare " le spectateur ne doit jamais s'identifier complètement au héros, en sorte qu'il reste toujours libre de juger les causes, puis les remèdes de sa souffrance ". Face à une pièce de théâtre, le spectateur peut rester dans son rôle en instaurant une distance

Giraudoux écrit dans « l'Impromptu de Paris » : " Le théâtre c'est le réel dans l'irréel " Qu'en pensez-vous? Résumé de la dissertation ' I. Oui, le théâtre est « le pays de l’irréel » : tout y est fait d’artifices et de conventions. - le comédien qui feint l’émotion - le langage qui est inventé par l’auteur - le décor et les objets qui sont symboliques II. Cependant, le théâtre porte à la scène les rêves du spectateur dont le « cœur humain » se cherche. Paradoxe : c’est dans un lieu où

tournant dans sa vie car après celle-ci il n'écrira plus que des tragédie. Il est l'aîné d'une famille de 6 enfants, en 1641, il épouse Marie de Lampérière, avec qui il aura sept enfants dont un mort une semaine après sa naissance. Le théâtre de Corneille reflète les valeurs comme l'honneur et les grandes interrogations, sur le pouvoir par exemple. Bibliographie Les principales pièces de Corneille sont : Mélita (1629) Médée (1635) Le Cid (1637) Andromède (1650) Œdipe (1659)

Il est donc nécessairement en décalage avec la réalité. Il peut essayer de la retranscrire, comme la comédie humaine de Balzac, ou les œuvres de Zola; la rendre plus poignante, mais il ne peut pas la reproduire. On peut donc difficilement lier le roman à des problèmes concrets et réels. D'après Stendhal « un roman, c'est un miroir que l'on promène le long d'un chemin » ;le roman se doit d'être le reflet de la réalité mais il ne reste qu'une réalité partielle, et l'auteur ne montre que ce qui l'intéresse