Le Théâtre Doit Il Refléter La Réalité

Le rôle de l'acteur aux théâtre, au travers de ces différentes conception. L'acteur a) qu'est-ce que être acteur b) acteur ou comédien? Plusieurs forme d'initiation ( d'école) a) Les différentes techniques La techniques du dramaturge La techniques du metteur en scènes b) les techniques de l'acteur La Teichoscopie La

Tartuffe, I, 1 v1-84 Auteur : Molière Date de naissance et mort : XVIIème Biographie : auteur de pièce de théâtres Thèmes : Année de publication : 1664 puis 1669 Problématique : comment le problème de la présence et de l’influence de Tartuffe, infiltré dans cette famille, va être soulevé et lancer le conflit ? Intro : Mollière, auteur reconnu et apprécié du roi Louis XIV. Fait jouer Tartuffe en 1664 lors d’une fête de Versailles. LE peuple est divisé sur la question religieuse. Le roi l’interdit

transforme la réalité sans la dédoubler , sans la faire vaciller, il n y a aucun sens indirect. Il n'y a aucun duel, aucune disturbance. Tout est là, rien de plus. Le studium s'y exprime. Les photos de reportage par ex le sont souvent : il n'y a pas de punctum. Il y a peut être du choc mais pas de trouble. Cette photographie unaire peut crier mais pas blesser. Un autre exemple: la photo pornographique, toujours naïve, sans intention et sans calcul. 6. . Dans la préface du Théâtre et son double

qui tente de dévoiler au public le visage des acteurs : Utilise le théâtre comme lieu de son expérience : théâtre : lieu de jeu, de l'illusion/ / en opposition avec action de l'individu cette illusion : «  révéler » « dans sa vérité » / masque en opposition visage naturel . Violence de l'action marquée par le verbe « arracher » . Réaction : Interrogation négative / question rhétorique = violence de l'action de l'individu qui doit être marqué par une réaction violente « expulsent à coups de pierre »

à la frontière entre le XVIIe siècle et le XVIIIe siècle, de 1660 à 1715. Il se définit par un ensemble de valeurs et de critères esthétique fondée sur la perfection . Le classicisme concerne la littérature du XVIIe siècle, en particulier le théâtre mais aussi d'autres arts comme la musique, la peinture ou l'architecture. Le classicisme est plus qu’une simple mode artistique éphémère, c’est avant tout une  philosophie, une façon de voir les choses qui est née avec la Renaissance et les pensées

être considérés comme des êtres réels ? Pour répondre à cette question, nous allons voir en premier lieu en quoi le statut de personnage s’oppose au réel, puis en quoi ceux-ci peuvent être considérés comme réels selon une différente conception de la réalité, et dernièrement en quoi leur présence au sein d’un roman les exclus finalement de l’univers du réel au profit de celui de l’art. Tout d’abord, certains auteurs font délibérément usage de personnages invraisemblables grâce à la liberté créative

Le jeu de la Feuillée, D’Adam de la Halle, a certainement été composé entre 1276 et 1277 en picard. Le théâtre profane du XIIIe siècle est pour la littérature un véritable laboratoire. Le Jeu de la feuillée  met en scène Adam, le poète, vêtu en clerc, sa famille, ses voisins, et trois fées. Adam de la Halle mêle dans cette pièce le motif merveilleux du repas de fées, invitées sous la feuillée par les chrétiens, et le thème du congé, qui est traité sur un ton grinçant, dans un style vif et familier

plus facile de toucher si il est déporté du théâtre à la réalité, c’est la raison pour laquelle la folie est représentée sur une scène qui entretient un rapport de ressemblance avec le réel. Mais au-delà de l’illusion théâtrale, les auteurs jouent chacun avec l’illusion qui est ressenti par le fou, la chimère de son monde intérieur et de sa vérité intérieure. Ces pièces sont les représentantes des plus grandes périodes du théâtre qui sont chacune illustrée par un projet idéologique;

que d’un ensemble de douze sonnets à la fin de l’œuvre intitulés Les Chimères. Nerval est un écrivain du mouvement romantique, il est né le 22 mai 1808 et est décédé le 26 janvier 1855. Cet auteur s’essaya à de nombreux genres littéraires tels le théâtre : il se trouvait en collaboration avec Dumas (Léo Burckart), le roman, la poésie, les études et les nouvelles, nous étudierons donc comment l’auteur mélange les genres dans ses textes et nous nous intéresserons plus particulièrement au genre la nouvelle

de « dire » sa pensée et ses sentiments (II). Toute parole n’est-elle pas cependant une « construction », une « information » de ce qui est dit (don d’une forme), toute parole n’est-elle pas « création » ? (Variante : la parole est-elle le simple reflet de la pensée ?). I : La parole dissimulatrice 1 : La parole comme don ambivalent -Explication littérale de la phrase. -Le don fait référence aux mythes ou aux textes religieux, l’une des explications possibles de la naissance de la parole