Le Théâtre Doit Il être Lu Ou Vu

propreté et à cette élégance qui charment vos yeux, vous font hésiter sur le choix, et prendre le parti d'essayer de tout ; si vous voyez tout le repas ailleurs que sur la table bien servie, quelles saletés ! quel dégoût ! Si vous allez derrière un théâtre, et si vous nombrez les poids, les roues, les cordages, qui font les vols et les machines ; si vous considérez combien de gens entrent dans l'exécution de ces mouvements, quelle force de bras, et quelle extension de nerfs ils y emploient, vous direz :

absorption libre, il y a une sorte de distance, comment un plaisir éphémère peut-il être tellement intensif

fait refermées, et sur l'histoire de laquelle pèse cependant comme une chape de silence. Dans les deux cas il peut s'attendre à un récit linéaire, chronologique, et à des descriptions savoureuses ou cruelles, mais réalistes. Un tel lecteur ne peut être que déconcerté par un roman où les descriptions sont rares, où les récits sont multiples et enchevêtrés, tout comme les points de vue narratifs, où les chronologies ne semblent pas respectées, où certains passages sont répétés. Et certes la description

fait refermées, et sur l'histoire de laquelle pèse cependant comme une chape de silence. Dans les deux cas il peut s'attendre à un récit linéaire, chronologique, et à des descriptions savoureuses ou cruelles, mais réalistes. Un tel lecteur ne peut être que déconcerté par un roman où les descriptions sont rares, où les récits sont multiples et enchevêtrés, tout comme les points de vue narratifs, où les chronologies ne semblent pas respectées, où certains passages sont répétés. Et certes la description

Au début du XVIII siècle, Voltaire a écrit un conte philosophique : Candide. Celui-ci peut être défini comme une « composition légère » par son aspect de conte et par le monde et les personnages présents dans cette œuvre. Mais à travers cet aspect divertissant, l’auteur use d’armes littéraires telles que l’ironie et le burlesque pour critiquer entre autres la société de l’Ancien Régime et les institutions religieuses. Par exemple, dans la scène de l’autodafé, l’auteur ridiculise cette cérémonie sacrée

Bayonne, puis à Paris, où il étudie au lycée Montaigne puis au lycée Louis-le-Grand. Il obtient le baccalauréat en 1935 et s'inscrit en lettres classiques à la faculté des lettres de l'université de Paris, où il contribue à fonder le « Groupe de théâtre antique de la Sorbonne » et obtient la licence ès-lettres en 1939 (certificats d'études grecques, d'études latines, de littérature française et d'histoire de la philosophie). Réformé, il échappe à la mobilisation, arrête ses études et devient délégué

La pension Vauquer Depuis « Mme Vauquer, née de Conflans, est une vieille femme […] » à « des cœurs desséchés ou des crânes vides ? » Introduction : -Situation du roman dans l’oeuvre -Il s’agit de l’incipit, lieu où l’intérêt du lecteur doit être à la fois « capté » par la richesse des possibles romanesques et renseigné pour comprendre les prémices de l’intrigue -Dans cet extrait, Balzac aiguise l’intérêt du lecteur en proposant de fausses pistes. Il joue avec les attentes du lecteur par

d'apporter quelques modifications au texte initial. Ainsi, j'ai supprimé les passages que je considérais comme inutiles et j'ai adapté, d'une part, son langage à celui d'aujourd'hui, d'autre part le ton d'un écrit intime à celui d'un récit destiné à être lu par tous. I Hypocrisie sous le second Empire a) Valeur morale 1. Autorité 25 janvier 1857 Cet après-midi, je me suis rendu au salon de Madame de Clatigny dans le quinzième arrondissement, quartier

charmant et Margueritte aussi. Prudence s’informe beaucoup sur Gaston. Armand couche dans l’appartement de Margueritte et vers 5h du matin, celle-ci le réveil et il doit quitter, parce que le duc va arriver. La maîtresse donne une clef à Armand et lui envoie une lettre disant de venir la rejoindre au théâtre. Lorsqu’il arrive au théâtre, il remarque que Margueritte et Prudence son avec le compte de G… Armand va rejoindre les femmes et discutent avec elles pendant que le compte va chercher des bonbons

costumes PEGGY STURM Stagiaire costumes ARMELLE MARBET Son JEAN FARAVEL Lumières JEAN-PHILIPPE ROY Sculpture SYLVIE DE MEURVILLE Collaboration artistique FRANÇOIS REGNAULT Maquillages, perruques KATRIN ZINGG Accessoires GEORGIE GAUDIER Production Théâtre de Carouge-Atelier de Genève NOTE D’INTENTIONS Comme Œdipe, Arnolphe porte la faille dans son propre nom, saint Arnoul étant considéré, depuis le Moyen Age, comme le patron des maris trompés. Dès lors, toute sa vie semble tourner autour de cette