Le Théâtre Sert A Divertir

 et le plaisir qu’il trouve dans la lecture d’une œuvre littéraire[1]. Sur ce sujet, Franz Kafka avait un avis bien tranché. Dans une lettre à Oskar Pollack datée du 27 janvier 1904, l’écrivain affirme qu’ « on ne devrait lire que les livres qui vous mordent et vous piquent. Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d’un coup de poing sur le crâne, à quoi bon le lire ? […] Un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous »[2]. Pour lui, une œuvre littéraire doit réveiller la conscience

Introduction [Amorce] « Car enfin, qu’est-ce qu’un homme dans la nature ? » s’interrogeait Pascal au xviie siècle dans ses Pensées… Cette interrogation fondamentale sur l’homme n’est propre ni au siècle, ni à l’écrivain. La Condition humaine est le titre d’un roman de Malraux qui obtint le prix Goncourt en 1933… Voilà qui indique clairement l’importance et le rôle de la littérature dans la réflexion et l’évolution des idées sur l’homme et les sociétés humaines. [Problématique] D’où vient donc

médias et innovations sociales II- Objectifs et finalité des médias III- Influence des médias , 4ème pouvoir, village planétaire, mal de l’info I- a) La Presse 1434 : Gutemberg 1631 : La Gazette est fondée par Renaudot, 1605 : 1er périodique « les nouvelles d’Angers » 1846 : La Presse devient une industrie grâce à la rotative La Presse est la 1ere liberté accordée, elle est la condition aux autres libertés, politique public personnelle. Malgré tout la presse se bat contre la

commune. Mais parvient-il toujours à remplir ce rôle premier ? En effet, le risque majeur dont souffre la communication, c’est d’être victime de l’équivocité du langage. Ainsi personne ne peut nier, avoir au moins une fois dans sa vie du faire face à cette barrière, que peut être l’ambiguïté de notre langage ; car si nous pouvons traditionnellement définir le sens des termes que nous utilisons, bien souvent ces définitions rencontrent des limites et nous ne sommes jamais à l'abri des ambiguïté du langage

grande exposition d’art dégénéré à Munich en 1937. Pour ce qui est du volet musical, je mettrai en lumière les musiques écoutées pendant la période de la domination allemande. Nous verrons que la musique fut très présente autant dans les moments festifs que ceux atroces. Je poursuivrai en parlant du cinéma et ferai un bref résumé de l’aspect théâtral et littéraire de l’époque. Pour terminer ce travail, j’ai choisi de vous parler d’un peintre allemand qui a attiré ma curiosité par ses œuvres

seconde moitié de la scène d’exposition. Après avoir entendu Sostrate se lamenter alors qu’il se croyait seul, Clitidas se donne pour mission de découvrir le mystère derrière cette mélancolie amoureuse (p. 9 : « Ah ! Mon cœur, ah ! ») CARACTÉRISATION : À travers ce dialogue entre Sostrate, l’illustre général de basse naissance, et Clitidas, le valet bouffon de la cour d’Aristione, la scène d’exposition

« Longtemps j’ai pris ma plume pour une épée ». Sartre, écrivain français du 20ème siècle, auteur de romans, de pièces de théâtre, d'écrits philosophiques et de biographies est l’intellectuel engagé type. Il a en effet mis toute sa vie et sa littérature au service de son engagement. Il a notamment écrit au lendemain de la deuxième guerre mondiale : « Les mains sales ». Cette pièce de théâtre relate l’histoire d’Hugo, un « gosse de riche » chargé de tuer le chef du parti communiste, Hoerderer, ordre du Parti

C. Prénom : Marie Date de naissance : 25 juin 1943 à Olmeto (Corse du Sud), âgée de 68 ans Nationalité : Française Langues : français, Corse, Italien, bonnes notions d’Anglais Profession et situation : aujourd’hui retraitée, Mme C. était conseillère principale d’éducation dans l’éducation nationale Domicile : 63 cours Napoléon 20000 Ajaccio Situation familiale : célibataire sans enfant Religion : catholique peu pratiquante Personne à prévenir : Mr Martelli (son voisin) Personne de confiance

A quoi peut bien servir l'art ? A embellir nos salon ? A nous divertir ? A gagner de l'argent ? La question est depuis longtemps au cœur des réflexions sur l'art. Celle-ci est vaste et ardue car l'art et protéiforme et s'est transformé à travers les siècles. Les mots qui composent cette question nécessitent eux-même un éclaircissement. Tout d'abord "inutile" indique que quelqu'un peut tirer de son opposé « utile », en parlant de l'Art, un bénéfice ou un avantage quelconque de quelque chose. Quant

e registre comique Le mot « comique» se trouve associé à deux notions. D'une part, on parle de comique par référence au genre de la comédie; d'autre part, on l'associe au rire: est dit comique ce qui déclenche le rire, mais la comédie ne fait pas toujours rire. La registre comique dont nous parlons ici correspond au second sens, même si certains extraits qui l'illustrent sont eux-mêmes issus du théâtre. Analyser les raisons pour lesquelles rient l'auditeur d'une histoire drôle, le lecteur d'un