Le Totalitarisme 1ere S

n’est pas responsable des idées universelles qu’il défend. C’est pourquoi, des penseurs, comme Thomas Hobbes ou Carl Marx, bien qu’ils ne soient pas qualifiés d’intellectuels compte tenu de leur époque, ne peuvent être tenus pour responsable du totalitarisme induit par leurs théories universelles. En revanche, dès lors que l’intellectuel intervient dans le champ politique, sa responsabilité, sinon juridique du moins morale, est engagée. Cela explique la responsabilité de penseurs comme Carl Schmitt

les pays européens perdent leur statut de puissances invincibles pour les peuples colonisés. Des principes nouveaux : la Charte de l’Atlantique (août 1941) - La seconde guerre mondiale est une guerre pour les libertés et un combat contre les totalitarismes. La Charte de l’Atlantique (août 1941), annonciatrice de l’ONU et exprimée par Churchill et Roosevelt, pose comme principe fondamental “le droit de chaque peuple de choisir la forme de gouvernement sous laquelle il doit vivre”. Bien sûr, Churchill

En clair, il préconise un système préfigurant le système américain après l'indépendance, c'est à dire un régime présidentiel. C. La consécration politique du libéralisme : la Révolution de 1789 (Déclaration des Droits de l'Homme et 1ere Constitution de 1791). Une conception libérale des libertés. a. Les libertés sont purement « individuelles ». Ici, il n'est pas question des libertés collectives car les groupements sont encore vus à l'époque comme un facteur

devenu impuissant des questions qui émanent des communautés : il y a donc un paradoxe. On est dans une crise des fondations représentatives ou l’individu l’emporte sur le politique. Il n’y a pas de libertés sans pouvoir. Autoritarismes et Totalitarismes : C’est la possibilité de classer les régimes politique (Antiquité grecque). Il y avait une démarche normative (une démarche qui repère la forme idéale) Au 19° siècle, cette question du meilleur régime est écartée par la toute nouvelle science

tensions diplo° avec mouv° ouvriers sôc · 2 axes réflexion :Belle Epoque = 1ère Mondialisation (cf S. Berger) avec € ouvertes (Ø avant 1984) : libre-échange ++ · Fin avec conflit + € fermes

cad si le peuple est la seule limite, alors ce peuple peut tout faire et son pvr est véritablement absolu. C’est pq la C soviétique se présentait comme la plus démocratique du monde, ce qui est vrai en un sens. La démo a un penchant inné vers le totalitarisme, et toutes les démocraties totalitaires ont vu ds le peuple la source du pvr. Elles reconnaissent toutes comme légitimes les actes qui émanent authentiquement du peuple. La démo totalitaire accomplit plus parfaitement les 2 postulats impliqués

« containment » (= endiguement), pour stopper la vague communiste, marquer l’arrêt de son expansion avec les pays communistes en 1947. Les USA = défenseurs de la démocratie (= garants des droits individuels et la souveraineté des peuples) contre le totalitarisme soviétique. 2. Le plan Marshall = traduction économique de la doctrine Truman, aide éco pour aider les pays à se reconstruire. CAR la misère entraîne le communisme (selon la doctrine deTruman) 5 juin 1947 : Truman présente le plan aux

Après la GF, l'ONU peut faire preuve d'une plus grande efficacité et élaborer des règles de droit international qu'elle va s'attacher à faire respecter dans le monde. C'est dans cette logique que s'inscrit le droit d'ingérence, énoncée pour la 1ère fois par Kouchner, responsable de Médecins sans Frontières en 1991: le droit d'ingérence s'appuie sur la Déclaration Universelle Des Droits De l’Homme de 1948 pour justifier une intervention étrangère dans un pays si sa population est en danger. Ce

A) ROOSEVELT fait entrer les USA dans la guerre. Doc2 : ce texte évoque les 14 points de WILSON du 8 janvier 1918. WILSON : (1856-1924), 28ème président des USA, il a fortement était impliqué dans la négociation de paix. 1918 : fin de la 1ère Guerre mondial, création de la SDN. Destinataire : membre du congrès des USA Thème : Programme de paix. ROOSEVELT prend tardivement conscience que la politique d’apaisement est inefficace devant Hitler. Bien que refuser d’intervenir dans le conflit

La méthode de la localisation restreint donc trop durement la volonté des parties au contrat international, qui de par sa nature, appelle une souplesse particulière. Aussi, comme le soulignait, une fois encore le professeur Battifol, « entre le totalitarisme et un individualisme négateur de la loi, c’est-à-dire de la société, il faut trouver un moyen terme » (l’illustre auteur considérait que la méthode de localisation moniste atteignait ce « moyen terme »). La méthode suivit désormais par la Cour