Le Travail Rend Libre Hegel

entendre la finalité des œuvres d’art elles-mêmes. Qu’attend-on des œuvres d’art ? • Kant, Critique de la faculté de juger : rendre compte de ce qu’est l’esthétique, du rapport entre l’esprit et la nature, le jugement esthétique et le vivant. • Hegel, Cours d’Esthétique. - L’esthétique est un mot qui apparaît au XVIIIème siècle (Baumgarten) venant du grec « aisthésis » qui signifie sensation, sentiment. • Le mot désigne à la fois ce que nous sentons et ce que nous ressentons → perception

porter atteinte à l’autrui. 2e idée secondaire : Le travail, un autre produit social aide l’Homme à se dépouiller de l’animalité et à s’épanouir malgré ses limites de l’existence naturelle. Il permet à l’être humain de développer son corps et son esprit, de se construire des repères et des idéaux pour accéder au bonheur et à son harmonie. - Exemple : « N’est-ce pas alors par le travail que l’Homme peut réaliser son humanité ? » -- Hegel, Phénoménologie de l’esprit, la dialectique du maître

Pourquoi travailler- Fiche bilan travailPourquoi travailler? Fiche bilan I. LE TRAVAIL COMME CAUSE DE SOUFFRANCE DANS SON ESSENCE MÊME 1) Quelle raison à la pénibilité du travail ? (Prométhée chez PLATON et MARX) Revenir à la fonction première de la technique La nature de l’homme est paradoxalement technique Distinguer raison, justification / cause, explication matérielle Conception matérialiste 2) La cause du travail derrière les mythes : une nécessité vitale (ARENDT) Transformer la

Sujet : Le travail n'est-il qu'une contrainte ? Le travail de la nature est nécessaire, essentiel, c'est-à-dire qu'il ne peut pas ne pas être. En ce sens, il s'exerce depuis toujours, de l'époque de la Grèce antique à aujourd'hui. De là, ne peut-on pas penser que le travail n'est qu'une contrainte et rien d'autre ? Spontanément, l'opinion répondrait par l'affirmative puisque nous sommes bien tous forcés de travailler pour subvenir à nos besoins dans un débat plus ou moins direct avec la nature

si cette conscience de soi, si elle est possible, ne permet-elle pas d’agir en «  connaissance de cause », en maitrisant ce que l’on n’est capable de faire sans subir des déterminismes ? Autrement dit, la conscience de soi rend-elle plus libre ? 1-      Avons-nous un libre accès à la conscience de soi ? A-    un «  moi » qui est multiple La question « Qui suis-je ? » peut sembler insolite dans la mesure où, au-delà du simple fait de décliner son identité, personne d’autre que moi n’est mieux

l’imagination. « Rien de grand ne s’est fait dans le monde sans passion » HEGEL L’ART : Recherche du Beau (sentiment de complétude) s’ajoutant ou se substituant à la nature. Le Beau est émotion – le chef d’œuvre porteur d’une vérité universelle témoignage d’humanité – gratuité – Réhabilitation de la sensibilité comme chemin d’accès à la liberté – « le beau rend la vie supportable » NIETZSCHE LE TRAVAIL : Son but, la transformation de la nature dans un sens utile à l’homme pour la

que je pense. Hegel: l'homme doit constituer la conscience de soi, elle n'est pas donné toute constitué, mais doit être obtenus par des activités. Affirmation: double existence de l'homme qui doit être constitué par l'activité théorique et l'activité pratique. 2) Les illusions de la conscience 1ère illusion 2ème illusion Impuissance relative à l'illusion : Spinoza: l'homme voit le meilleur, l'approuve et fait le pire. Spinoza: les hommes se croient libre car ils sont conscient

primitives Ethnocentrisme : tendance à privilégier la culture à laquelle on appartient et à en faire le seul mode de référence  Critique du regard ethnocentrique sur les sociétés primitives  Sociétés primitives : grande part réservée au loisir, temps libre, jouissance, la propriété privée n’existe pas, sociétés d’abondance  Cela fait apparaître beaucoup de manques dans nos sociétés : manque d’égalité, de contact avec la nature, d’épanouissement…  Sociétés non coercitives mais qui ont quand même

Rousseau = Autrui désigne mon semblable, c'est-à-dire tout être qui vit et qui souffre, avec lequel je m'identifie dans l'expérience privilégiée de la pitié (Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes). - Chez Hegel = Autrui, donnée irrécusable comme existence sociale et historique, est, dans une relation intersubjective, constitutif de chaque conscience dans son surgissement même. Il se définit comme désir, non pas simple désir d'objet mais désir de désir, désir

Le travail Le travail est-il une punition ou l’essence même de l’homme ?
 Le travail comme punition
«Tu travailleras à la sueur de ton front», dans cet extrait de la Genèse, le travail prend la forme d’une ultime punition de Dieu faite à l’homme qui ne pourra plus récolter les fruits de la nature sans effort. Cette conception se retrouve au coeur même de l’étymologie du terme «travail» : il provient du latin tripalium, qui désigne un instrument de torture. Si dans l’Antiquité grecque le travail