Le Triomphe de l'amour

mains de son fils Rodrigue qui, déchiré entre son amour et son devoir, il tue le père de Chimène en duel. Chimène essaie de renier son amour. Mais l’attaque du royaume par les maures donne à Rodrigue l’occasion de prouver sa valeur et d’obtenir l‘amour de Chimène. Plus que jamais amoureuse de Rodrigue devenu un héros national, Elle promet d’épouser le Rodrigue reçoit du roi la main de Chimène : mais s’il revient victorieux le mariage sera célébré. Les personnages Don Rodrigue, fils de Don Diègue

sur sa tempe le froid du pistolet […] la fin » Séance 9 : La mort de Silvère et le triomphe des Rougon. Présentation du passage : Le roman s’achève comme il avait commencé sur le personnage de Silvère et le lieu, l’aire Saint-Mittre. L’ancien cimetière où on prit racine les Rougon-Macquart. L’intrigue arrive à son terme, pendant la semaine du 7 au 14 décembre 1851, le bonapartiste triomphe. Pierre Rougon est devenu le maître de Plassans tandis que les Insurgés républicains ont été

Don Juan et l'amour fidèle, crée par l'utilisation du pluriel pour les premières ( "toutes les autres beautés", "toutes les belles", "elles", "toutes"), et du singulier pour le dernier avec l'utilisation du champs lexical de l'amour pour le décrire ( "l'amour", "un tel amour" ). L'expression de la pluralité démontre que Don Juan considère les femmes comme un tout, les incluant toutes dans un même ensemble. Dans la seconde partie, le champs lexical de la guerre est dominant ( "triompher", "combattre"

Corneille, le personnage Horace, représente le patriotisme et le sens du devoir pour sa patire, sa sœur Camille, amoureuse et encolère se met en conflit avec lui en lui repprochant de se prendre à son amant. Très fidèle à sa patrie , l'amour à patrie triomphe à l'amour de sa sœur. Un dilème tragique ou Horace décide de tuer sa sœur car il lui repche la haine envers Rome et la trahison à sa patrie et un amour impossible. Le courage de Horace le mène à la défaite car il tue sa sœur par amour de sa patrie

conception de l'amour redoublent donc la difficulté d'en donner une définition universelle. Le substantif « amour » a néanmoins une extension moins large que le verbe « aimer » : on parlera rarement, par exemple, d'« amour » des sucreries, même si l'on dit les « aimer ». Le sens du verbe « aimer », qui peut aussi exprimer l'amitié, ou plus simplement une affection pour quelque chose qui est source de plaisir, est donc plus large que celui du mot « amour ». Bien que la nature ou l’essence de l'amour soit

confondus l’un avec l’autre et ne savent pas de quoi parle l’autre personne. “Appelez-vous cela un vol?” (Valére); “Si je l’appelle un vol? Un trésor comme celui-là!” (Harpagon). “Un dieu qui porte les excuse de tout ce qu’il fait faire, l’Amour” (Valére); “L’Amour?” (Harpagon). Aussi on trouve le comique de caratère car Harpagon est un avare et il veut tous pour lui. Il accuse Valére de lui avoir volé ses Louis d’or. Harpagon ne partage rien avec personne et moins son argent. Texte 2: Dans

traces de la grandeur furieuse qui viennent de la transfigurer ont disparu ». A nouveau le dilemme. La femme reprend le dessus sur la déesse. La colère contre Œdipe se déverse désormais sur Anubis quelle traite avec mépris « Chien ! Tu m’as menti ! ». L’amour de Némésis pour Œdipe est clairement dévoilé. Dans un premier temps, elle traduit le comportement d’Œdipe comme une course effrénée vers son amour « Œdipe a rebroussé chemin, il court, il vole, il m’aime, il a compris ». Tous les mouvements sont interprétés

de l’amour est dans le changement. Ce personnage veut s’opposer à Dieu à travers le mariage qui est un lien sacré. En ne respectant pas la fidélité envers les femmes, il trahit sa foi envers Dieu. • Hypothèse : Plaidoyer de Don Juan en faveur du donjuanisme ( il a le droit et le devoir de séduire toutes les femmes et ainsi il s’attaque à la fidélité et donc à la religion. ((St sacrement du mariage) 1) Une description du donjuanisme : a) Maximes : « Tout le plaisir de l’amour est

de la magnificence (p 45 à 54, présentation élogieuse de la cour et de ses membres) - Les usages de la cour dont l’auteur de par son style précieux se fait la défenseuse - L’amour véritable sublimé par une vertu à toute épreuve (Mme de Clèves) Une vision pessimiste de l’amour - Le mariage « raté » de la princesse de Clèves et de son mari - La mort, lot des passions ? =Elisabeth de France victime de la jalousie de son mari, M. de Clèves de son amour

L’exil, l’amour, et la séparation dans la Peste En publiant la peste en 1947, Camus s’inspire des éléments authentiques de l’épidémie qui a fait rage en Algérie en 1941-1942. En même temps, son expérience pendant la guerre où il se sentait « étranger » en métropole, et séparée de sa mère se révèle ici: « la première chose que la peste apporta à nos concitoyens fut l’exil » dans la mesure où les portes de la ville sont fermées, et Oran est coupée du reste du pays, et par la même occasion du