Le Trône de fer

suite l’empereur germain ne s’en prendra militairement à la France. Il a été incapable de soumettre le roi de France. En 1250 meurt le dernier grand empereur du Moyen-Âge, Frédéric II Hohenstaufen, et s’ouvre alors une période dramatique de vacance du trône impérial, période qui durera trente ans. C’est le coup de grâce porté aux prétentions universelles de l’Empire. B Émancipation au pape Depuis Grégoire VII, le pape se prétend supérieur à tous les rois, et même à l’empereur. Dans un premier temps

Après avoir évoqué les diverses générations d’hommes qui l’on précédé (l’âge d’or, l’âge d’argent, l’âge de bronze, l’âge des héros), Hésiode évoque l’âge de fer. Plût aux dieux que je ne vécusse pas au milieu de la cinquième génération ! Que ne suis-je mort avant ! que ne puis-je naître après ! C'est l'âge de fer qui règne maintenant. Les hommes ne cesseront ni de travailler et de souffrir pendant le jour ni de se corrompre pendant la nuit ; les dieux leur enverront de terribles calamités. Toutefois

Histoire : Les « poilus ». La guerre de 1914-1918 débute par l'assassinat de l'héritier du trône d'Autriche-Hongrie, François – Ferdinand le 28 juin 1914, par un étudiant bosniaque qui souhaite le rattachement de la Bosnie à la Serbie. L'engrenage des alliances transforme durant l'été 1914, un conflit local dans les Balkans en un conflit européen puis plus tard en 1917, en un conflit mondial. Ce conflit s'achève le 11 novembre 1918 par l'armistice suite à la capitulation allemande. Les soldats

appelle ce période «siècle de Louis XIV ». 1. «L’état, c’est moi.» ----- L'apogée de l'absolutisme Également connu sous le nom du Roi-Soleil, Louis XIV renforce la monarchie qui devient monarchie absolue de droit divin. Louis XIV accède au trône quelques mois avant son cinquième anniversaire, mais, après une minorité marquée par la révolte de la Fronde, il n’assume personnellement le contrôle du gouvernement qu’à partir de la mort de son ministre principal, le cardinal Mazarin, en 1661. La

que pour cette infamie ? Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ? Mon bras, qu’avec respect toute l’Espagne admire, Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire, Tant de fois affermi le trône de son roi, Trahit donc ma querelle , et ne fait rien pour moi ? Ô cruel souvenir de ma gloire passée ! Œuvre de tant de jours en un jour effacée ! Nouvelle dignité fatale à mon bonheur ! Précipice élevé d’où tombe mon honneur ! Faut-il de votre éclat

s’appelle BOSSUET. C’est un évêque de MEAUX, il est précepteur de Dauphin. Dans cette ouvrage BOSSUET formule définitivement la théorie de droit divin è Dieu gouverne tous les peuples et leur donne à tous leurs droit, en conséquence « le trône royale n’est pas le trône d’un homme mais de Dieu lui même, quiconque s’oppose au roi qui est le ministre du roi, se comporte en ennemie de Dieu » cad que le sujet doit être soumis autant au roi qu’à Dieu. Cette théorie constitue la justification religieuse du

grand texte d’anthropologie politique. Mais cette vaste exploration ramène sans cesse à sa thèse centrale : l’esclavage comme unique relation. Suivons quelques-unes des pistes, et commençons par les gestes et le corps. Celui de l’esclave est marqué au fer rouge, sur le cou et sur les mains, son oreille fendue. L’esclave agenouillé, tend le bras, la tête. Il lève les yeux vers son maître. Celui-ci offre sa main qui exige l’hommage. Sur la main noble (charifa), on pose ses lèvres. « Le baiser de l’imâm

à choisir Sophie. On peut penser sans trop d’erreur, qu’après les difficultés de succession créées par des revendications du trône de divers partis, Elisabeth Ière est décidée à ne pas avoir de complications diplomatiques ou de revendications extravagantes. De plus Sophie est jeune et inexpérimentée en politique : elle ne représente apparemment pas de danger pour le trône de Russie. De son coté Sophie (pas exactement la jeune fille a laquelle pense Elizabeth) comprend ce qui se joue. Loin d’être

de larmes orageux, Passe le vif éclair de la joie et des jeux, Pour relever ta tète blonde, Que veux-tu ? Bel enfant, que te faut-il donner Pour rattacher gaîment et gaîment ramener En boucles sur ta blanche épaule Ces cheveux, qui du fer n'ont pas subi l'affront, Et qui pleurent épars autour de ton beau front, Comme les feuilles sur le saule ? Qui pourrait dissiper tes chagrins nébuleux ? Est-ce d'avoir ce lys, bleu comme tes yeux bleus, Qui d'Iran borde le puits sombre

Antigone : fille d'Œdipe, sœur d'Étéocle, Polynice et Ismène, cette jeune fille est l'héroïne de l'histoire qui porte d'ailleurs son nom. Elle est décrite comme « pas assez coquine » par son entourage. Mais cela ne l'empêche pas d'avoir une volonté de fer (ce qui la poussera à affronter son oncle Créon en essayant d'enterrer son frère). Créon : frère de Jocaste (femme et mère d'Œdipe), légitime roi de Thèbes après la mort des deux princes ennemis, Créon est un souverain âgé, réfléchi et courageux. Il