Le Vase Brisé

mais la chaleur se trouve atténuée par la brise marine, alors qu’en hiver, les moyennes mensuelles sont supérieures à 12 °C[7]. Emmanuel Grevin parle ainsi de « cinquième saison » à Djerba : « À Sfax, l’hiver vous aura quittés ; à Gabès vous trouverez le printemps ; à Tozeur l’été ; et à Djerba vous découvrirez la cinquième saison. Mais oui Monsieur, la cinquième saison, ce climat spécial à l’île de Djerba, si étrange, fait de sécheresse extrême, de brise marine, de fraîcheur et de rosées nocturnes

d’ordre « Brise », « ressuscite ! », « Arrache », « Sors », « dresse-toi ». On peut remarquer qu’il s’agit principalement de verbes d’action, qui invitent le lecteur à se révolter et à agir. c. Le poète s’adresse au peuple français : « Français ! », « Ô France ! ». Les marques de l’énonciation sont visibles dans les impératifs qui s’adressent directement à l’interlocuteur : d’abord les Français, dans une 2e personne du pluriel (« craignez »), puis le lecteur pris individuellement (« Brise »). d. Le

sont encore reliés par une corde subtile et extensible, appelée : Corde d'argent. Une extrémité de cette corde est attachée au coeur par l'atome germe. Le départ des forces de l'atome germe cause l'arrêt du coeur. Mais la corde d'argent n'est pas brisée tant que le Panorama de la vie, inscrit sur l'éther réflecteur du corps vital, n'a pas été passé en revue. Ce panorama se présente à la conscience de l'homme en sens inverse. Il commence par les scènes de la vie précédant la mort et se termine à

Inexpériente de l'amour et docile au discours, une jeune fille peut se laisser séduire ; mais pour ces sortes de femmes, un homme doit savoir, comme monsieur de Jaucourt, ne pas crier quand, en se cachant au fond d'un cabinet, la femme de chambre lui brise deux doigts dans la jointure d'une porte. Aimer ces puissantes sirènes, n'est−ce pas jouer sa vie ? Et voilà pourquoi peut−être les aimons−nous si passionnément ! Telle était la comtesse de Lanty. Filippo, frère de Marianina, tenait, comme sa soeur

« les collines », « les barrages », « des torches ». La dimension du phénomène est cosmique : « maître du monde souterrain », « vannes célestes », « toute la Terre », « les assises de la Terre ». La fragilité du monde des hommes, comparé à un vase qui se brise, rend compte également de la violence du phénomène. u La quête de l ’ immortalité ( pp . 20 à 23) 26. Ut-Napishtim demande à Gilgamesh de ne pas dormir sept jours d’affilée afin de tester sa résistance. En surmontant de nombreux obstacles

Il fait à sa table royale Asseoir ses barons et ses pairs, Au milieu de l'antique salle D'un château que baignaient les mers. Alors, le vieux buveur s'avance Auprès d'un vieux balcon doré; Il boit lentement, et puis lance Dans les flots le vase sacré. Le vase tourne, l'eau bouillonne, Les flots repassent par-dessus ; Le vieillard pâlit et frissonne... Désormais il ne boira plus. Elle ouvre l'armoire pour serrer ses habits, et voit l'écrin. Vite, je la revois revenir. FAUST Allons, allons

le rubis, la perle et le saphir, Afin qu’à mon désir tu ne sois jamais sourde ! – 41 – N’es-tu pas l’oasis où je rêve, et la gourde Où je hume à longs traits le vin du souvenir ? – 42 – XXIV Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne, Ô vase de tristesse, ô grande taciturne, Et t’aime d’autant plus, belle, que tu me fuis, Et que tu me parais, ornement de mes nuits, Plus ironiquement accumuler les lieues Qui séparent mes bras des immensités bleues. Je m’avance à l’attaque, et je grimpe

crinière lourde Sèmera le rubis, la perle et le saphir, Afin qu’à mon désir tu ne sois jamais sourde ! N’es-tu pas l’oasis où je rêve, et la gourde Où je hume à longs traits le vin du souvenir ? 25 XXIV Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne, O vase de tristesse, ô grande taciturne, Et t’aime d’autant plus, belle, que tu me fuis, Et que tu me parais, ornement de mes nuits, Plus ironiquement accumuler les lieues Qui séparent mes bras des immensités bleues. Je m’avance à l’attaque, et je grimpe

Sèmera le rubis, la perle et le saphir, Afin qu’à mon désir tu ne sois jamais sourde ! – 41 – N’es-tu pas l’oasis où je rêve, et la gourde Où je hume à longs traits le vin du souvenir ? – 42 – XXIV Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne, Ô vase de tristesse, ô grande taciturne, Et t’aime d’autant plus, belle, que tu me fuis, Et que tu me parais, ornement de mes nuits, Plus ironiquement accumuler les lieues Qui séparent mes bras des immensités bleues. Je m’avance à l’attaque, et je grimpe

publique et la foule ressemblaient à la mer, quand la tempête s'élève. Tous s'enfuyaient en désordre et surtout à l'endroit où le corps allait s'abattre. Zarathoustra cependant ne bougea pas et ce fut juste à côté de lui que tomba le corps, déchiré et brisé, mais vivant encore. Au bout d'un certain temps la conscience revint au blessé, et il vit Zarathoustra, agenouillé auprès de lui: “Que fais−tu là, dit−il enfin, je savais depuis longtemps que le diable me mettrait le pied en PREMIÈRE PARTIE 9 Ainsi