Le Vent Nocturne

ma vie russe. Et ce déchirement était si aigu et en même temps si exaltant que je dus fermer les yeux. J’eus peur de ne plus pouvoir revenir à moi, de rester dans ce soir parisien. En plissant les paupières, j’aspirai profondément. Le vent chaud de la steppe nocturne se répandait de nouveau en moi. (р.57) Charlotte agit magiquement sur ses petits-fils. Elle les hypnotise par son monde. Les mots «la magie», «l'hypnose» souligne sa forte influence sur son petit-fils et sa petite fille. Nous les

L'ERMITE À LA SANTE ANNIE AUBADE CHANTÉE À LŒTARE UN AN PASSÉ AUTOMNE AUTOMNE MALADE LES CLOCHES LES COLCHIQUES LES FEMMES LES FIANÇAILLES LES SAPINS BEAUCOUP DE CES DIEUX ONT PÉRI CHANTRE CLAIR DE LUNE CLOTILDE CORS DE CHASSE LES SEPT ÉPÉES LE VENT NOCTURNE LE VOYAGEUR LUL DE FALTENIN MAI CORTEGE CRÉPUSCULE HOTELS LA BLANCHE NEIGE LA CHANSON DU MAL-AIMÉ MARIE MARIZIBILL MERLIN ET LA VIEILLE FEMME NUIT RHÉNANE PALAIS LA DAME L'ADIEU LA LORELEY LA MAISON DES MORTS LA PORTE PŒME LU AU MARIAGE D'ANDRE

Cette joie d’avoir quelqu’un à aimer Oh ! Mon cœur est René Depuis que je t’ai rencontré. Avec toi je peux voyager sur mille et une contrées Sans ressentir nul gène Les hirondelles, le matin, me chantent ta beauté Les grillons dans leur nocturne concert ne font que proclamer ta gracilité Quand je pense à toi le temps semble s’arrêter, Pour me montrer que tu es l’incarnation vivante d’Aphrodite Qu’à cote de toi, miss chine n’est qu’une laide hypocrite Etre avec toi me parait être dans

temps » L’ACTION DES PRINCIPAUX FACTEURS LIMITANTS LA PHOTOPERIODE La photopériode joue un grand rôle dans l’écologie des êtres vivants. vivants. Au cours du cycle nycthéméral, alternent une période d’obscurité : SCOTOPHASE (période nocturne) et une période d’éclairement: d’éclairement: PHOTOPHASE (période de la journée). Leur journée). durée relative détermine la photopériode. Elle photopériode. varie selon la latitude et les saisons. saisons. ACTION DE LA PHOTOPÉRIODE CHEZ

« Mai », « La synagogue », « Les cloches », « La loreley », « Schinderhannes », « Rhénane d’automne », « Les sapins », « Les femmes » • « La maison des morts », « Automne malade », « Les colchiques », « Marizibill », « Saltimbanques », « Le vent nocturne », « La tzigane », « Automne ». Les premiers appartiennent à ce cycle car ils font allusion d’une manière ou d’une autre au Rhin, et parce qu’ils ont été écrits durant la période allemande d’Apollinaire, faisant également et implicitement aussi

soir que la fenêtre était ouverte, et que, assise au bord, elle venait de regarder Lestiboudois, le bedeau1, qui taillait le buis, elle entendit tout à coup sonner l’Angelus2. On était au commencement d’avril, quand les primevères sont écloses ; un vent tiède se roule sur les plates-bandes labourées, et les jardins, comme des femmes, semblent faire leur toilette pour les fêtes de l’été. Par les barreaux de la tonnelle et au-delà tout alentour, on voyait la rivière dans la prairie, où elle dessinait

jamais ne viennent en nos pays trop peuplés, s’arrêtaient presque infailliblement dans ces branchages séculaires comme s’ils eussent connu ou reconnu un petit coin de forêt des anciens temps demeuré là pour leur servir d’abri en leur courte étape nocturne. Dans la vallée, c’étaient de grands herbages arrosés par des rigoles et séparés par des haies ; puis, plus loin, la rivière, canalisée jusque-là, s’épandait en un vaste marais. Ce marais, la plus admirable région de chasse que j’aie jamais vue,

m’a-t-il précisé. Bien qu’ayant marchandé, je ne pus éviter d’y laisser la quasi-totalité de mes économies. J’interrogeai une dernière fois le vieillard qui m’indiqua où je pourrais trouver l’ancienne propriétaire de l’instrument. Poussé pas un vent d’hiver, mes pas se dirigèrent tout droit vers l’immeuble où vivait la violoncelliste. J’étais arrivé devant la porte de son appartement. Le bâtiment était vieux et en mauvais état ; on entendait les cris des disputes de certains foyers à travers les

esprit colore, Quelques vers, groupe informe, embryons près d'éclore, Puis vous les aviez mis, prompts à vous accorder, Dans le feu, pour jouer, pour voir, pour regarder Dans une cendre noire errer des étincelles, Comme brillent sur l'eau de nocturnes nacelles, Ou comme, de fenêtre en fenêtre, on peut voir Des lumières courir dans les maisons le soir. Voilà tout. Vous jouiez et vous croyiez bien faire. Belle perte, en effet ! beau sujet de colère ! Une strophe, mal née au doux bruit de

Comme si je voulais te prendre de ta vie ! ...Mais en vain... car à peine une dernière foisT'ai-je envoyé mon cœur suprême au bout des doigts,En me retrouvant seul sur le pavé sonoreDans la rue où là-bas ta vitre brille encore,Je sens parmi le vent nocturne s'exhalerTout ce que j'avais pris de toi pour m'en aller...Et de tout son trésor mon cœur triste se vide,Car ton subtil amour, ô femme, est plus fluideQue l'eau vive, qu'on puise aux sources dans les boisEt qu'on sent, malgré tout, fuir au travers