Le Vivant Matière Esprit

Ne suis-je que cette conscience ou, dans les termes de Descartes, une chose pensante ? Il n’est pas besoin de réfléchir longtemps pour voir combien une telle réduction est absurde, contraire à ce que nous vivons. A l’évidence je ne suis pas un pur esprit : je suis incarné. On ne saurait décrire la condition humaine en faisant abstraction de sa corporéité. Mais, à vrai dire, Descartes n’ignore pas que nous avons un corps. Loin de là. Le corps joue un rôle essentiel dans son œuvre, il en est même l’un

Introduction Le cerveau est cet organe qui rassemble l'ensemble des fonctions cognitives d'un vivant et forme le système sensoriel. La nature matérielle et physique du cerveau réside dans l'activité neuronale qui s'y déploie à l'intérieur et permet de produire des réflexions, de construire des relations entre les données extérieures que les sens reçoivent. En ce sens, le cerveau s'assimile à la pensée, laquelle réside dans l'activité consciente ou inconsciente d'un moi sujet de ses actions. Souvent

La distinction entre âme et corps, esprit et matière diminue peu à peu. De plus en plus, on créée des machines très performantes, et au cours du temps la science arrive à expliquer le mécanisme de l’homme. Nous avons deux principes vitaux : notre esprit pensant et notre corps matériel. Soit les deux sont confondus, soit l’un domine l’autre. C’est un grand combat entre mécanicistes et vitalistes. Mais certaines choses qui sont en nous sont difficiles à expliquer par une pensée ou l’autre : notre

problème = constat de l’originalité de la vie : - c’est une réalité différentes des autres, donc la question de son principe se pose. - Cette originalité de la vie appelle une cause spéciale d’un genre diff des causes intervenant dans la réalité non vivante. - La vie est en effet autoproduction, auto construction, spontanéité du mouvement. Le principe de la vie sera d’ailleurs une réalité à laquelle on pourra attribuer ces caractéristiques. Conséquence : le pb de l’âme : C’est le principe de l’âme :

Qu’est ce que l’homme ? •          OPINION (réponse la plus commune) : corps et esprit    --> d’où la multiplication des questions : avoir un corps/ être un corps •          DICTIONNAIRE : l’homme est un être appartenant à l’espèce animale la plus évoluée de la Terre D’où vient l’homme, qui est il et où va-t-il ?                                                                                                                                                                                   

(dualisme) : l’esprit, l’âme (essence = pensée) et la matière, le corps (essence = étendue) La portée épistémologique (philosophie des sciences, théorie de la connaissance) de cette hypothèse : La conception Cartésienne de l’âme est en rupture avec la tradition qui considère l’âme comme un principe vital. Pour Aristote tous les êtres vivant ont une âme (sensitive, végétative et intellectuelle). «L’âme est cause et principe du corps vivant » Au 17e siècle l’âme = fonction pensante qui n’a rien

pensée traversa mon esprit. Comment les choses ont-elles commencé ? Qu’y avait-il à leur origine ? Par la suite, je suis allée faire mes recherches qui m’ont tout de suite renvoyé à la Bible. Celle-ci trace un monde crée par un Dieu, un esprit éternel, c’est-à dire hors du temps. En ce sens, c’est donc l’esprit, en latin spiritus, signifiant le souffle, qui est à l’origine du monde. Si nos corps ne sont que souffle, ce qui les constitue sont-ils seulement l’image de notre esprit comme l’homme est

comprendre en quoi, pourquoi et comment l’espèce humaine s’est différenciée des autres espèces animales ? Mais aujourd’hui les études de plus en plus fines sur le comportement animal (éthologie animale) et la connaissance des structures du vivant ainsi que l’explication de leur émergence et de leur évolution au cours de l’histoire des espèces fragilisent la barrière ou la frontière infranchissable que certains philosophes avaient érigée entre l’homme et l’animal. Faut-il accepter sans réflexion

La raison et le réel : la démonstration, l’interprétation, matière et esprit, le vivant, la vérité Il s’agit d’aborder le problème de la connaissance, la raison étant la faculté de notre esprit par laquelle nous procédons à l’établissement de cette connaissance et le réel ce qui est l’objet de cette connaissance. Quelques précisions terminologiques - la conscience / la raison par ma conscience, je me représente le réel, par la raison, j’essaie de la comprendre. La raison est cette faculté

lieu déterminés, son identité continuera donc d’être déterminée à chaque fois par son rapport à ce moment et à ce lieu aussi longtemps qu’il existera. La même chose vaudra finalement pour tout corpuscule matériel qui reste le même pourvu qu’aucune matière ne lui soit ajoutée ou soustraite. Car, encore que ces trois sortes de sub­stances, comme nous les appelons, ne s’excluent pas l’une l’autre de l’occupation d’une même place, nous ne pouvons les concevoir chacune pour son compte que comme excluant