Le Volcan d'or

yeux Non de biais comme ailleurs SJI de la Cruz La vie prodigieuse de Juana Inés Ramirez de Asbaje donne lieu à une antithèse exceptionnelle par rapport à son époque et à son genre. Née à San Miguel Nepantla, Mexique, un hameau sur les pentes du volcan du Popocatépetl sous le royaume de la « Nouvelle-Espagne ». La date de sa venue au monde n’est pas claire pour ses historieurs. Il est établie que le 2 décembre 1648 fut baptisée une petite fille « Inés, fille de l’Eglise ». Nonobstant d’autres sources

redoutables, 278 D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Dans cette phrase, le sang représente la lignée de Phèdre. En effet, dans la mythologie grecque, Vénus est Aphrodite, mariée à Héphaïstos, dieu du feu, des forges, de la métallurgie, des volcans. En latin, on l’appelle Vulcain. C’est vrai qu’il n’est pas très beau, et qu’il est toujours très occupé. Alors Vénus le trompe avec un dieu beaucoup plus séduisant : Arès (ou mars en latin) le dieu de la guerre. Mais Hélios qui a toujours l’occasion

Ouitalios, en les rapprochant du grec étalon (anciennement Wetalon) signifiant : « veau ». Une autre étymologie est proposée, sur le rapprochement de it- et de aithô, en grec : ce verbe signifie « brûler », et on le retrouverait dans le radical du nom du volcan Etna. Sa présence serait justifiée du fait que, « Italie » étant un nom donné par les Grecs, venant de l'est, ils voient le soleil couchant rougeoyer et brûler l'horizon à l'endroit de la péninsule. On trouve le terme aithalia également utilisé à

dans le nord de la Lozère Alvernhe (c'est la lettre "h" qui rend le son "i" mouillé ou "gn" dans la toponymie de l'Auvergne). Le mot reste féminin. Le blason de l'Auvergne, d’or au gonfanon de gueules bordé de sinople, a été pris par Guillaume IX d'Auvergne. Avant lui, les comtes d'Auvergneportaient : "de gueules à la bande d'or" (qui était l’ancien blason des comtes de Châlon). Il aurait pour origine la bannière qu’aurait porté l’aïeul de sa mère Adélaïde de Brabant, Eustache III, comte de Boulogne-sur-Mer

jusqu’en 75+ émigrés) Travail change : -apogée France industrielle -tertiare se transforme : de modèle des petits patrons ind à employés (début gdes surfaces) => salariat se développe massivement en même tps que classes moyennes =>cadre aug (âge d’or 60-70) =>état joue rôle moteur à travers pol de modernisation ind+aménagement territoire+investissements ds matière grise (x3 crédits recherche, prolonge sco obli => 16ans) => lancement de programmes ambitieux ds domaines stratégiques : -aérospatial :

intéressante car il le décrit tout d’abord négativement comme un équidé, il oublie de « sauter », son « sabot » est inquiet. Autant de métaphores pour dire que le Martiniquais ne réagit plus, qu’il est domestiqué, comme affaibli. Il est tout comme ce volcan étouffé, muet alors qu’il pourrait s’exprimer, revendiquer ses droits et ses idées. C'est surtout la richesse et la difficulté du vocabulaire qui fascinent ; non seulement Césaire cultive la poétique du mot rare, voire du néologisme citons par exemple

vient de l’astéroïde B612, planète si petite qu’elle serait à peine plus grande qu’une maison. La vie du petit prince y était faite d’activités quotidiennes comme la planète lorsqu’on les laisse atteindre leur taille adulte. ramoner ses trois petits volcans ou tailler les baobabs, véritables mauvaises herbes qui représentent une menace pour Le petit prince aimait contempler les couchers de soleil : l’astéroïde était si petit que se déplacer de quelques mètres suffisait à voir un nouveau crépuscule

moins que votre jeunesse; Les astres rayonnaient, moins que votre regard. Moi, je parlais tout bas. C'est l'heure solennelle Où l'âme aime à chanter son hymne le plus doux. Voyant la nuit si pure, et vous voyant si belle, J'ai dit aux astres d'or: Versez le ciel sur elle! Et j'ai dit à vos yeux: Versez l'amour sur nous! Charles Baudelaire - Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne ( XIXème siècle) Je t'adore à l'égal de la voûte nocturne, Ô vase de tristesse, ô grande taciturne,Et

les faits historiques propre à ce territoire. Il nous permet de saisir le fonctionnement des îles caraïbéennes et mets en lumières les nombreuses difficultés rencontrées sur l’île. Aussi nous nous demanderons en quoi ce texte témoigne-t-il de l’âge d’or de l’ère caraïbéenne française au XVIIIème et des difficultés rencontrées par les possessions françaises ?Ainsi nous étudierons l’attrait des français pour la Martinique malgré des conditions météorologiques difficiles, puis nous verrons le développement

soupirs piteux Ont esté en son luminaire ; Aussi j'ay fait la tombe faire De regrez, tous de larmes pains, Et tout entour moult richement Est escript : Cy gist vrayement Le tresor de tous biens mondains. Dessus elle gist une lame Faicte d'or et de saffirs bleux, Car saffir est nommé la jame* De loyauté et l'or eureux. Bien lui appartiennent ces deux, Car eur et loyauté pourtraire Voulu en la tresdebonnaire Dieu qui la fist de ses deux mains Et fourma merveilleusement. C'estoit