Le ça Le Moi Et Le Surmoi

psychanalyse en 1916 et Deuil et mélancolie en 1917. Il fonda alors les théories de pulsions de vie et de mort ( Eros : pulsion sexuelle et Thanatos : pulsion meurtrière) dans l’ouvrage au-delà du principe de plaisir en 1920. En 1923, il publie le moi et le ça. En 1921, il est atteint d’un cancer de la mâchoire et finira sa vie sous l’emprise de la morphine. Il est également victime de persécutions antisémites et émigre donc à Londres en 1938 où il meurt le 23 septembre 1939. Contexte intellectuel de

autres. Une idée engendre une autre idée sans qu'on le veuille, spontanément. Une idée surgit d'elle-même sans connaître le moment, une idée s'impose à nous malgré nous. Ce n'est pas « je pense », c'est quelque chose d'impersonnel : on devrait dire « ca pense ». Cette illusion provient du langage, des règles grammaticales. Les règles grammaticales nous obligent à attribuer un sujet au verbe d'action. Nietzsche nous amène au seuil de la découverte de Freud : l'inconscient. II. L'inconscient et la

consciences ; Le Moi, Le Ca et le Surmoi. Selon Freud, le Moi est la partie consciente du sujet, reflet de ce que celui-ci est en société, en quête de bonheur et qui aurait un mécanisme de défense rapidement déclenché dés lors que le sujet subirait des tensions trop forte de la société. Il se défendrait en intériorisant, refoulant ou rationalisant. En cela nous pouvons faire un parallèle avec la philosophie de Nietzsche de l’homme consciencieux qui intériorise. Puis, le Ca qui se manifesterait par

nous inculquant des règles qui sont censées profiter à notre bien-être. Ces valeurs morales, Freud les appelle le Surmoi. Le surmoi entre en contradiction avec le Ça, qui représente l’inconscient. Le Surmoi et le Ça sont en confrontation permanente dans le système psychique de l’homme. Le Ça voudrait une application maximale et sans contrainte de tous les désirs alors que le Surmoi veut une restriction quasi-totale de ceux-ci. La notion d’inconscient met donc en place une confrontation entre les

La 2e topique de Freud concerne l’appareil psychique, elle est constituée de 3 éléments qui sont le Ca, le Moi et le Surmoi. - Le Ca : il constitue la partie inconsciente de notre vie psychique. Cet inconscient est animé par ce que Freud appelle des pulsions. Une pulsion est une sorte de poussée énergétique, une excitation irrésistible en nous qui cherche un objet de satisfaction. Le Ca a des désirs permanents. Les pulsions veulent se satisfaire. Mais celles-ci méconnaissent le principe de

des sociologues appellent cette période l’adolescent ère. Même à 50 ans il y a certaines personnes qui résonnent un peu comme des ados. Il n’y a pas de limite d’âge de l’adolescence. Du point de vue physiologique la puberté de plus en plus précoce, ça ne s’explique pas, peut-être un des facteurs sont dû à la nourriture. Et aussi il y a une sur stimulation parce que très tôt les enfants sont exposés à des débats sociétaux, concernant la sexualité, des problèmes qui sortent les adolescences de l’insouciance

philosophe Platon (conscience, passion, raison). Le Ça qui est le réservoir de l’inconscient qui conditionne le comportement, il est le lieu de l’agressivité et de la sexualité. Par la suite, le Moi qui est la partie la moins puissante, c’est la raison, le bon sens et la modération, le Moi prend en considération le monde extérieur. Puis, le Surmoi qui comme le Ça est irrationnel, demande déraisonnable en lien avec la perfection. C’est dans la sphère du Surmoi qu’en découle le sentiment de la culpabilité

trilogie qui fait intervenir le « ça », le « moi », et le « surmoi », qui entre dans un jeu de force permanent. a) Le « ça » Le « ça », FREUD l’a propose comme la partie la plus obscure, la plus ancienne. C'est-à-dire que l’Homme naîtrait avec des instincts primitifs. FREUD dira que le « ça » recueille les besoins pulsionnels qui trouvent en lui, son expression psychique. Le « ça » donc, est le domaine de l’inconscient et des instincts primaires. Le rôle du « ça » est de viser la satisfaction immédiate

lacunaire puisque l’homme n’a pas accès à la plupart de ses pensées. Il existe trois topiques : le moi, le ça et le surmoi. Le « ça » désigne les pulsions inconscientes de l’homme. Le « surmoi » est la conscience morale mais ce sont surtout les interdits sociaux que l’homme doit intérioriser. Le « moi » est une instance ambivalente, il est tiraillé entre les exigences du « ça » et les exigences du « surmoi ». La conscience censure les pensées mais elles ne sont pas supprimées, elles sont refoulées. Pour

également en « sous-instances » – ca – moi – surmoi Le ca • Instance première dans le développement de l’individu • Pole pulsionnel de la personnalité • Représente le monde des instincts, des pulsions (de vie, de mort ou sexuelles), de la satisfaction des besoins quelles qu’en soient les conséquences (Raynal et Cie, 1991) • Le ca a également pour rôle la récupération du matériel (souvenirs, émotions…) refoule → refoule = refuse par le moi sous l’influence du surmoi • Ne connait ni règle de temps