Le ça Le Moi Et Le Surmoi

pour un objet ou une situation n’ayant pas de réel caractère dangereux et qui disparaît en l’absence de cet objet ou de cette situation. Enfant = Phobie infantile 2) La seconde topique La seconde topique regroupe 3 instances : le ça, le moi et le surmoi Le ça : Le ça est connue et inconscient. C’est le réservoir des pulsions (= désir). Il est géré par le principe du plaisir. Une pulsion : c’est une quantité d’énergie psychique séparée en représentation (image mentales, pensée) et en affect (expressions

Dans une deuxième topique, pour pouvoir expliquer la conscience morale, la tâche de la conscience est dévolue au moi, médiateur entre le ça (domaine des pulsions qui viennent du corps) et le surmoi (instance moralisatrice). Ainsi le moi se trouve dans une situation très inconfortable, au service de trois exigences contradictoires (le ça, le surmoi, le monde). Le ça représente les tendances sexuelles et agressives, les pulsions qui réclament une satisfaction immédiate. Il est dominé par le principe

- On appel « appareil psychique » l’articulation entre l’ensemble des phénomènes psychiques (pensées, affects, actes), dans les topiques de Freud il s’agit de l’articulation entre les différentes instances qui ont des fonctions spécifiques (moi, ça, surmoi, conscient, inconscient, préconscient) ► 1ère topique (1896-1900)  - Conscience (ou Perception-Conscience) : Lieu de réception des perceptions, représentations actuellement présentées dans la conscience. - Préconscient : Contient toutes

l’hypnose ne marchait pas, ils avaient recours au compresseur d’ovaires). Freud remarque que l’hypnose révèle deux états : la conscience sous hypnose : la pensée est séparée de la conscience : il existerait alors un autre lieu. Charcot face à ça, argue de l’existence des zones hystérogènes. Freud conceptualise sa pensée et au lieu de chercher du côté des flux nerveux, il regarde du côté des notions de fantasmes et d’appareil psychique. Il constate que ces phénomènes sont reproductibles.

(souvenir, etc.) En 1923, il établit une seconde topique qui différencie trois instances : le  Ça, le Surmoi et le Moi. Le Ça qui est la partie la plus chaotique de l'appareil psychique est le siège des pulsion et des désirs refoulés qui comme dans l'inconscient ne connaissent pas le refus et voudraient une satisfaction immédiate; ils exercent une force dominée par le principe de plaisir immédiat. Le ça ne correspond pas vraiment à l'inconscient de la première topique, bien qu'il soit totalement inconscient

pouvons pour avancer les différences entre les états névrotiques et les états psychotiques examiner, les uns après les autres, les points suivants (l’ordre de présentation névroses puis psychoses) : 1. Le lien avec le réel 2. Les enjeux du ça, du moi et du surmoi 3. La symptomatologie 4. La demande de soins 5. Des exemples : la phobie, la schizophrénie Et pour finir, nous essaierons de voir quelle est la sémiologie qui pourrait nous permettre de déterminer une frontière entre les névroses et

Termes voisins : inconscience, subconscient. Terme opposé : conscience. Renvoie à : ça, moi, surmoi, liberté, psychanalyse, résistance, perversion. Concepts clés : Acte manqué : acte de la vie quotidienne dans lequel le résultat visé est remplacé involontairement par un autre. Agressivité : tendance à la destruction de l'autre. Elle s'appliquerait par l'effet de la pulsion de mort. Ça : pôle pulsionnel (/nid de pulsions) et inconscient de la personnalité. Censure : fonction

la formation du symptôme .Il en viendra ensuite au but thérapeutique et à l’analyse .De cela il en conclura que le terme de profane n’est pas utilisé à bon es sien . 1)LES INSTANCES DE L’APPAREIL PSYCHIQUE ET LES PULSIONS 1)Le moi ; le ça ; le surmoi L’appareil psychique est composé de plusieurs parties, plus ou moins profondes que l’on nomme instances Elles ont chacune une fonction particulières tout en étant en corrélation . Une de ces instances :Le moi est en contact direct avec le monde

Stéphane Haber Subjectivation surmoïque et psychologie du néolibéralisme L’élaboration de la notion freudienne de surmoi a suivi une trajectoire relativement claire. En 1914, dans « Pour introduire le narcissisme »1, Freud identifie une composante spécifique de l'appareil psychique qui, d'après lui, y représente la société, marquant la présence et l’influence du social au sein même du psychisme. L'argument prend une forme particulièrement originale. L'idée est que pour ce vivant spécial qu’est

généralement définit par trois attributs : 1) L’unité : cela signifie qu’il est indivisible. 2) L’identité : le moi se sent identique à lui même malgré tous les changements dont il peut faire l’expérience. 3) La causalité : le moi est une cause, ça signifie que lorsque j’agis, je sais que c’est moi qui veut. Un être ayant ainsi une identité, une unité et une causalité, c’est une personne. 2) HUME, le Moi est une illusion HUME = empiriste => toute connaissance dérive de l’expérience