Lecture Analytique Colonel Chabert

des espaces infinis. Mais, au plus fort de la tourmente, dans les ténèbres du savoir, une petite lueur brille, obstinée, à la fenêtre de quelque monastère, de quelque lieu sacré : les hommes d’Église veillent. Ils maintiennent l’enseignement de la lecture, de l’écriture. Ils forment des fonctionnaires qui sont très appréciés des nouveaux souverains goths ou francs, peu à peu convertis au christianisme. Des évêques – comme Sidoine Apollinaire au Ve siècle, Venance Fortunat au VIe siècle -, des moines

espaces infinis. Mais, au plus fort de la tourmente, dans les ténèbres du savoir, une petite lueur brille, obstinée, à la fenêtre de quelque monastère, de quelque lieu sacré : les hommes d’Église veillent. Ils maintiennent l’enseignement de la lecture, de l’écriture. Ils forment des fonctionnaires qui sont très appréciés des nouveaux souverains goths ou francs, peu à peu convertis au christianisme. Des évêques – comme Sidoine Apollinaire au V e siècle, Venance Fortunat au VIe siècle -, des moines

plus haut), il nous faut y regarder de plus près, car la pièce de Musset manifeste avant tout une grande liberté. Le poète, d'ailleurs, se résignait mal au clivage qui s'installait alors dans les lettres entre romantisme et classicisme, ce que la lecture de son article De la Tragédie (1838) manifeste clairement : « Pourquoi a-t-on opposé ces deux genres l'un à l'autre ? Pourquoi l'esprit humain est-il ainsi rétréci qu'il lui faille toujours se montrer exclusif ? Pourquoi les admirateurs de Raphaël

23 avril 1920, la Haute Cour déclara qu’il n’y avait pas lieu de faire application à Caillaux des articles 77 et 79 du Code pénal, relatifs à la trahison. Il semblait alors que l’ancien ministre serait acquitté. Mais Léon Bourgeois poursuivit sa lecture : « Déclare Caillaux coupable d’avoir entretenu une correspondance avec des sujets d’une puissance ennemie […], crime prévu par l’article 78 du Code pénal. Dit qu’il y a des circonstances atténuantes en faveur de l’accusé. » Or, si l’article 78 avait

toponymie et signées de Camille Jullian, Albert Grenier, etc. Il en existe un relevé en deux mémoires de fin d'études, dactylographiés, de l'Institut des Techniques de la Documentation : - M. de Lingua de Saint-Blanquat, Dépouillement systématique et analytique des articles et comptes rendus d'ouvrages relatifs à la toponymie française dans la Revue des Etudes anciennes, de son origine, 1899 à 1918. Paris, 1964, 37 pp. - G. Delaunay, Relevé des articles et notices de toponymie parus dans la Revue des Etudes

son rival pour exiger de la jeune femme quelle choisisse entre eux deux. Puis cest au tour dAcaste et de Clitandre, accompagns dArsino. Ils se sont montrs lire la lettre quils ont chacun reu de Climne o elle se moque tour tour de chacun deux. La lecture de ces lettres confond Climne. Clitandre, Acaste et Oronte se retirent en laccablant de leur mpris. Alceste, lui, accepte de lui pardonner, condition quelle sengage le suivre, hors du monde. Climne refuse. Alceste part seul, non sans avoir approuv