Lecture Divertissement

Commentaire de texte Divertissement. «On charge les hommes, dès l'enfance, du soin de leur honneur, de leur bien, de leurs amis, et encore du bien et de l'honneur de leurs amis. On les accable d'affaires, de l'apprentissage des langues et d'exercices, et on leur fait entendre qu'ils ne sauraient être heureux sans que leur santé, leur honneur, leur fortune et celle de leurs amis soient en bon état, et qu'une seule chose qui manque les rendrait malheureux. Ainsi on leur donne des charges et des

les danses tribales et les danses de salon, ou bien encore entre les danses folkloriques et la danse classique. En effet, leur objectif n’est pas du tout le même, tout comme leurs motivations. La danse peut être un art, un rituel ou un simple divertissement. Le terme de motivation correspond justement à ce qui nous pousse à danser, ce qui exerce une pression physique ou morale sur nous. Motivation vient du latin motus, le mouvement. Un aspect très intéressant de ce mot est qu’au pluriel, le terme

Histoire de Jouet de RABECQ et MAILLARD parue en 1962, ainsi que « L’entretien de Gilles BROUGERE» tiré du magazine 50 millions de consommateurs édité en 1995, témoignent du rôle du jouet. Pour RABECQ et MAILLARD, le jouet et le jeu ont un rôle de divertissement pour les utilisateurs tandis que pour Gilles BROUGERE, pense qu’ils ont surtout un rôle social, le jouet ou le jeu sont destinés à créer des liens entre les individus. Charles BAUDELAIRE rejoint la théorie de Gilles BROUGERE, dans son livre «

tout y étant pour que le spectateur soit face à une véritable représentation, une reproduction des actions pour donner un sens réel à la pièce. Dans une autre mesure, le théâtre, tout en étant une illusion, permet d’exprimer des sentiments, un divertissement par le biais du jeu des acteurs, ceux-ci doivent vraiment faire ressentir les émotions, ou encore les mimer, pour les partager avec les spectateurs comme la surprise par Madame Jourdain quand elle apprend qui est le fils du Grand Turc lors de

qu’il se passe (Encore une fois, tu ne parles pas de la mise en scène). Le spectacle n’est pas simple à comprendre, c’est pourquoi il faut être attentif tout le long de la représentation, mais une fois que l’on est concentré dans l’intrigue, ce divertissement se révèle drôle, subtil et amusant. J’ai mis du temps à apprécier ce spectacle car au début, je ne comprenais pas l’enchaînement des séquences qui me semblaient incohérentes. Or, à la fin de la représentation et après réflexion, tout m’a semblé

Finkielkraut dans La Défaite de la pensée: «La démocratie qui impliquait l'accès de tous à la culture se définit désormais par le droit de chacun à la culture de son choix (ou à nommer culture sa pulsion du moment).» La télévision, le cinéma de divertissement, la musique pop ne sont pas une vraie culture parce qu'elles ne nous mettent pas en rapport avec les oeuvres du passé. Cette fausse culture a trouvé sa suprême illustration dans les propos de Patrick Le Lay, PDG de TF1. Interrogé parmi d'autres

Dans l’actualité, le cinéma semble être un art plus répandu et plus attrayant que le théâtre pour la jeunesse. Dès lors, « le cinéma [nous] paraît-il être pour la jeunesse d’aujourd’hui un divertissement plus intéressant que le théâtre ». A-t-elle la jeunesse de nos temps une vision fautive par rapport au théâtre ? Est-ce que les jeunes préfèrent le cinéma seulement car ils n’ont jamais vu une pièce théâtral, par manque de connaissance ? Dans un premier temps, nous observerons et comparerons ces

qu'ils ont en grande partie raison , le paysages audiovisuels français n'est pas ce qui est de plus enrichissant intellectuellement , il suffit d'allumer la radio pour comprendre le phénomène. La télé quant à elle nous propose des émission de divertissement d'une très grande légèreté voir complètement stupide. Et pourtant certaines émissions telle que « On n'est pas couché » ou  « C a savoir » sans tomber dans la réunion de vieux intellectuels à barbe blanche arrivent à me divertir et à me cultiver

Dissertation : Le théâtre est une tribune, le théâtre est une chaire (V. Hugo) Depuis la nuit des temps, le théâtre est un art associé au divertissement et au spectacle. Mais certains auteurs utilisent le théâtre comme un objet de dénonciation pour des faits quelconques. Dans sa préface de Lucrèce Borgia, Victor Hugo notifie que le théâtre est une tribune, le théâtre est une chaire. Au XIXème siècle le terme « tribune » désignait le lieu où l’on s’exprimait par le discours pour tout débat

magiques remonteraient à la préhistoire, les gravures rupestres de sorciers et d'animaux mythiques semblent bien en attester. L'Ancien Testament décrit le « combat » que livrèrent Moïse et Aaron contre les magiciens de Pharaon. Avant d’être un divertissement, la prestidigitation a servi à matérialiser le divin et s’est assimilée à la magie noire, tandis qu’elle s’est peu à peu affirmée magie blanche pour s’éloigner des bûchers. Sa pratique a longtemps profité aux sorciers. Elle est pratiquée le plus