Législation sur le cannabis

Échelle nationale -Il y aurait en France un million de consommateurs de cocaïne occasionnels et entre 250 et 300 000 consommateurs réguliers, soit moins qu'en Espagne où ils sont 1 million et autant qu'en Grande-Bretagne.  - la production de cannabis est plutôt faite à l’échelle locale donc le trafic a l’échelle mondiale est assez modéré 2. Échelle intracontinentale -L’usage de la cocaïne en Europe a doublé au cours de la décennie qui vient de s’écouler, bien qu’il soit resté relativement

effets liés aux usages de cannabis L’utilisation de cannabis fumé, de manière ponctuelle ou au long cours, peut avoir un impact sur la santé physique et psychologique des indi- vidus sans que les études explicitent toujours à quels niveaux de consom- mation ces risques sont susceptibles d’apparaître. Les effets peuvent être liés soit au principe actif du cannabis (∆9-THC) soit aux substances résultant de sa combustion comme les goudrons. Les produits ajoutés au cannabis de façon intentionnelle (produits

précisément la nicotine. Vient après la seconde drogue la plus meurtrière, qui est, elle aussi en vente libre, l'alcool. La législation dépend aussi du pays où l'on se trouve. Effectivement, la législation des Pays-Bas diffère du reste du monde. La consommation de drogues n'y est pas légale, mais pour certaines substances, elle est tolérée. En effet, la consommation de cannabis est "acceptée" mais interdite dans la rue.Mais ici, l'attention se porte sur toutes ces drogues que l'on appelle plus communément

de leur dette pour mieux lutter contre le trafic de drogue. c) Une illustration : Le Mexique et son rôle dans le commerce de la drogue. * Constat : Le Mexique est un grand producteur de cannabis et d’opium. Il produit 50% de la marijuana consommée aux USA et 8% de l’héroïne. Le cannabis à été introduit par les Indiens arrivés en Jamaïque dans les années 1930, et l’opium par les travailleurs chinois, les coolies. C’est également une zone de commercialisation. De par son immense frontière

de la criminalité transnationale organisée, qui inquiète au plus haut niveau la communauté internationale.. Leur prévention et leur répression impliquent une bonne connaissance des produits, une approche de la personnalité du toxicomane, de la législation ainsi que des notions sur la circulation illicite des stupéfiants. Une drogue est une substance d’origine naturelle ou synthétique qui agit sur l’organisme d’un sujet en modifiant ses sensations et son comportement. L’abus des drogues connu

Sécurité sociale ; Les médicaments psychotropes (anxiolytiques, hypnotiques, antidépresseurs) sont licites mais doivent être prescrits par un médecin ; Le cannabis, la cocaïne, l’héroïne, l’ecstasy, le LCD par exemple sont des produits illicites : leur production, leur vente et leur usage sont interdits et sanctionnés par la législation des stupéfiants. LES DIFFERENTS TYPES DE CONSOMMATION OU D’USAGE La communauté scientifique s’accorde aujourd’hui pour distinguer trois types de consommation :

soit papier ou numérique, c’est celle-ci qui permet d’illustrer ces pratiques. Mon deuxième appui a été le nouveau guide du prisonnier, un ouvrage qui permet d’avoir des informations sur l’intégralité du parcours en détention et qui confronte les législations en place et les pratiques carcérales. Cet ouvrage a été rédigé par l’Observatoire International des Prisons. Une ONG française agissant pour le respect des droits de l’Homme en détention. Les publications de cette dernière m’ont également été utiles

p. 10 p. 11 B. Apports de connaissances 1. De la rencontre avec le produit à la dépendance : facteurs de vulnérabilité et facteurs de protection 2. Les addictions avec ou sans produits 3. La législation en matière de stupéfiants et de lutte contre la toxicomanie 4. La législation en accueil collectif de mineurs 5. Le cadre de travail pour les structures d’accueil de jeunes en matière de prévention des addictions p. 12 C. Illustrations pédagogiques avec des outils de prévention

par les trafiquants de drogue. Le rôle du Mexique dans le commerce de la drogue : - Le constat : Le Mexique est une zone de production de drogues dont on parle moins, mais producteur de 50% de la marijuana consommée aux USA et 8% de l'héroïne. Le cannabis a été introduit par les Indiens arrivés en Jamaïque dans les années 30, et l'opium par les travailleurs chinois (les coolies). C'est aussi une zone de commercialisation, 70% de la cocaïne d'Amérique Latine transite par le Mexique. - Les raisons

serait ce qu’en raison de la distinction artificielle entre psychotropes légaux et drogues illégales. Par ailleurs, selon les cas, on pourra négliger la qualification d’infraction à la législation sur les stupéfiants ou, au contraire, la surajouter de façon discutable, notamment dans le cas d’une infraction à la législation sur les étrangers. L’usage épisodique n’est pas distingué de la conduite addictive. Une étude française s’intéressant à la population incarcérée retrouve en 1986 une moyenne nationale