Leon Blum Loi 40 Heures

victoire du front populaire 369 député contre 236 pour la droite, le président de la république désigne donc León devient président du conseil, avant même la formation du gouvernement un mouvement de grève déferle en France. 2) l’été 1936 : En France il y a deux millions de grévistes. Ces grève sont particulaires elles ce déroulent dans une ambiance de fête « grève de la joie ». Léon bloum compose un gouvernement qui ne comprend pas de ministre communiste car ces derniers décident de na pas participé

libertés démocratiques et « donner du pain aux travailleurs, du travail à la jeunesse, et au monde la grande paix humaine ». En tête du cortège, Blum, Thorez, le jeune secrétaire général du P.C.F., et Daladier, qui remplacera bientôt Herriot à la présidence du parti radical. La politique de droite de Pierre Laval (juillet 1935) qui institue par décret-loi un prélèvement de 10 % sur les traitements et pensions payées par l'État provoque le mécontentement des classes moyennes et des fonctionnaires.

industries chimiques, entreprises du bâtiment, industries textiles, grands magasins et même petites entreprises), le temps de l'entrée en fonction du nouveau gouvernement dirigé par Léon Blum ( Président du Conseil des Ministres, équivalent de l'actuel premier Ministre). Pour répondre aux ouvriers, Léon Blum organise des négociations entre les représentants du patronat et la CGT ( Confédération Générale du Travail, syndicat professionnel représentant les ouvriers). Ces négociations aboutissent

ont gagné. » Les gens qui nous gouvernent aujourd'hui ne sont « les nôtres » de personne. En 1936, Léon Blum a su se faire accepter, il a su maintenir le lien social avec son électorat. Jusqu'à cette incroyable explosion sociale, le groupe ouvrier avait toujours eu le sentiment d'avoir été écrasé, vaincu... D'ailleurs, ne dit-on pas : « Debout les damnés de la terre ? » Avec le procès de Riom, Blum est devenu une victime, un bouc émissaire. Cela contribue aussi à alimenter le mythe. H. - Parmi les

rencontre des difficultés en son sein. (c'est très mal dit, ne vous inquiétez pas, je reformulerai quand Camille m'aura envoyé sa partie) III.La fin du Front populaire. A. La chute de Léon Blum. Premièrement la guerre en Espagne qui éclate dès juillet 1936 met à l'épreuve la détermination du Front Populaire. Blum désire venir en aide a la rep espagnole et se heurte a l'opposition de la plupart des ministres radicaux et d'une partie des socialistes qui redoutent que l'intervention ne conduise

célèbrent la victoire du Front populaire. Elles manifestent aussi les désirs de changements pour, comme le dit Léon Blum, (dirigeant de la SFIO puis du Front populaire) « … faire renaître l’espoir d’une France sociale et modèle » Ainsi, à la fin mai, près de deux millions de personnes participent à ces grèves, ce qui représente une part de population colossale par rapport aux 40 millions de français à l’époque. De ce fait, sous la pression de l’opinion publique, le gouvernement du

pompe » économique. -La réforme de la Banque de France. C'est ce programme ainsi que l'établissement d'une stratégie électorale commune pour les législatives du printemps 1936, qui portent le Front Populaire au pouvoir le 3 mai 1936. Le gouvernement Léon Blum, constitué le 4 mai, comporte un nombre égal de socialistes et de radicaux. Pour la première fois en France des femmes entrent dans le gouvernement. Avant même la formation de ce nouveau gouvernement, des grèves éclatent accompagnées d'occupation

ou les grands magasins, des compagnies de théâtre (comme le groupe Octobre de Jacques Prévert) jouent des pièces. On compte 12 000 grèves, dont 9 000 avec occupation, entraînant environ 2 millions de grévistes. Malgré les paroles rassurantes de Léon Blum, le climat qui règne alors en France a des connotations clairement révolutionnaires. Peu ou pas encadré par des organisations politiques ou syndicales, le mouvement trouve des causes multiples et fortement localisées, mais a aussi un côté festif

ouvrier à ce gouvernement. Ces grèves et occupations d'usines se sont souvent déroulées dans une ambiance « bon enfant ». Les grèves de l'été 1936 s'accompagnent d'occupations des lieux de travail et de manifestations. Dès le 7 juin au soir, Léon Blum réunit à Matignon les représentants des travailleurs et les responsables patronaux. Dans la nuit, les accords Matignon sont signés. Ils prévoient une hausse des salaires de 12 % en moyenne (15 % pour les plus bas, 7 % pour les plus élevés), la reconnaissance

étape de la mobilisation de gauche. Le FP remporte les élections législatives en mai 1936, et le 4 juin Léon Blum devient président du Conseil. La victoire du FP s’accompagne d’un vaste mouvement de grève dans toute la France, de nombreuses usines sont occupées. Les revendications portent sur la hausse des salaires et le respect du droit de grève. B. Les réformes sociales et économiques Léon Blum organise une rencontre entre représentants syndicaux et patronaux qui aboutit aux Accords de Matignon