Léon Bourgeois

immense affrontement entre classes sociales : les riches contre les pauvres, les patrons contre les ouvriers, « la bourgeoisie contre le prolétariat ». « Des masses d'ouvriers sont placés sous la domination de la machine, du contremaître, du bourgeois industriel. » Les auteurs critiquent ici la hiérarchie du capitalisme. L'ouvrier est non seulement soumis au patron et aux petits chefs mais il est également l'esclave de la machine. On retrouve ici l'idée que l'organisation du travail n'a qu'un

intellectuelles, riches aux cœurs pauvres. Pour vous rapprocher aux personnages principaux; voilà la description qui se font notres protagonistes d'elles-mêmes: - Je m'appelle Renée, j'ai 54 ans et je suis la concierge du 7 rue Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l'image que l'on se fait des concierges qu'il ne viendrait

plus le socialisme, mais le fascisme ; pour lutter contre lui, les communistes doivent se rapprocher, non seulement des socialistes, mais aussi des partis bourgeois démocratiques. Appliquant cette nouvelle tactique, les communistes signent avec les socialistes un pacte d’unité d’action en juillet 1934. Or les radicaux, membres d’un parti bourgeois réformiste et patriote, n’ont que méfiance envers un parti communiste qui se présente comme un parti ouvrier révolutionnaire et internationaliste. Toutefois

an Biographie de Jean Jaurès Présentation Jean Jaurès, de son nom d'état civil Auguste Marie Joseph Jean Léon Jaurès, est né à Castres (en France) en 1859 dans une famille bourgeoisie du Tarn. Son père, Jules Jaurès (1819-1882), négociant, n'a pas réussi et se replie sur une petite exploitation agricole de 6 hectars dans laquelle Jean Jaurès passe son enfance et son adolescence jusqu'à l'âge de 17 ans. C'est une époque où il connaît, non pas la misère,mais il découvre la misère et la

Le Bourgeois gentilhomme (1670) Gabrielle PHILIPPE, professeur agrg de Lettres modernes, Collge Pierre Mends-France, Paris 20me En introduction - Objectifs Analyse et interprtation (de scnes ou de la pice dans son intgralit) dune pice de Molire, et familiarisation avec lunivers du spectacle du XVIIe sicle nos jours. - Public Classe de 4me, trs htrogne. - Inscription dans la programmation annuelle Proposer cette squence en dbut danne permet, sil lon projette den

8 heures précises. A droite, quatre bourgeois portant un chapeau haut de forme ou melon et une dame en chapeau. Le graphisme crée une apparente symétrie au prix d’une jambe supplémentaire du côté des salariés... Mais, pour l’heure, les possédants pèsent un peu plus lourd.   Interprétation Une défiance à double détente Cette affiche subvertit très légèrement une affiche confédérale contemporaine. Elle révèle les divergences entre la centrale dirigée par Léon Jouhaux, qui se réclame alors d’une

organisations de gauche pour résoudre la crise économique, vaincre le chômage, faire échec au fascisme et remporter les élections législatives de 1936. La victoire électorale du Front populaire entraîne la formation d'un gouvernement dirigé par le socialiste Léon Blum qui pratique, dès lors, une politique de progrès social, demeurée dans les mémoires. Il va, toutefois, connaître un triple échec économique, social et politique, qui conduira le Front populaire à l'agonie, puis à l'éclatement à l'automne de 1938

Mahon[4]. Malgré cela, les républicains menés par Léon Gambetta formulent des exigences accrues. Simon ne s'oppose pas à l'abrogation d'une loi « réactionnaire[3] » sur les délits de presse de 1875 par la Chambre des députés. Début mai 1876, un débat à propos de la restauration du pouvoir temporel du pape entraîne l'adoption d'un ordre du jour condamnant les manifestations ultramontaines sans que le gouvernement ne s'y oppose. C'est à cette occasion que Léon Gambetta, paraphrasant Alphonse Peyrat prononce

car c'est l'apogée de deux genre ; la comédie et la tragédie , illustrées respectivement par deux grands auteurs Molière et Racine. Le théâtre était alors un divertissement, les gens rigolaient, mangeaient, jouaient aux cartes… Après le drame bourgeois et romantique, le vaudeville et le théâtre de l’absurde, nous sommes retombés dans une aire, où le théâtre n’est plus qu’un symbole culturel. Considéré comme un lieu « semi-religieux », silencieux, intellectuel, calme, c’est un retour imminent au

usines ou les grands magasins, des compagnies de théâtre (comme le groupe Octobre de Jacques Prévert) jouent des pièces. On compte 12 000 grèves, dont 9 000 avec occupation, entraînant environ 2 millions de grévistes. Malgré les paroles rassurantes de Léon Blum, le climat qui règne alors en France a des connotations clairement révolutionnaires. Peu ou pas encadré par des organisations politiques ou syndicales, le mouvement trouve des causes multiples et fortement localisées, mais a aussi un côté festif