Les Ames Grises Femmes

rites et la vertu d'humanité (nhân), toutes les relations sociales en vue de réaliser l'harmonie universelle (hòa). Dans une société fortement hiérarchisée et patriarcale (roi, mandarins, lettrés, paysans, artisans, ouvriers, commerçants, hommes et femmes), chacun dans la famille - mari et femme, parents et enfants - doit accepter son lot et accomplir son devoir. Au niveau du village et sur le plan cultuel, comment se manifeste le confucianisme ? Les lieux de culte confucéen (văn từ) sont là pour rappeler

mon père, je lui racontais les événements qui avaient meublé notre vie pendant son absence. (...) Les voisines faisaient à haute voix des vœux pour que notre bonheur soit durable et notre santé prospère. Des you-you éclatèrent sur la terrasse. Des femmes venues des maisons mitoyennes manifestaient ainsi, bruyamment, la part qu'elles prenaient à notre joie. Ma mère ne cessait de remercier les unes et les autres. A.     Étude de texte : (10 pts) Lisez le texte et répondez aux questions suivantes :

Elles souffrent d’érosion et les particules polluantes dans l’air des villes les décolorent et les rongent. Les pluies acides les affaiblissent et les canaux se remplissent de boue où s’enracinent des plantes. Autrefois, ces gargouilles toutes grises que l’on voit, étaient polychromes. Elles brillaient de dorure, d’orangé de rouge et de vert. Elles ont vite perdu ces couleurs à force de côtoyer le mauvais temps. Origines : Un dragon, du nom de Gargouille, vivait dans une

l'épigraphe «L'humble vérité», qui est tout à fait dans l’esprit des romanciers réalistes. Le personnage n’est pas nommé alors qu’à la même époque on trouve des titres tels que “Madame Bovary”, “Germinie Lacerteux”, “Thérèse Raquin”, etc.. Mais ces femmes sont des héroïnes au sens dynamique du terme, qui agissent, qui mènent combat, alors que Jeanne est une anti-héroïne. En fait, le mot « vie » est à prendre comme une antiphrase, car la vie de Jeanne de Lamare n’est pas une vie. Sa destinée suit une

dimension, ainsi que celui-ci le précise pour son rival, Pierre-Côme Provençal, dit Gros-Gras, quand il embrasse cette terre dont il envie la richesse : « [...] vingt-sept arpents, neuf perches, par deux arpents, sept perches, plus ou moins. Les champs gris, uniformes, striés seulement de frais labours se déroulaient comme un drap de lin tendu de la baie de Lavallière jusqu'au chenal »(p. 13). L'intrigue se déplace aussi à Sorel, où la famille Beauchemin se rend pour assister à la messe dominicale appelée

philosophe juge que ce plaisir est de l’ordre de la « sensation » (p. 164). À l’inverse, le spectacle de la souffrance ou de la haine l’atteint profondément. Dixième promenade La dixième promenade, consacrée à Madame de Warens (« la meilleure des femmes », p. 173), est inachevée. Rousseau y exprime tout l’amour qu’il a ressenti pour cette femme et la reconnaissance qu’il lui porte (« aidé de ses leçons et de son exemple, je sus donner à mon âme (…) la forme qui lui convenait davantage », p. 172)

qui travaillent à la chaîne de l'usine. La journaliste Florence Aubenas, grand reporter du Nouvel Observateur (enlevée à Bagdad et retenue en captivité en Irak pendant 157 jours en 2005) a décidé de vivre au quotidien les conditions de travail des femmes de ménage à temps partiel. Dans son récit autobiographique « Le Quai d'Ouistreham » (prix Joseph Kessel en 2010), elle se met dans la peau d'une demandeuse d'emploi qui va pointer à Pôle emploi. Elle va vivre au jour le jour la galère des travailleurs

Chateaubriand, Mémoires d’Outre-Tombe Chateaubriand, René Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses Chrétien de Troyes, Perceval ou le Roman du Graal Chrétien de Troyes, Yvain ou le Chevalier au Lion Christie, Dix petits nègres Claudel, Les âmes grises Corneille, Le Cid Corneille, L’ Illusion comique Dickens, Oliver Twist Diderot, Jacques le fataliste Dostoïevski, Crime et châtiment Dostoïevski, L’ Idiot Doyle, Le Chien des Baskerville Dumas, Les Trois Mousquetaires Duras, L’ Amant Duras, Un barrage

qui travaillent à la chaîne de l'usine. La journaliste Florence Aubenas, grand reporter du Nouvel Observateur (enlevée à Bagdad et retenue en captivité en Irak pendant 157 jours en 2005) a décidé de vivre au quotidien les conditions de travail des femmes de ménage à temps partiel. Dans son récit autobiographique « Le Quai d'Ouistreham » (prix Joseph Kessel en 2010), elle se met dans la peau d'une demandeuse d'emploi qui va pointer à Pôle emploi. Elle va vivre au jour le jour la galère des travailleurs

Constance. Constance : Bonjour… Aux autres. Pourquoi est-ce qu’elle est pieds nus ? Jenny : La dernière fois qu’on l’a arrêtée sur la route, il paraît qu’elle était toute nue sous son manteau. Carol : Au téléphone. « Bon j’attends ! » Aux femmes. J’ai pris mon talon dans ce trottoir de bois pourri, et ça l’a cassé net. Il paraît que si on perd son talon le matin, ça veut dire qu’on trouvera le grand amour avant la tombée de la nuit. Peut-être que je trouverai le grand amour avant l’aube,