Les Aménagements Des Espaces Touristiques Littoraux

Chapitre 1 : Les littoraux, espaces attractifs. Les littoraux sont des zones de contact entre la terre et la mer c’est ce que l’on appel une interface. Elle constitue à la fois une limite aux espaces habités et aussi une ouverture sur le monde. Auj + de 60% des Hommes vivent à - de 60 Km de la mer. A la Réunion 80% des hab vivent à - de 5 Km de la mer. Cette attractivité s’explique par le faite que les littoraux sont des espaces qui concentre une multitude d’activité humaine aussi varié que la pêche

← Le croquis doit avoir un titre : le sujet ← Le croquis doit avoir une nomenclature / toponymie suffisante ← Il faut apporter un soin particulier au coloriage, l’écriture, les hachures… ← Les espaces blancs doivent faire l’objet d’une légende I. un espace economique encore largement herite du passe 1. DES RÉGIONS CENTRALES QUI CONTRIBUENT À LA PUISSANCE DU PAYS La région-capitale : l’IDF, qui réalise 29% du PIB français sur 2.2% du territoire, grâce à ses

contraintes - sont aujourd’hui exploitées. C’est le cas par exemple des montagnes, dans lesquelles l’enneigement et la pente ont permis le développement du tourisme. Il en va de même pour certains milieux et paysages comme les littoraux, les milieux forestiers et les espaces ruraux. • D’autres ressources naturelles sont de plus en plus exploitées parce qu’elles offrent des perspectives dans le domaine des énergies renouvelables. Les éoliennes - y compris les projets de parcs offshores -, l’énergie solaire

Les dynamiques des espaces productifs français dans la mondialisation I. Un territoire organisé par les villes et les transports Des villes qui concentrent les activités de tertiaire supérieur, et des activités rares. Elles sont donc des villes au cœur des dynamiques de production. Les grandes métropoles ou souvent les grandes régions industrielles qui se sont développées à proximité de ces métropoles constituent des espaces productifs intégrés à la mondialisation. On assiste ainsi à la concentration

contraintes - sont aujourd’hui exploitées. C’est le cas par exemple des montagnes, dans lesquelles l’enneigement et la pente ont permis le développement du tourisme. Il en va de même pour certains milieux et paysages comme les littoraux, les milieux forestiers et les espaces ruraux. • D’autres ressources naturelles sont de plus en plus exploitées parce qu’elles offrent des perspectives dans le domaine des énergies renouvelables. Les éoliennes - y compris les projets de parcs offshores -, l’énergie

mémoire. L e premier cas portera sur le Maroc, ce pays qui s’étend sur 447000 km2 et compte 31 millions d’habitants, il est le second pays touristique du Maghreb. Tout proche de l’Espagne, il bénéficie de conditions naturelles variées et un riche patrimoine urbain des médinas. Les sites touristiques du Maroc sont concentrés beaucoup plus dans le nord, sur le littoral méditerranéen, composé de stations balnéaires comme el Hoceima ainsi que d’autres villes importantes comme Tanger la porte d’entrée du

méditerranéen (2001). Document 4 : « Marocains des deux rives. » Document 5 : Le complexe touristique d’El-Kantaoui, près de Sousse en Tunisie. PREMIÈRE PARTIE Le candidat analysera l’ensemble documentaire en répondant aux questions suivantes. 1. Identifier et caractériser les zones de départ et d’arrivée des migrants (documents 1 et 2). 2. Quels sont les traits communs des lieux de transit clandestins dans cet espace méditerranéen (documents 1 et 2) ? 3. À l’aide d’éléments relevés dans les documents

cherche à impliquer les touristes dans les actions de gestion de l’environnement en vue de minimiser les impacts négatifs du tourisme sur le long terme. Cependant, ces deux concepts sont contradictoires puisque si l’un engendre le développement des aménagements pour l’accueil des touristes, l’autre favorise la préservation des sites naturels. 1 Par Clothilde Couturier, Tiffany Pankowski, Ayaka Ueno, Nantenaina Randrianandrasana, Emilie De La Iglesia (CDT et Conseil Général), Coralie Jean-Pierre

d’abord les nouveaux aménagements comme par exemple les terres pleins construit dans la baie de la ville qui s’expliquent clairement par un manque de place qui entraîne ainsi un manque d‘espaces verts comme nous le signifie la carte étudiée. La ville dispose aussi de grands axes autoroutiers ainsi que ferroviaires ce qui facilite la communication et l’échange avec le reste de l’île. Tokyo a son propre centre d’affaire ; le Central Business District (CBD) et dispose d’un espace portuaire conséquent

Synthèse du programme de formation 06 Description de la compétence 07 Les séquences du module de compétence 08 Séquence 1 10 1.1 Caractériser les ressources des villes impériales……………………………………………12 1.2 Identifier les potentialités des littoraux………………………………………………………..16 1.3 Présenter l’activité réceptive des montagnes………………………………………………..18 1.4 Déterminer le niveau d’attractivité des déserts………………………………………………20 Séquence 2 ………………………………………………………………………………………….21 2-1 Construire des cartes