Les Animaux Malades De La Peste

ECRITURE D’INVENTION Texte étudié : Les animaux malades de la peste Sujet : imaginez que vous prenez la défense de l’âne dans cette assemblée et que vous vous faîtes son avocat. Écrivez le plaidoyer que vous feriez sans oublier de remettre en cause les membres de l’assemblée. Votre texte sera uniquement du discours et gardera la situation de La Fontaine. … et dire qu’il y a quelques mois j’ai failli trépasser sous les coups de nos concitoyens ! s’exclama l’âne. -Hé oui

La Peste est un roman d'Albert Camus publié en 1947. Certains personnages de la Peste sont présents dans des pages des Carnets, écrites à Alger en 1938. Mais c’est surtout à Oran, de la fin de 1940 au printemps de 1942, puis en métropole qu'Albert Camus élabore son roman. Une première version manuscrite, prête au début de 1943, est profondément remaniée. Publiée en juin 1947, chez Gallimard, la Peste vaudra à Camus son premier grand succès de librairie (161 000 les deux premières années, plusieurs

La composition de l'oeuvre : "la Peste" de Camus Introduction : Albert Camus , né le 7 novembre 1913 et mort le 4 janvier 1960 dans un accident de voiture, était un grand écrivain du XXéme siècle. Il fut aussi un journaliste militant engagé dans la Résistance Francaise et dans les combats moraux de l'après-guerre. Il marqua la vie culturelle francaise de 1936 à 1940 en écrivant de nombreuses oeuvres théâtrales, comme Caligula; des essais, comme Le mythe

lecteur ? Y a-t-il des images ? | La Fontaine« Les Animaux malades de la peste » p166 | Allitération v10 = négation perdu l’envie de vivreRime riche = amplifier le malheur (fureur -> terreur) | Modélisation = sans autoritéOxymore ‘’mourante vie’’ = vie du mondeRejet de la peste crée du suspens avec périphrase Rejet de berger = aggrave la faute | Variations des animauxDiscours direct Discours indirectRejet | Comparaison des Hommes grâce aux animaux | Voltaire« Poème sur le désastre de Lisbonne »

;Les animaux malades de la peste La Fontaine Intro : La fontaine a fait la satire de son époque. C’est un moraliste, les source de cette fable sont les sermonnaires ; dans les serments on utilisait la fable dans un but dédactique religieux, pour instruire les fidèles. La fontaine détourne le sens du serment (il dit le contraire). La fontaine imagine dans l’univers des animaux, une situation à celle des hommes, à l’occassion d’une peste on cherche un bouc émissaire pour apaiser la colère des

La peste est provoquée par une bactérie dont le rat est porteur sans en être lui-même affecté. Le bacille de Yersin se transmet à l’homme par un parasite commun aux deux espèces : la puce. C'est Alexandre Yersin qui découvrit en 1894 le bacille de la peste. La maladie prend deux formes : La peste bubonique (la plus commune) : des taches noires apparaissent sur le corps au niveau des ganglions et enflent en même temps que la fièvre monte. Le deuxième jour apparaît le bubon qui est très douloureux

Rieux : Docteur qui lutte contre la peste durant tout le roman (l’auteur révèle à la fin qu’il est le chroniqueur du roman). M. Michel : Concierge de l’immeuble de Rieux. Cottard : Homme dont Grand a empêché le suicide et qui éprouve une malsaine satisfaction à voir les autres dans le malheur. Grand : Employé de mairie écrivant un livre dont il essaie de réécrire en vain la première phrase. Castel : Confrère de Rieux Rambert : Journaliste parisien faisant de tout son possible pour quitter

| |Et que la faim en ces lieux attirait. | |"Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage? | |Dit cet animal plein de rage : | |Tu seras châtié de ta témérité. | |-Sire, répond l'agneau, que Votre Majesté

après le coup mortel porté à l'unité française et à l'honneur français... Lundi dernier, le correspondant de Combat, à New York écrivait : « l'Amérique attend que la France guérisse du gaullisme, nous sommes les animaux malades de la peste »; Attendu que la SOC. à responsabilité limitée Société Nouvelle d'Imprimerie et de Publicité, a été citée comme civile¬ ment responsable de son préposé Moreux; Attendu que Moreux ne conteste pas

Les Animaux malades de la peste. Un mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La Peste (puis qu’il faut l’appeler par son nom) Capable d’enrichir en un jour l’Acheron, Faisait aux animaux la guerre. Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappez. On n’en voyait point d’occuper A chercher le soutien d’une mourante vie ; Nul mets n’excitait leur envie. Ni Loups ni Renards n’épiaient La douce & l’innocente proie. Les