Les Arts décoratifs

artistiques : 1- Arts de l'espace (architecture, urbanisme, art des jardins, paysages) 2- Arts du langage (Littérature, mythes, romans, contes) 3- Arts du quotidien (Arts décoratifs, gravure, émaux, design, tapisserie, porcelaine). 4- Arts du son (Musiques, compositeurs, œuvres, opéra, instruments, chansons) 5- Arts du spectacle vivant (Danse, arts du cirque, théâtre) 6- Arts du visuel (Peinture, sculpture, dessin, photographie, cinéma, bande dessinée, arts graphiques, arts numériques) 1/2

dans l'architecture, les arts graphiques et la décoration intérieure. Il est caractérisé par des formes végétales et animales, et une organisation asymétrique. C’est le début de l'architecture contemporaine. Il apparaît dans les années 1890. L'expression « Art nouveau » se reconnaît sous un grand nombre d'appellations : - en Autriche et en Allemagne, le Jugendstil « style des jeunes », - les États-Unis connaissent le style Tiffany, - la Grande-Bretagne le mouvement Arts and Crafts, - les Pays-Bas

Geoffroy BAYON, Collège CHAMBERTIN Modalités pour l'épreuve d'histoire des arts 2015 Épreuve orale d'histoire des arts, mercredi 3 juin, 13h30 à 17h30 Important : munissez-vous des documents graphiques ou sonores dont vous aurez besoin. Afin d'éviter les problèmes de compatibilité, nous vous conseillons de privilégier autant que possible les supports sur papier et de bien vous assurer des possibilités de lecture de vos supports numériques au collège. 1 L'organisation pratique de l'épreuve : •

UE 22 – Histoire de l’art moderne Des « bergères » bien commodes : le mobilier en France au XVIIe siècle Chapitre unique – Les arts décoratifs mobiliers entre le XVIe et le XXIe siècles I) Les arts décoratifs n’offrent pas beaucoup de mobilier de l’époque moderne à Toulouse et les seules traces de richesse que l’on peut y trouver sont celles conservées au Musée Paul Dupuy. Contrairement à certaines grandes villes françaises comme Paris par exemple, Toulouse n’a malheureusement pas

par la multitude de petites théières qui évoque le chaleureux moment autour d'une tasse de thé. Dans toutes les réalisations qu'elle nous présente, le processus créatif est destiné à des objets du quotidiens. On est donc bien dans le registre des arts appliquées, selon la répartition habituelle faite dans cette partie du monde où nous nous trouvons. Elle explique que, selon elle, une œuvre d'art doit être belle et fonctionnelle, et elle insiste particulièrement sur le fait qu'elle doit transmettre

matériaux, voire comme outil. Au tournant du XXème siècle, l’art nouveau, en réaction à une industrialisation appauvrissant l’esthétique comme le processus de création, entreprend d’intégrer l’art à la vie, en soumettant les arts décoratifs à l’influence des beaux-arts ; et pour que l’art investisse le quotidien, l’esthétique doit rester accessible à tous. Le retour du végétal se présente alors comme une manière de redonner aux objets une beauté simple et authentique. Les lignes stylisées du végétal

Style au tournant du siècle, mais ses origines remontent aux années 1880. On en trouve en effet les premières manifestations en Angleterre, dans le secteur graphique, dans l’impression comme dans l’édition. Le retour à la nature prôné par le mouvement Arts and Crafts s’exprimait ici dans des lignes aux contours organiques, dans des formes de plantes, des tiges de fleurs et des vrilles stylisées, utilisées comme décorations. On privilégiait notamment les lis et les nénuphars, car ils renfermaient aussi

Larousse, 2003. • J.F Variot, La marque post-publicitaire, Village Mondial, 2001. • N. Riou, Pub Fiction – Société postmoderne et nouvelles tendances publicitaires. Organisation EDS, 1998. • M. Wlassikoff, Histoire du graphisme en France, Les arts décoratifs, 2008. • R. Hollis, Le graphisme de 1890 à nos jours, Edition Revue et augmentée, 2002. • S. Heller et G. Anderson, typographie vintage à l’ère du numérique, Thames et Hudson, 2007 • D. Cuvillier, 100 Tendances d’aujourd’hui pour demain, Chene

sont plus ambitieux. Dégagés des limitations de l’artisanat ordinaire, les derniers gagnent les statuts de ceux qui produisent les « arts décoratifs » ou les «arts appliqués », de manière que peuvent être appréciés dans musées et galeries. Ce type de gratification les inspire à essayer d’obtenir espaces aux expositions plus prestigieux pour s’approcher des « Beaux-Arts ». Inversement, Becker introduit aussi une autre modalité : les artistes de l’artisanat. Cette « race », comme définit l’auteur

assiste à l'Académie de la Grande Chaumière aux cours d'Antoine Bourdelle, avant de continuer son exploration de l'art et de la sculpture en Italie. Elle était artiste du peuple de l'URSS et n'aimait pas les membres actifs de l’Académie des Beaux-Arts de l'URSS. Elle a remarquablement contribué au développement de la sculpture monumentale et du portrait soviétique. On peut parler, à propos de son œuvre, d'art officiel. Sa sculpture la plus célèbre, L'Ouvrier et la Kolkhozienne, fut érigée à Paris