Les Avantages Du Comique

sa propre défaite et de la désobéissance d’Agnès, qu’il est obligé d’écouter les détails. Le comique joue ici pleinement à ses dépens et annonce déjà l’échec de tous ses plans. I. Arnolphe : spectateur forcé de sa propre défaite a) Le récit d’Horace Horace rapporte la scène à Arnolphe comme s’il avait assisté à un divertissement et souhaitait en faire partager tous les aspects les plus comiques à son « ami » Arnolphe. Le discours narratif (verbes d’action, verbes au passé composé…) est

chef de famille et sa mère sont fous de lui; les autres membres de la famille le méprisent et le détestent. Nous pouvons donc nous interroger quant à la véritable intention de ce texte. Dans un premier temps nous étudierons les caractéristiques comiques de cette fin de scène. Seulement nous serons amenés à voir que cette scène annonce une pièce visionnaire particulièrement satirique. Enfin nous nous demanderons si cette scène ne serait pas une farce tragique. Chez Molière, nous savons, que

commun. D’abord car elle possède des types de comique variés. Effectivement l’œuvre est composé de plusieurs styles de comique que nous pouvons repérer assez facilement, par exemple nous pouvons remarquer un comique de mot dans la toute première scène quand Argan parle en monologue et qu’il répète une dizaine de fois le mot « Drelin ! ». La répétition du mot et le fait qu’il parle tout seul existe juste pour faire rire le spectateur. Et cela rejoint un comique de caractère car on voit l’impatience du

les difficultés s’enchaînent alors: en obtenant le droit d’occuper la salle de théâtre du Petit-Bourbon, Molière observe les comédiens italiens de la commedia dell’arte. Il se révèle un génie de l’improvisation et développe toutes les formes de comique : de gestes, de mots, de situation et de caractère. Mais en affinant son jeu et son écriture, Molière devient plus critique et parfois acerbe. Les pièces s’enchaînent en même temps que les scandales : en accédant au théâtre du Palais-Royal, Molière

question que nous nous posons est : « Quelles sont les stratégies littéraires utilisées par les écrivains des 17eme et 18eme siècles pour dénoncer les injustices en France ?». Nous étudierons les genres littéraires, les registres utilisés et les avantages et inconvénients de l'argumentation indirecte puis nous ferrons de même pour l'argumentation directe. Dans un premier temps nous allons étudier l'argumentation indirecte. Devant la diversité de genre littéraire, le but reste le même : cacher

Sganarelle c'est que Dom Juan a bien appris son rôle : comique de double énonciation qui tend à révéler le côté artificiel du langage théâtrale. « Vous parlez tout comme un livre » cette citation est une critique. Or à la première représentation, Molière joue Sganarelle : il semble faire une autocritique (= il critique lui-même son œuvre). C'est une mise en évidence de comique de genèse fictionnelle. Les comiques : le comique de mots : → « vertu de ma vie » : juron utilisé par le

leurs fonctions des modèles antiques. Ces genres donneront naissance à des registres : le registre comique et le registre tragique. Dès-lors, il serait intéressant de se demander si le registre comique permet autant que le registre tragique de réfléchir aux problèmes politiques et moraux auxquels est confronté l’Homme .Nous verrons donc, dans une première partie, les avantages du registre comique pour la réflexion pour ensuite s’attarder sur ceux de la tragédie. Nous consacrerons une troisième partie

le metteur en scène. => Gestuelle très importante : différencie les deux personnages. Jean doit être très strict, voire sévère vs Béranger. L'attitude des deux personnages est très différente > trahit leur caractère. • La diction peut favoriser le comique. Le metteur en scène peut faire en sorte que chaque personnage ait sa façon de parler (tics de langages, accents...) et insiste sur les exagérations, répétitions de mots. • Donnez un exemple de votre culture personnelle qui montre cela. En quoi

œuvre, le père Ubu, personnage principal, fut roi d’Aragon et est maintenant capitaine de dragons, officier de confiance du roi de Pologne, Venceslas. La mère Ubu, sa femme, aspire au trône et pousse son mari à s’en emparer en lui décrivant les avantages de la vie de souverain. Le père Ubu se laisse convaincre et occasionne un complot avec le capitaine Bordure. La veille de la revue de l’armée, la reine a un rêve prémonitoire et tente de dissuader le roi de s’y rendre, mais celui-ci y va quand même

dans l’acte trois, odieux dans l’acte quatre, et, comble de la déchéance hypocrite dans l’acte cinq. - la présence du « merveilleux » : une statue qui bouge, une spectre, une statue qui vient dîner, une descente aux Enfers. C/Une pièce tragi-comique rompant avec les règles du Théâtre classique A. La pièce de Molière ne respecte aucune des règles édictées par Boileau parce que l’auteur y suit la logique d’une démonstration précise : -pas d’unité de lieu : à chaque acte son lieu des « extérieur »