Les Aveux Dans Phèdre

aussi voir les effets calcul és et rares par lesquels il prépare son spectateur à recevoir «cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie». (préface de Bérénice) Mots-clés: Exposition, Andromaque, Britannicus, B érénice, Phèdre, Scène Initiale, Vraisemblance, Confident. 116 Plume 12 Introduction Dans la contexture d'une pièce classique, l'exposition «est la partie qui fait connaître tous les faits nécessaires à l'intelligence de la situation initiale.»(Scherer

ZOLA LA CUREE CHAPITRE V PAGE 249 « UN SOIR, ILS ALLERENT…OENONE » LAREPRESENTATION DE PHEDRE » La réécriture d'un mythe : « une nouvelle Phèdre » INTRODUCTION : Mettre les 1eres phrases déjà données avant la situation du passage. Un an s’est écoulé depuis la scène du café Riche, où Renée et Maxime ont commis l’acte d’inceste pour la 1ère fois. Le besoin d’argent a poussé Renée à céder aux avances de Saccard. Tentant vainement d’éprouver un plaisir nouveau dans cette situation, elle souffre

annonce ainsi les difficultés, voire l’impossibilité, qu’il rencontrera pour annoncer sa mort à sa famille. B) Parce qu’elle donne la tonalité de la pièce. Ex. Dans Phèdre, la tirade de Thésée, toute en alexandrins, donne à entendre toute la colère de Thésée, à la fois victime et coupable, aveuglé par le mensonge de Phèdre. Ainsi, la répétition de l’impératif « fuis », les invectives (« Perfide », « Monstre », « Reste impur », « traître »), mais surtout les champs lexicaux de la

Décision Question 3 Phèdre est une tragédie écrite par Racine qui est un poète tragique français considéré, comme l’un des deux plus grands dramaturges classiques français. Scène 4 Acte6 : Phèdre est une tragédie de la passion ,le personnage éponyme éprouve une passion pour son beau-fils. Sur un plan symbolique, cet amour est incestueux. Ce qui fonde la situation tragique du personnage, c’est qu’elle refuse cet amour sans pouvoir y résister. Dans cette scène, Phèdre laisse éclater sa fureur

personne » P.Corneille] manifestement représenté dans Phèdre de Jean Racine qui nous parle d’amour incestueux avoué dans une grande honte étayé par des champs lexicaux lyriques traduisant de nombreux sentiments ou émotions: « ma fureur », « un feu », « horreur », « courroux », « remords », … Puis on peut observer des termes plus noirs vers la fin : « morts »,  « brûlantes veines », « poison » , « venin », … Le spectateur assiste donc au déclin de Phèdre, cette évolution est à dimension pathétique il crée

ailleurs, et ce comme dans la plupart des passages clés de ce roman, la mise en scène est très travaillée. D’une part, la scène est très théâtralisée. D’une part, le thème de l’aveu est en lui-même théâtral, est n’est pas sans rappeler l’aveu de Phèdre à Hippolyte dans la pièce éponyme de Racine, contemporain de Mme de Lafayette. D’autre part, la présence de Nemours caché rappelle lui aussi l’univers du théâtre, puisqu’il rappelle la présence de Néron dans le faux entretien entre Junie et Britannicus

en danger peut être simplement lié au fait de donner son avis. Il peut s'agir d'une simple discussion, d'une dispute, d'une lettre, d'un aveu, d'une dénonciation... Par exemple, dans « Phèdre » de Racine, les personnages parlent trop. Ils sont forcés de parler par des personnes qui leurs sont proches. Leurs aveux vont influer sur leur vie et celle de leur entourage. Il ont émis une vérité dangereuse. Celle-ci s'est, au final, retournée contre eux. Le fait de parler, d'émettre un avis, de partager

composé Phèdre, acte V, scène 7 (et dernière) En faisant représenter Phèdre en 1677, Racine revient au récit mythologique qu’avaient déjà repris Euripide et Sénèque : l’épouse de Thésée, frappée par Vénus, se prend d’une passion aussi irrésistible que condamnable pour son beau-fils, Hippolyte. Chez Euripide, Hippolyte donnait son titre à la tragédie (Hippolyte porte-couronne), et Racine, dans un premier temps, intitula sa pièce Phèdre et Hippolyte ; mais c’est finalement Phèdre qu’il retiendra

2) Le tragique : a) L’obsession d’Harpagon b) Le fait de parler tout seul c) La résolution finale Comparer ce monologue avec un monologue tragique, par exemple celui de Don Diègue ou de Rodrigue dans Le Cid ou celui de Phèdre dans la pièce du même nom. Elements de réponse : I/1) Cette scène est une scène de monologue (du grec « monos », seul et « logos », parole, discours) : Harpagon est seul en scène et se parle à lui-même, mais, ce qui serait anormal dans la

liberté, aucun refuge, si ce n’est dans la mort même. C’est le cas dans Phèdre par exemple, où l’on retrouve ce pessimisme dans le destin des personnages et leur sentiment d’abandon face à un Dieu qui ne dévoile pas ses desseins. On peut aussi voir dans cette œuvre que Racine met en valeur des passions dévorantes, destructrices et compliquées et ces passions irrationnelles et incontrôlables ne sont pas toujours réciproques puisque Phèdre aime Hippolyte qui aime Aricie. Ces personnages vont donc être enfermés