Les Bandits

puisque son oncle, chanoine, l'avait aiguillé vers les ordres ; mais tout aussi fort en escrime. Cependant, un point faible : le voici partant à l'aventure sur le dos d'un cheval paisible, tout à fait inconscient des dangers qu'il court de la part des bandits, des faux-moines et. des dames qu'il s'avise de sauver. Mais il s'adaptera rapidement à ce monde de coupe-gorges et d'intrigues et, pour rejoindre la dame de ses rêves, deviendra le plus rusé de tous. A la Cour d'Espagne, il aura raison de

escaliers. La clé est juste à droite des grands escaliers. • Rookridge : 6 clés - Sur la route vers Oakfield. Après avoir tué les bandits qu'il est conseillé de tuer à distance. Il y a un pont menant à une statue et une clé d'argent cachée derrière.  - Après la grotte des Hobbes. Derrière la maison près du pont cassé.  - Pendant la mission tuer les bandits sur la mine. Peu après être sorti du guet-apens dans la maison. - Dans le temple des ombres, la salle de gauche.  - Grottes

Clara. Jean-Michel explique qu’il valait mieux ne pas rouler la nuit dans ce pays. C’est à cause de la grande valeur de voitures. Il y a beaucoup de bandits qui volent les voitures et aussi tuent les gens qui sont dedans. La police dans ce pays est beaucoup moins efficiente que dans les autres pays. C’est la raison pour laquelle il y a beaucoup de bandits. Hector demande à Jean-Michel s’il est heureux et il répond qu’il est heureux parce qu’il a un métier qu’il aime et il dit aussi que toutes ses journées

GENRES, DES TYPES ET EXTRACTION DU PROPOS DIRECTEUR :  : Le document 1 2/2 est du genre poétique, écrit en prose par une rythmique de « Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan », mais aussi par des vers libres, et de type narratif et descriptif. Le propos directeur de Prévert dans son poème, fait apparaitre deux côtés, le côté population haineuse par « Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan ! », et le côté des jeunes pensionnaires révoltés par cette maltraitance, affolés par l’issue de cette île et sont

s’agit de Don José Navarro, un bandit poursuivi par les autorités. Après le repas, ils vont se coucher et au milieu de la nuit, le narrateur s’éveille et va dehors où il voit passer une ombre. Il s’aperçoit que c’est son guide Antonio qui lui annonce aller dénoncer Don José pour 200 ducats. Le narrateur réveille Don José pour l’en avertir. Après avoir juré au narrateur qu’il ne se vengerait pas de son guide, Don José se s'échappe et quand les lanciers arrivent, le bandit s'est envolé. Une semaine

stupéfait par l’ardeur des mineurs. La première parole des bourgeois semble être de l’humour « prenez vos flacons, la sueur du peuple qui passe ! », puis la peur s’installe progressivement « quels visages atroces »(l22), Négrel les comparent à des bandits « ces bandits-là »(l24-25). On relève aussi le champs lexical de la peur qui commence par un oxymore « belle horreur »(l33), « s’effrayaient »(l34), « la glaçait »(l36), « blêmir »(l36), « ces épouvantes »(l38), « ne bougeait plus »(l38). Zola a donc fait

engagé, le message véhiculé dans le texte: a/ Un violent réquisitoire contre un homme, la dénonciation d’un tyran. « cet homme », « ce bandit »’ « ce scélérat ». Hugo ne nomme pas Napoléon, Il utilise des valeurs péjoratives de démonstratif. Il utilise les insultes, il méprise Napoléon III. Périphrase V 13-14 «  Prince (…) Bois » assimile Napoléon III à un bandit. Nap III aimerait se placer dans la lignée des grands chefs de d’états. Moquerie de Hugo. Nap III un tyran qui agit dans l’ombre. Insistance

œuvre qui s’insère dans les scènes privées de la comédie humaine . Cette œuvre présent un brave jeune homme . Le projet de l’auteur consiste à étudier les types sociaux comme les espèces animales . Ce passage est le portrait de Vautrin, dangereux bandits qui se cache de la police dans la pension Vauquer . I/ Le portrait réaliste A. Physique et caractère Son nom Vautrin , son âge « l’homme de 40ans » , le corps « épaules larges » l-3 , « buste bien développé » l-3 , « muscle apparents »

ogre qui y révéla, pour avoir la vie sauve, la recette du brocciu, célèbre fromage insulaire. Il fut quand même sacrifié, laissant son nom à un dolmen. Et ne dormez pas sur la plage, les cochons sauvages détroussent. A moins qu’il ne s’agisse de bandits. Minotaures, cerbères, assassins. Les déserts sont des vides que l’imaginaire emplit, ainsi que les écrivains et quelques hommes de foi. Rimbaud, Foucault, Monod… Les Agriates, c’est un désert. C’est une étuve. Un enfer ou un passage vers quelques

s'apprête calmement à les ligoter : ce couple richement vêtu implore leur pitié à deux genoux, et à grands gestes (gestuelle caractéristique de l'époque, dans le goût d'un Greuze -qui tente de revaloriser la peinture de genre). A leur gauche, un dernier bandit au costume sombre menace dangereusement de son poignard levé un voyageur étendu au sol, en fâcheuse posture, son fusil abandonné et baignant dans son sang. Peinture narrative, cette scène prise comme sur le vif, fortement dramatisée et pathétique