Les Bandits

Gil Blas, né dans la misère, a été éduqué par son oncle. En route pour Salamanque, i lest fait prisonnier par des bandits, qui l'associent à leurs méfaits. Il participe ainsi à l'enlèvement d'une jeune femme voyageant en carrosse. Pris de pitié pour la prisonnière, il cherche un moyen de s'échapper avec elle du souterrain des bandits. Alors qu'il se couche, il a une idée. Je feignis d'avoir la colique. Je poussai d'abord des plaintes et des gémissements. Ensuite, élevant la voix, je jetai de grands

en compagnie de ses amis. Pauline est inquiète : on ne parle dans les journaux que des bandits qui sévissent dans cette région. Après quelque temps, elle décide d'aller rejoindre son époux… qui n'apprécie guère la surprise et s'absente aussitôt pour deux jours. Elle vit alors des moments de terreur, ose emprunter un passage secret dans la bibliothèque et découvre que son mari et ses compagnons sont les bandits recherchés… Elle assiste, horrifiée, au meurtre d'une jeune Anglaise, Milady. De peur qu'elle

de la souche de la famille Scorta depuis le fin de XIXème siècle au même temps que Laurent Gaudé fait un magnifique description des gens et de la région des Pouilles, au sud de l'Italie, jusqu’á plus ou moins les années 1960. Au début du roman, un bandit appelé Luciano Mascalzone retourne à Montepuccio, un village prés de la mer et entouré des champs des oliviers, autour de laquelle cette histoire se déroule. Luciano a passé quinze ans en prison avec l’unique obsession de posséder Filomena Biscotti

monde intellectuel et artistique. Le drame se situe dans l’Espagne du début du XVI e siècle et entremêle principalement deux intrigues de types différents et pourtant complémentaires. D’une part, l’intrigue amoureuse suit la passion de Hernani, bandit proscrit, et de Doña Sol, femme convoitée mais par trop d’hommes, puisqu’elle est promise à son vieil oncle Don Ruy Gomez, chez qui elle réside, et qu’elle est également objet de l’amour de Don Carlos, le roi d’Espagne lui-même. D’autre part, l’intrigue

vengeresse et un mépris sans bornes. 2) Deux personnages historiques occupent une place importante dans cette œuvre : l’un est célèbre, l’autre est violemment dénoncé. Qui sont-ils ? Victor Hugo dénonce violemment Napoléon III qu’il décrit comme « bandit ». Victor Hugo prend la nature comme témoin, donc l’autre personnage célèbre est Dieu - le créateur de la nature. 3) Récapitulez les différents éléments de la nature qui sont présents dans le poème : à partir de la récurrence de « ô », précisez

que l’œuvre soit gravée dans l’histoire et que les générations qui suivent soient mises au courantde se qu’il se passait avant. ♦ Pour critiquer : Eluard, dans ce poème, a voulu critiquer la politique française, en écrivant : « Tandis que les bandits à face d’apôtre, les Pétaintaire d’un texte de Paul Eluard « Comprenne qui voudra » Pourquoi rendre compte de la guerre sous la forme poétique ? ♦ Pour faire réfléchir : Les poètes ont décidé d’évoquer laguerre sous forme poétique pour que

vieillard, don Ruy Gomez, l'autre est un proscrit, Hernani, le troisième est le roi don Carlos. C'est Hernani qu'aime Dona Sol. Mais le jeune homme a juré de se venger sur le roi d'Espagne d'une injustice faite à son père et il mène l'existence d'un " bandit ". Au troisième acte, le vieillard semble triompher : il va épouser Dona Sol. C'est alors qu'un pèlerin lui demande l'hospitalité ; il le reçoit ; c'est Hernani. Sa tête est mise à prix et don Carlos vient le traquer jusque dans le château de Ruy

absolument pas le profil d’un meurtrier. Pourtant, quelqu’un semble l’avoir poussé à cet acte. De quoi est-il inculpé ? De l’assassinat de son fils ! Pourquoi a-t-il commis ce crime ? Parce qu’il a agit comme un honnête citoyen en dénonçant à l’adjudant le bandit Gianetto Sampiero qui s’était refugié dans du foin. Qui est Mateo Falcone ? Un homme originaire de la Corse, un père de famille de 4 enfants. Un homme qui s’est attiré une grande réputation, un homme serviable et faisant de l’aumône, vivant en

Hernani I, 1 - plan commentaire 1 Commentaire : Victor Hugo, Hernani (1830), Acte I, scène première. En 1827, à peine âgé de vingt-cinq ans, Victor Hugo publie Cromwell, une pièce de théâtre d’un genre nouveau, rompant complètement avec les préceptes classiques. Le projet est toutefois titanesque et, de fait, injouable sur scène. La préface de Cromwell fait cependant date et pose les fondations du romantisme français. Trois ans plus tard, et après la censure de Marion

de la démarche + un bandit pour faire un empereur : c'est l'heure de la tromperie Ce discours est celui manifestement d'une conscience, d'une mauvaise conscience . Il n'est pas sans rappeler partiellement le début d'Iphigénie de Racine par l'heure de la scène mais aussi par l'inversion de la situation (c'est Le roi Agamemnon qui réveille Arcas et c'est pour sauver sa fille Iphigénie) Il s'articule sur le champ lexical des voleurs, des brigands (proie, voleur, bandit,couteau) et sur des