Les Bleus du ciel

petite chambre du deuxième étage, ne sachant que faire. D’ailleurs, il ne savait même pas ce qu’il faisait là, et encore moins comment il y était arrivé. Peut être c’était il assoupit. Quoiqu’il en soit, le soleil était déjà levé et assez haut dans le ciel, ce qui signifiait qu’il était temps de partir pour aller en cours. Il se leva donc d’un pas morose, coiffa en même temps ses cheveux d’une main habile et se dirigea vers une petite porte de la même couleur que le reste de sa chambre, et qui, dans

XIXe siècle, à conquis le public moderne avec son recueil de poèmes : Les fleurs du mal. Ce recueil de poèmes fut condamné et censuré à sa sortie car trop choquant. Baudelaire y parle du bien et du mal, de le laideur et de la beauté, de l’enfer et du ciel.. Il était connu pour son vie de bohème. Thème et spécificités : Lutte en l’homme et la mer. Ce poème exprime comme d’autres poèmes du recueil (l’Albatros, la Musique) la fascination de l’auteur pour la mer qu’il croit à notre image. Pour nous le

s’envole vers le ciel. Chapitre 19 : De retour à Babylone, Zadig est confronté à une série d’énigmes. Il les résout facilement. Il indique que c’est lui et non pas Itobad qui portait l’armure blanche lors du tournoi. Il est finalement rétabli dans ses droits et peut épouser Astarté et devenir roi . Babylone connaît alors une période de prospérité et de bonheur … Appendice : la danse :le roi nabassun de mande a zadig de lui trouvait un tresorier honnete en les faisant danser Les yeux bleus : le roi nabassun

dans l'or et dans la moire Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser la gloire D'un ciel pur où frémit l'éternelle chaleur. Je plongerai ma tête amoureuse d'ivresse Dans ce noir océan où l'autre est enfermé; Et mon esprit subtil que le roulis caresse Saura vous retrouver, ô féconde paresse, Infinis bercements du loisir embaumé! Cheveux bleus, pavillon de ténèbres tendues Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond; Sur les bords duvetés de vos mèches tordues Je m'enivre ardemment

plus fiers monuments, Consumeront leurs jours en d'austères études ; Car j'ai, pour fasciner ces dociles amants, De purs miroirs qui font toutes choses plus belles : Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles ! Hymne à la beauté Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme, Ô Beauté ! ton regard, infernal et divin, Verse confusément le bienfait et le crime, Et l'on peut pour cela te comparer au vin. Tu contiens dans ton oeil le couchant et l'aurore ; Tu répands des parfums comme un soir

la moire, Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser la gloire D'un ciel pur où frémit l"éternelle chaleur. Je plongerai ma tête amoureuse d'ivresse Dans ce noir océan où l'autre est enfermé ; Et mon esprit subtil que le roulis caresse Saura vous retrouver, ô féconde paresse ! Infinis bercements du loisir enbaumé ! Cheveux bleus, pavillon de ténèbres tendues, Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond ; Sur les bords duvetés de vos mèches tordues Je

dans l'or et dans la moire, Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser la gloire D'un ciel pur où frémit l'éternelle chaleur. Je plongerai ma tête amoureuse d'ivresse Dans ce noir océan où l'autre est enfermé ; Et mon esprit subtil que le roulis caresse Saura vous retrouver, ô féconde paresse, Infinis bercements du loisir embaumé ! Cheveux bleus, pavillon de ténèbres tendues, Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond ; Sur les bords duvetés de vos mèches tordues Je m'enivre ardemment

vers l’enfer, puisqu’il semble il y avoir des flammes en bas à droite de la toile. Les corps semblent vouloir échapper à cette destinée même si certains craignent également la lumière venant du ciel. Tous les personnages sont dans un mouvement de chute malgré que leur attention soit captée par le ciel. On peut notamment constater que la seule source d’éclairage vient de ce dernier. Le personnage Phaéton est au premier plan et tombe du char de son père dans un mouvement très exagéré, ainsi que

serpent qui danse Que j'aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau! Sur ta chevelure profonde Aux âcres parfums, Mer odorante et vagabonde Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s'éveille Au vent du matin, Mon âme rêveuse appareille Pour un ciel lointain. Tes yeux, où rien ne se révèle De doux ni d'amer, Sont deux bijoux froids où se mêle L'or avec le fer. À te voir marcher en cadence, Belle d'abandon, On dirait un serpent qui danse Au bout

l’appentis et dialoguer pendant des heures avec des personnes de multiples horizons aux cultures et vies diverses. Aloïse Daubigné quant à elle, n’a d’yeux que pour son fils Ferdinand, en qui elle voit, à travers la chevelure bonde soleil et les yeux bleus magnifiques le visage de son premier et défunt mari Victor, décédé à la guerre 15 ans plus tôt. Ferdinand est un jeune homme de 25 ans sans grandes ambitions, passant ses journées à errer et ses soirées à boire. La petite Lucie, elle est une enfant