Les Bleus du ciel

| | | |Dragon Blanc Aux Yeux Bleus | | | |Ultra Rare | | | |La Légende du Dragon Blanc aux Yeux Bleus | | | |LDD-F001

THE FORBIDDENS TITANE PREMIÈRE PARTIE LE FEU 1 C e soir, le ciel est noir de suie, sans étoiles. Seule la lune m’éclaire de sa faible lumière blafarde. Jared s’avance vers moi du fond du parc, un sachet de pop-corn dans chaque main. Il s’allonge dans l’herbe fraîche à côté de moi. – À quelle heure doit commencer le feu d’artifices, déjà ? Je regarde à ma montre : – Dans dix minutes… à vingt-trois heures. Aujourd’hui, on est le neuf septembre deux-mille

Que j'aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde Aux âcres parfums, Mer odorante et vagabonde Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s'éveille Au vent du matin, Mon âme rêveuse appareille Pour un ciel lointain. Tes yeux où rien ne se révèle De doux ni d'amer, Sont deux bijoux froids où se mêlent L’or avec le fer. A te voir marcher en cadence, Belle d'abandon, On dirait un serpent qui

(cf. titre du poème) : superposition du gustatif et de l’odorat dans les métaphores de la fermentation v. 27-28 « Plus fortes que l’alcool […] / Fermentent les rousseurs amères de l’amour », reliées à l’évocation de l’alcool v. 19 « taches de vins bleus », v. 27 « alcool », polyptote v. 72 « ivre » / v. 91 « enivrantes ». Emploi du passif v. 69 « Jeté par l’ouragan dans l’éther » qui marque l’emprise de l’ébriété sur lui, comme peut le suggérer le sens d’« éther » (substance hallucinogène). Série

David David est née le 23 aout 1989 . Aujourd’hui, il a 21 ans. De son 1m74, il a une chevelure Blond foncé avec des reflets blond clair, qui rappelle la chevelure de sa mère. Avant de le mettre au monde, son père a dû monter au ciel pour voler les plus beaux yeux bleus comme ceux de sa mère. Avec ces jolies lèvres qui ornent sont jolies petit visage, David a part ailleurs le nez cassé sur le milieu se qui le fait corner. Dans son caractère, on relève un trait de sensibilité qui part ailleurs ne

Sans que la barre ne varie Un inutile gisement Nuit, désespoir et pierrerie Par son chant reflété jusqu’au Sourire du pâle Vasco. Stéphane Mallarmé Bel astre voyageur À La Comète de 1861 Bel astre voyageur, hôte qui nous arrives Des profondeurs du ciel et qu’on n’attendait pas, Où vas-tu ? Quel dessein pousse vers nous tes pas ? Toi qui vogues au large en cette mer sans rives, Sur ta route, aussi loin que ton regard atteint, N’as-tu vu comme ici que douleurs et misères ? Dans ces mondes épars, dis

Le ciel et la ligne d’horizon occupent le tiers supérieur du tableau. De nombreuses lignes suggèrent un mouvement de rotation. Par sa présence au premier plan, la masse sombre de cette barque attire l’œil : elle évoque le mouvement. Le ciel et la mer sont une vaste zone de reflets, sauf dans la partie centrale de la toile. Les reflets rouges du soleil levant éclairent la toile et se reflètent également dans l’eau. Il y a des contrastes de couleur entre les rouges/oranges et les bleus/verts

bon rire qui voulait bien...   - Elle était fort déshabillée Et de grands arbres indiscrets Aux vitres jetaient leur feuillée Malinement, tout près, tout près. http://www.azurs.net/arthur-rimbaud/rimbaud_textes_21.htm Sensation Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l'herbe menue : Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue.   Je ne parlerai pas, je ne penserai rien : Mais l'amour infini me montera

Que j'aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau! Sur ta chevelure profonde Aux âcres parfums, Mer odorante et vagabonde Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s'éveille Au vent du matin, Mon âme rêveuse appareille Pour un ciel lointain. Tes yeux où rien ne se révèle De doux ni d'amer, Sont deux bijoux froids où se mêlent L’or avec le fer. A te voir marcher en cadence, Belle d'abandon, On dirait un serpent qui

poèmes fut condamné et censuré à sa sortie, car trop choquant pour la morale bourgeoise, avant de passer à la postérité. Baudelaire y met en lumière la dualité entre la violence et la volupté, le bien et le mal, la laideur et la beauté, l’enfer et le ciel. Il décèdera le 31 août 1867 à Paris. Présentation du poème: Le Soleil est un joli poème publié dans la section Tableaux parisiens des Fleurs du mal. L'idée soulevée dans ce poème est que l'écriture ne doit pas être réfléchie, elle devient automatique