Les Bonnes Dénouement

Dès l’Antiquité, la comédie se donne un but, celui de corriger les vices des hommes. Il s’agit de détourner les hommes d’attitudes jugées négatives en en montrant le ridicule. Le rire est la sanction qui s’abat sur celui qui transgresse les bonnes mœurs. Les bonnes moeures au 17e siècle, ce sont celles de l’honnête homme, un homme bien éduqué, capable de concilier les exigences de la morale et le goût naturel pour les plaisirs. 3.Principaux représentants du classicisme en littérature Théâtre : l’oeuvre

lecteur peut être surpris. On s’attend à ce que les personnages ont évolué. Problématique étudiée en cours : Dans quel mesure le roman d’apprentissage est il en réalité en dénouement de comédie à la Sganarelle ? Plan étudié : I) Le comique de ce dernier chapitre. II) Quel est l’apprentissage de ce dénouement ? Piste… - Effet parodique de la longue tirade de Pangloss, Rythme cumulatif. On ne peut le prendre au sérieux. Il parle comme un évangéliste. Pangloss ne cite pas 2-3

| |5.1 Dom Juan | |5.2 Sganarelle | |5.3 Les rapports maître-valet | |5.4 Dénouement | |6 Registre | |7 Répliques célèbres | |8 Adaptations

celui qu’elle aime toujours. Son oncle, le Vidame croit bon de faire venir la Princesse chez lui, sans lui dire que M. de Nemours y sera également. Ces deux êtres se retrouvent donc en présence seul à seul. La princesse veut d’abord fuir, puis se ravise, elle avoue enfin à Nemours combien elle l’aime, mais n’en refuse pas moins de l’épouser. Cette ultime entrevue, d’un sobre pathétique, est sans aucun doute le sommet du roman. I - un dénouement tragique : l’adieu A) un adieu définitif : les derniers

souper avec lui le lendemain. Acte V Dans la campagne. Don Juan dialogue avec son père. Il semble repenti et converti. Don Louis le quitte éperdu de bonheur. Mais on apprend que cette conversion est seulement un stratagème pour rentrer dans les bonnes grâces de son père et éviter les ennuis. C'est également en prétextant la dévotion qu'il rejette la demande de Don Carlos de réparer l'offense faite à Done Elvire. Il refuse également le duel, rejetant la faute éventuelle d'un combat sur les deux

renouer avec les anciens empereurs mais aussi d’enlever le pouvoir à Agrippine. * Burrhus et Narcisse ont deux conceptions différentes de la politique. - Le premier essaie d’adoucir le caractère de Néron lorsqu’il veut tuer Britannicus. Il est le bon conseiller, il argumente ses propos en disant que l’honneur de Néron, en commettant un tel acte, serait touché car Rome (le peuple) réagirait mal et que sa politique serait ruinée. - Le deuxième est malfaisant, c’est un traître qui espionne Britannicus

pas un Montague, tu es toi-même. Qu’est-ce qu’un […] et à la place de ce nom qui ne fait pas partie de toi, prends-moi toute entière1». Elle dit qu’un nom ne change rien à la nature de la chose. Elle a pris l’exemple d’une rose qui sentirait aussi bon même si elle ne s’appellerait pas «rose». Le nom est donc, selon elle, quelque chose d’abstrait qui, au bout du compte, ne change en rien la personne qui le porte. 5. Tout d’abord, son amour pour Rosaline n’était pas réciproque au contraire de celui

l'arrivée d'un exempt venu arrêter le personnage éponyme. L'intrigue se dénoue de façon heureuse et inattendue par un véritable coup de théâtre qui révèle enfin toute la noirceur de Tartuffe et le contraint à laisser tomber son masque. Ce genre de dénouement est fréquent au théâtre, art spectaculaire par nature. De façon générale, la découverte d'une vérité constitue un élément important des pièces et s'avère exploitée avec habileté par les dramaturges eux-mêmes comme par les metteurs en scène.

scène 2 Ton plan devrait rendre compte de l'avancée en profondeur dans les motivations de l'hypocrite. Il y a chez Don Juan une prétention à vouloir être la mesure de toute chose y compris dans la loi morale. Don Juan ne veut d'autre règle que son bon vouloir, c'est lui qui prétend décider de ce qui est bien et mal. · "ils donnent hautement dans le panneau des grimaciers" : expression imagée (d'origine cynégétique ou militaire) qui veut dire être victime des pièges, des simagrées des hypocrites

spectateur en le faisant rire. D’une part, la comédie plait par ses intrigues dynamiques. En effet, celles-ci ont pour objectif de tenir le lecteur en suspense et ainsi, il est obligé de regarder la pièce jusqu’à la fin pour connaitre le dénouement. Par exemple, la première intrigue de la pièce est Argan, le « malade imaginaire » ; on se demande déjà comment le soigner ou éventuellement comment le guérir. Cette intrigue est d’autant plus comique puisque le spectateur sait qu’Argan n’est pas