Les Bonnes Dénouement

L’ILLUSION COMIQUE, Corneille Le dénouement INTRO : * Cf. L.A précédentes * Idem * Cette scène constitue le dénouement de la pièce au cours duquel on ê fixé sur le sort des persos ms d’une manière très inattendue. Comme à la fin des actes précédents, elle met en présence Alcandre et Pridamant. * PBQ * Plan : I. Aspects stratégiques II. Un éloge du théâtre III. L’illusion théâtrale I. Une scène stratégique

mouvement, le personnage avance dans sa réflexion. → Le personnage fait un retour sur lui même, il dresse le bilan de son voyage > Dénouement de l'histoire, le lecteur s'attend à une morale correspondant aux idées des Lumières. «profondes réflexions » → L'emploie du pluriel indique que la réflexion de Candide est variée > il réfléchit par lui même sur tous les sujets de la vie,

morale et de le ramener dans le droit chemin. Les discussions qu’il a avec son maître, bien que sa rhétorique soit encore loin d’égaler celle de Dom Juan qui est « un beau parleur » ne sont pas dénuées d’intérêt. Sganarelle a réfléchi, il incarne le bon sens populaire, il ne lui manque plus guère qu’un peu de culture pour pouvoir égaler son maître. C’est ce qui apparaît à plusieurs reprises dans la pièce. Bien qu’il se plaigne régulièrement de son maître, et qu’il dise n’être lié à lui que par une

et le destin, quelque chose qui le dépasse. Il essaie de résister. C’est le rôle de la transcendance. Il y a un rapport entre les hommes et les dieux. Le héros est face à son destin ou face à des dieux maléfiques. Il y a une grande importance du dénouement, le chœur qui chante, les personnages représentent l’action, la catharsis (mélange de pitié et de frayeur, mélange d’identification). Le rapport à l’histoire Aristote a réfléchi entre la littérature et l’histoire. Il a comparé le poète et

Voltaire 1765 = dénonce la tolérance, critiquer la religion, et adoration de Dieu = déisme (voltaire l’était)) II ) remise en cause de la providence : Providence = (ressenti d’expérience spirituelle = surnaturelle) « Sauvages » = référence au mythe du bon sauvage : mythe forgé par les lumières pour servir de support aux débats sur l’éducation et la civilisation. (Idéalisation des hommes vivants au contact de la nature) Opposition des 2 hommes : * « mon fil » L.46 (esprit neuf) => candide de

pousse à lutter contre les sentiments qu’elle éprouve a l’égard de Dorante, quant à lui il ne supporte plus le poids de son mensonge et fait dans cette scène une déclaration d’amour a sa bien aimée. Mais comment voit-on que cette scène annonce un dénouement proche ? C’est à cette question que nous allons tenter de répondre premièrement en analysant je jeu du mensonge et de la vérité qu’il existe entre les deux personnages et dans une seconde partie nous verrons pourquoi les cœurs des deux amants sont

d’après midi, soit presque quatre jours. Les faits sont racontés d’une manière chronologique, en trois étapes, du chapitre un à cinq les crimes, six à neuf l’enquête, et le dénouement chapitre dix à onze. Mais avec un retour en arrière explicatif au chapitre 10 qui fait commencer l’histoire cinq ans plus tôt et le dénouement au dernier chapitre le fait s’achever un an après. Donc c’est une période de cinq à six ans qui est vu dans le récit. Le lecteur s’attend à lire un roman policier et à découvrir

("chantait", "ouïr", "des passages"), suggérant la gaieté cf. les hyperboles qui expriment la félicité du savetier: "merveilles" (répété), et la référence mythologique du v.4 (dans une comparaison disproportionnée) cf. la caractérisation dessinant un bon vivant: "rieur", "gaillard" (v.17-18) cf. aussi le nom "naïveté" (v.30), traduisant son naturel, sa franchise b - tout cela ressort par contraste avec le tempérament sombre du financier: Au v.5, la locution "au contraire" nous

tragédie. La comédie est ainsi la plupart du temps définie relativement à la tragédie, en fonction de quatre critères qui soulignent par leur nature, l’infériorité de la comédie : type de personnages mis en scène, le monde ou l’action représentée, le dénouement ; le ton et le style utilisé. b. le probleme des personnages Aristote définit la comédie comme une «  imitation d’hommes sans grande vertu ». La vertu désigne la qualité du héros de la tragédie : courage, éthique et appartenance

| / | NON * Répulsion | Méchant | NON * Étranger au tragique | NON * Ni frayeur, ni pitié | Pour Aristote, le meilleur retournement est celui de l’homme intermédiaire qui passe du bonheur au malheur. L’ homme « intermédiaire » doit être bon ou posséder des qualités afin que son malheur ne soit pas déclenché par le vice, mais par une erreur. Il ne peut être totalement juste ou totalement méchant car le public ne pourrait s’identifier à lui ; il se situe donc entre les deux. L’erreur ou