Les Causes Conjoncturelles Et Les Causes Structurelles

harmonisation des politiques économiques : politique industrielle, agricole, conjoncturelle. Il n’y a pas d’union économique sans unions monétaire, c’est-à-dire sans une monnaie commune et donc une autorité monétaire supranationale. * L’intégration totale enfin, est indissociablement économique et politique. Elle implique l’unification des politiques économiques et suppose la création d’une autorité supranationale. b) Causes et conséquences de l’émergence de blocs régionaux. 1°) Les grandes

DOSSIER BANQUE ET FINANCE QUEL EST LE PREJUDICE LE PLUS IMPORTANT POUR UNE BANQUE : UN MANQUE DE LIQUIDITES D’ORDRE CONJONCTUREL OU UNE DEFAILLANCE BILANCIELLE D’ORDRE STRUCTUREL? JUSTIFIEZ VOTRE AVIS PAR DES EXEMPLES SOMMAIRE I. INTRODUCTION II. MANQUE DE LIQUIDITE D’UNE BANQUE 1. LIQUIDITE BANCAIRE 2. LA CRISE DE LIQUIDITE 3. EXEMPLE DE LA CRISE DE LIQUIDITE III. DEFAILLANCE BILANCIELLE D’UNE BANQUE 1. SOLVABILITE D’UNE BANQUE 2. UNE BANQUE PEUT ËTRE SOLVABLE

fluctuations conjoncturelles de l'activité autour d'une tendance reflètant les ajustements de court terme de l'économie (selon les théories ces ajustements peuvent survenir de façon endogène ou être provoqués par des chocs exogènes monétaires ou réels). Durée : 8-10 ans. Il faut ensuite distinguer les explications réelles des explications monétaires, les explications traditionnelles des explications récentes. o Cycles longs : une fois enlevées les fluctuations conjoncturelles, la tendance de

spontanément une action contra-cyclique sur l’activité économique, c’est-à-dire d’atténuation des aléas de la conjoncture économique. C’est le principe de régulation automatique ou « main invisible » selon A.SMITH (ouvrage Recherche sur la nature et les causes de la richesse des Nations) En effet, si une grande partie des dépenses publiques sont indépendantes des variations à court terme de l’activité économique (ex : les dépenses de rémunération et de retraite des fonctionnaires), certaines d’entre elles

exhaustive dont les arguments doivent être répertoriés logiquement. Le plan est souvent un plan “ multidimensionnel “en 2 ou 3 parties 1° Causes, 2° Conséquences ou 1° A court terme ( analyse conjoncturelle ) 2° A long terme ( analyse structurelle ) ou encore 1° Au plan microéconomique, 2° Au plan macroéconomique, ou enfin 1° Causes ( ou effets) internes, 2° Causes ( ou effets ) externes. Ce type de sujet se prête aussi aux plans chronologiques si l'on peut distinguer des périodes aux caractéristiques

différents entre cadres, ouvriers et patrons. B) L'analyse de BOURDIEU : l'habitus : BOURDIEU a remis en question l'adage populaire : "des goûts et des couleurs on ne discute pas". Pour lui, il est possible de déterminer les facteurs profonds et structurels du goût du "consommateur". Sans doute, pour BOURDIEU, les écarts dans le niveau de la consommation s'expliquent par des différences de revenus mais les probabilités pour qu'un commerçant, un ouvrier ou un professeur apprécient les oeuvres de PLATON

monétaires peuvent ils jouer sur les déséquilibres économiques ? • Puisque la monnaie devrait être le reflet de notre économie réelle, les interventions des autorités monétaires ne sont efficaces qu’à court terme, dans le cadre d’une politique conjoncturelle. • La monnaie n’est qu’un leurre, sans valeur intrinsèque, son effet n’est que temporaire. Economie monétaire et financière • Q10 La stabilité des prix doit elle le seul objectif des politiques monétaires ? Economie monétaire et financière

LA POLITIQUE DE L’EMPLOI 2 axes déterminent ce type de politique économique : 1/ LE TRAITEMENT SOCIAL (POLITIQUE PASSIVE) : Ces politiques ne luttent pas contre les causes profondes du chômage et se contentent d’accompagner le chômage par des mesures visant à maintenir un certain niveau de consommation et à éviter pauvreté et exclusion. 2/ LE TRAITEMENT ECONOMIQUE (POLITIQUE ACTIVE) : 1. Quelles sont les formes de politique active de lutte contre le chômage ? Aides financières

ralentissement de la croissance et « troisième révolution industrielle » La crise économique de 1974, marquée par un net fléchissement de la croissance, a longtemps été interprétée comme un accident conjoncturel lié au choc pétrolier. On s’accorde aujourd’hui à considérer que ses causes sont davantage structurelles. 1. Le ralentissement de la hausse de la productivité Un cercle vertueux avait porté l’économie de 1947 à 1974 : la hausse de la productivité, qui entraîne l’accroissement des revenus réels

des « objectifs du millénaire » consistant à diminuer de moitié entre 1990-92 et 2015 la proportion de personnes sous-alimentées. En 2009, on dénombre près d’un milliard de personnes souffrant de la faim. Cette situation a des causes structurelles, mais aussi conjoncturelles. Ce déficit et la pression démographique rendent de toutes les façons nécessaire une forte augmentation de la production alimentaire. Le sujet d'étude conduit à s'interroger sur la sécurité alimentaire des populations dans la