Les Champs Lexical De La Tempete

que c’est la musique qui donne son élan et préside à tout le poème. Tout part de la sensation auditive. Mais le poème ne comporte aucun terme technique musical précis et, après le 1er vers, le champ lexical de la musique disparaît ; seuls les mots « vibrer » et « bercent » peuvent encore appartenir au réseau lexical de la musique. les enjambements créent un bercement, un rythme qui entraîne et envoûte le lecteur. Les sonorités contribuent à donner au poème sa musicalité suggestive : les allitérations

Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. Vocabulaire : Indolent : qui agit avec mollesse. Gouffres amers : la mer. Veule : qui manque d'énergie, de volonté. Analyse de la forme

eux. En effet, nous pouvons remarquer tout d’abord le champ lexical de la terre : la chaîne des Alpes, sur une terrasse, la balustrade de granit rose, la grande route, aux flancs des montagnes, de la terre, au tournant de la route, sur le chemin, de la terrasse à la balustrade, l’angle de la route sur la terrasse, à la terre. Cette isotopie relève à la fois de la construction humaine mais aussi des payages naturels. D’ailleurs, le champ lexical est encadré par cette image de la nature non travaillée

métaphore hyperbolique ayant pour but de démontrer la prédominance du chêne. Il est alors, dès ce moment, élément de force et de protection. Il y a dès lors installation d’un champ lexical de la protection et de la force, avec les expressions « non content d’arrêter les rayons du soleil », « brave l’effort de la tempête », « tout me semble zéphyr », « je couvre », « je vous défendrais ». Cela peut faire figure d’arrogance. De plus, le chêne en arrive à dénoncer la nature pour le fait que le

battaient » (l.5-6). b. L’événement est vécu de l’intérieur, à travers le regard, les émotions des témoins : - focalisation interne ; pensées de Hennebeau en discours ind. libre (l. 2-3) ; « on vit » x2 (l. 16-17) ; « on croyait » (l. 21) ; - champs lexical des émotions et sentiments : « espoirs, attente insupportable, l’espérance redoublait l’angoisse, tous les cœurs battaient, une effrayante chose, on croyait, … » : le dénouement est à la fois attendu parce qu’inéluctable, et redouté, parce qu’épouvantable

ici ne le sait“) -la révolte apparaît l.31 „Tout en moi se révulse, se redresse, de toutes mes forces“, l.32 „Je le déchire, j’arrache ce carcan“) -elle n’accepte pas cela 3. Passage dynamique -à l’intérieur de la petite fille il se passe une tempête, ca se mèle, il n’y a pas de calme -le discours directe de la bonne (l.1), des passages du discours directe de la mère (l.12, 13) -les phrases de la fille ne sont pas toujours bien construites, c’est une langue de l’enfant -beaucoup de „ca“, langue

capture de cet oiseau est évocatrice ? Comment Baudelaire nous interpelle-t-il sur la condition du poète ? I) Un récit anecdotique 1) Un poème narratif Baudelaire nous raconte une scène de vie en mer. Il exprime l’idée du voyage grâce à son champ lexical de celui-ci : « Les hommes d’équipages »,  « compagnons de voyage » et « le navire ». Le poète cherche à donner au lecteur l’impression de découvrir un monde auquel il n’a pas accès, il découvre autre chose. 2) Le récit d’une capture - La structure

vérité générale : «  Entre colonisateur et colonisé, il n’y a de place que pour la corvée « ( ligne 1 )  qui vient nous donner une vision pessimiste de la colonisation. Puis le second, le présent d’énonciation : « je parle d’abus », « j’entends la tempête », « à l’heure où  j’écris  » qui permet de nous montrer l’implication de l’auteur, qui évoque des faits en cours de déroulement dans l’actualité. PART I IDEE DEUX Le colonisateur a pour envie d’apporter la civilisation aux peuples africains, ou indigènes

mouvement violent des vagues s'abattant sur le bateau d'Ulysse. Les menaces qui pèsent sur lui le rapproche de plus en plus d'une « atroce mort » (v. 312). Le champ lexical de la nature est fort présent et amplifie le puissant pouvoir du Dieu des mers et des océans: « la mer » (v.304), « vagues » (v.296), « rafales » (v.304), « vents, tempête » (v.316), « l'amère écume ruisselant » (v.322-323). Ulysse est un héros épique par excellence, cause de la discorde des dieux, il est soumis à son destin et

sublimation de ce qu’elle perçoit. Les termes suivant expriment cela : « coule sourdement » L12 ; « bruits de voix » L15 ; « aboiement des chiens » L15. Ensuite, le stimulus de la réceptivité de la narratrice est la nature. Nous pouvons remarquer le champ lexical de la nature notamment avec les termes : « soleil » L10 ; « fleuve » L9 ; « rizières » L20. En effet c’est à travers la nature qu’elle se situe, plus principalement à travers la symbolique du fleuve. Dans ce texte, l’utilisation métaphorique du