Les Champs Lexical De La Tempete

amis au service de la musicalité . Développement : A ) la musique un thème ou un comparé : 1)la musique un art sonore :à travers le poème « la musique » n’est citée qu’une seule fois , et sans reference directe , ce qui fait l’absence d’un champ lexical de la musique , des musiciens , des notes,des instruments,Alors la musique n’est qu’un élément declancheur de l’état qui suit . 2)la musique est un effet : Charle baudelaire vise exprimer une émotion, une séduction violente ,comme étant un ignorant

la majesté, la volupté, la somptuosité, la liberté, la grâce, l'élévation ainsi qu'à la richesse d'esprit et sans bornes. « hante la tempête » : rapport à la force, ici ce sont les côté hors d'atteinte, de courage, de volonté qui sont soulignés. On voit la gaucherie de cet oiseau et les railleries qui lui sont infligés de ce fait avec la présence d'un champ lexical péjoratif. La magnificence de cet oiseau est tout de même soulignée une fois que ce dernier est dans son milieu. Cela montre l'envolée

Appuyez-vous sur les notes que vous avez prises lors de la lecture analytique effectuée en classe, et sur la fiche de vocabulaire de l’analyse littéraire que nous avons élaborée ensemble (voir en annexe). Texte d’étude La Tempête La mer des îles Salomon commençait lentement à s'apaiser, les vagues qui la balayaient étaient encore impétueuses mais elles se faisaient déjà plus longues, plus espacées, et peu à peu s'épuisait le tourbillon furieux qui avait torturé toute

qui assimile un son à une image nous détail cette scène. " douze voix qui traversèrent processionnellement les ténèbres " . Le registre fantastique est suggéré par le cadre spatio-temporel : la nuit, l'orage, le poète seul dans sa chambre, le champ lexical de la peur: épouvante et ténèbres. 2nd stophe : Elle présente une série de phénomène météorologique (apparition des nuages, du vent, et de l'orage) mais racontée sous l'angle de l'étrange : personnification de la lune qui "courut se cacher"

la première lecture, « L’Albatros » se présente comme la narration d’une scène de la vie en mer. → rimes v. 2 et 4 : « oiseaux de mers » / « gouffres amers » → champ lexical maritime : « hommes d’équipage » (v. 1, « albatros » (v. 2) « oiseaux des mers » (v. 2), « le navire » (v. 4), « les planches » v. 5, « avirons » v. 8, « tempête » (v. 14). Mais cet univers est scindé en deux espaces fondamentalement opposés. le sol = les marins → Peu décrits, accent mis sur le collectif « les hommes »

fable : des personnages identiques en apparence, un même évènement (tempête) et un même épilogue (la mort du chêne). Il y a toujours un dialogue dans le récit et la moralité est également implicite, bien que différente. 2) Allusions à la fable de La Fontaine La fable commence par les mêmes mots (premier vers identique) ; expression « Tout comme la première fois (v.18) -> allusion explicite Mêmes amplifications et hyperboles : tempêtes du monde, le géant ; périphrases « le souffle profond qui dévaste

Des oiseaux en symbiose avec le milieu marin« L’albatros » se présente de prime abord comme l’évocation d’une scène de vie en mer. On observe ainsi la présence du champ lexical maritime : « hommes d’équipage » (v.1), « albatros » (v.2), « oiseaux des mers » (v.22), « le navire » (v.4), « les planches » (v.5), « avirons » (v.8), « tempête » (v.14). L’évocation de cette scène en mer s’impose également par les rimes en « mers » aux vers 2 et 4 (mers/amers) qui soulignent phonétiquement le contexte maritime

L’obsession du temps * Champ lexical du temps avec des divisions temporelles : « la nuit », « le jour », « l’aurore », « le soir », « les heures », « l’année », « moments », « l’éternité » et présence d’adjectifs significatifs : « l’heure fugitive », « nuit éternelle ». On observe la métaphore du temps « l’océan des âges » (21, 35-36) assimilé à l’eau → métaphore filée du temps qui coule. * L’opposition des temps verbaux (passé / présent) : le passé évoque le souvenir, l’expérience vécue

et d'égalité et dont la «germination allait faire bientôt éclater la terre». — De la même façon, les mots d'un champ lexical sont mis entre guillemets et suivis de l'indication de la référence. La liste des termes doit être brève et comporter de quatre à sept éléments. Il faut donc choisir les éléments les plus pertinents afin d'appuyer le point de vue. Exemple : Le champ lexical de la noirceur souligne, chez Zola, le caractère angoissant de la mort : «nuit» (l. 16), «ténèbres» (l. 20), «ombre»

souffrance (dans ce cas-ci d’un alcoolique qui est mort d’avoir trop bu : « ci-git » = en dessous est enterré…) B. Contenu du poème ▪ Titre : « Épitaphe d'un ivrogne » ▪ Auteur : Germain-Colin BUCHER ▪ Thème : L’alcool (vin) ▪ Champ lexical : Dépendance aux produits licites (=autorisés). Les produits illicites sont par contre des produits interdits par la loi (drogues dures) ▪ Images : - « Ci-dessous gît le grand meurtrier et tirant de bouteilles » >>> meurtrier de bouteilles