Les Champs Lexicaux De La Peau

Voltige autour de ta beauté. De l'épiderme sur la soie Glissent des frissons argentés, Et l'étoffe à la chair renvoie Ses éclairs roses reflétés. D'où te vient cette robe étrange Qui semble faite de ta chair, Trame vivante qui mélange Avec ta peau son rose clair ? Est-ce à la rougeur de l'aurore, A la coquille de Vénus, Au bouton de sein près d'éclore, Que sont pris ces tons inconnus ? Ou bien l'étoffe est-elle teinte Dans les roses de ta pudeur ? Non ; vingt fois modelée et peinte

défilé d’enragés se cachent dans une grange. C’est par le témoignage de ces bourgeois que ce défilé nous est décrit. Lecture : Les femmes avaient paru, près d'un millier de femmes, aux cheveux épars, dépeignés par la course, aux guenilles montrant la peau nue, des nudités de femelles lasses d'enfanter des meurt-de-faim. Quelques-unes tenaient leur petit entre les bras, le soulevaient, l'agitaient, ainsi qu'un drapeau de deuil et de vengeance. D'autres, plus jeunes, avec des gorges gonflées de guerrières

défilé d'enragés se cachent dans une grange. C'est par le témoignage de ces bourgeois que ce défilé nous est décrit. Lecture : Les femmes avaient paru, près d'un millier de femmes, aux cheveux épars, dépeignés par la course, aux guenilles montrant la peau nue, des nudités de femelles lasses d'enfanter des meurt-de-faim. Quelques-unes tenaient leur petit entre les bras, le soulevaient, l'agitaient, ainsi qu'un drapeau de deuil et de vengeance. D'autres, plus jeunes, avec des gorges gonflées de guerrières

beauté", "tes yeux" ; aspect d'un corps humain : "sourire de givre", "muscles  d'acier", "peau patinée" -> personnification, la ville était paraît presque humaine. "beauté" : premier mot qui  décrit la ville "ta beauté" -> renvoie à la beauté des femmes new-yorkaise. Apposition : ambiguïté entre la beauté de la ville et la beauté d'une femme "ces grandes filles" / métonymie : mélioratif "d'or" pour blondes. Champ lexical du froid : "métal bleu", "beauté froide" => le premier abord de la ville est froid

cm Elle s’intitule « le feu » Le poème « je suis aussi nu que le feu » de Charles LE QUINTREC fait penser à l’élément du feu car comme nous pouvons l’observer dans un premier temps le feu est évoqué dans le titre mais aussi sous plusieurs champs lexicaux. On remarque aussi que ce poème est assez touchant car cet élément pour le moins destructeur, est ici associé à la douceur. On peut donc l’associé a ce tableau. Ce tableau date de 1720 et a pour dimensions:90x125 cm, C’est également une huile

et poétique On remarque le champ lexical des cheveux : « cheveux » , « chevelure » , « tresses », celui des différents sens : l’odorat : « parfum » , « parfumée » , « odeur du tabac » , « opium », « odeurs combinées du goudron, du musc et de l’huile de coco » , l’ouïe : « entends », « musique », « chants mélancoliques », le toucher : « caresses », « roulis », « ardent », « duvetés », le goût : « je m’enivre », « mordre », « mordille » et aussi le champ lexical du voyage et de l’exotisme : «

coordonnées géographiques de ce pays qui est en réalité la France. Problématique : En quoi La Bruyère dénonce-t-il de manière anonyme et ironique ces contemporains ? Annonce des axes : Axe 1 : En se mettant dans la peau d’un étranger qui découvre un pays exotique Axe 2 : En révélant ironiquement une critique de la cour du XVII -ème siècleAnnonce des mouvements : · Mouvement 1 (ligne 1 à 16) : Description des courtisans d’un pays étranger · Mouvement 2 (ligne

qui prend rapidement le parti, qui ne se ronge pas les ongles dans l'incertitude, qui ne se gratte pas les oreilles dans le doute, qui ne piétine pas dans l’indécision ». A travers cette situation, et le reste de l'extrait, on peut voir que le champ lexical du corps est beaucoup utilisé, et cela pour deux raisons. La première, dans le but de montrer un personnage, beau, et la deuxième, de présenter le personnage comme quelqu'un de fort, c'est à dire fusionner la beauté extérieur à la force morale

textes, qui contribuent en elles-mêmes à donner de la force aux engagements des auteurs. Nous nous intéresserons ensuite aux images présentes dans ces extraits qui illustrent les engagements. Enfin, nous étudierons les figures de style et les champs lexicaux choisis pour renforcer leurs propos. La nature de ces textes contribue déjà à donner de la force aux engagements des auteurs. En effet, certaines natures de texte, ont des portées plus argumentatives que d'autres par exemple. Dans Les

points) Question 1 (2 points) Les expressions antithétiques étaient à classer dans les deux champs lexicaux suivants : • champ lexical de l’étiolement (ou de la faiblesse, de la langueur, du dépérissement) : « Une enfant chétive », « muette et immobile », « les yeux […] vides de regards », « sa chair assoupie », « des teintes, pâles, légèrement jaunâtres ». Ce champ lexical renvoie à l’apparence. • champ lexical de la vigueur (ou de l’énergie, du dynamisme) : « Une santé de fer », « des souplesses