Les Chevaliers du ciel

Corpus Texte A : Montesquieu, De l'esprit des lois, « De l'esclavage des nègres » (1748) Texte B : Chevalier de Jaucourt, Encyclopédie, article « Traite des nègres » (1766) Texte C : Voltaire, Candide (1759) Texte D : Marivaux, L'île des esclaves (1725) Questions sur le corpus (4 points) 1. Précisez la spécificité de chaque texte du corpus : genre, registre, procédés retenus pour dénoncer l'esclavage. 2. Présentez une synthèse rapide des arguments développés contre l'esclavage dans les différents

1). Bohort revient de la Quête et raconte la fin de Galahad et de Perceval. Arthur fait mettre par écrit ces aventures et demande à ses chevaliers de faire le bilan des hommes morts durant la Quête ; ils constatent qu'il y en a trente-deux de disparus. Le roi demande à Gauvain combien d'hommes il a tués pendant la Quête ; Gauvain avoue avoir tué dix-huit chevaliers et, parmi eux, le roi Baudemagu. Voyant que les aventures de Logres ont pris fin, le roi décide d'annoncer un tournoi à Wincestre ($ 2-3)

mystérieux chevalier, compagnon de Richard Cœur de Lion, dépossédé de son château par Jean Sans Terre, se présente sans armoiries dans un tournoi ; son bouclier, à côté d’un chêne déraciné portait le mot espagnol « Desdichado »3. La question est de savoir pourquoi ce personnage éminemment romanesque a séduit le poète. Nerval a pu y voir une similitude avec sa propre situation familiale : le pouvoir seigneurial des Labrunie a été aboli par l’Ancien Régime. De même comme le mystérieux chevalier scottien

m'ouvriront le ciel où tremble la mâture D'où tu sèmes, royal, les blancs enchantements, Qui neigent sur mon page, en ma prison muette : L'épouvante, les morts dans les fleurs de violette, La mort avec ses coqs! Ses fantômes d'amants! Sur ses pieds de velours passe un garde qui rôde. Repose en mes yeux creux le souvenir de toi. Il se peut qu'on s'évade en passant par le toit. On dit que la Guyane est une terre chaude. Ô la douceur du bagne impossible et lointain! Ô le ciel de la Belle, ô

pensée, celle de Blanchefleur. La même chose se produit lors du rêve, le corps est présent mais l'esprit est ailleurs, ce qui poussent les vulgaires et les brutes comme Sagremor à penser que Perceval sommeille "Sire, fait-il, la ors semoille Uns chevaliers en cele lande"(vers 4166). Dans leur artcile sur le motif du sang sur la neige ,Daniel Poirion3 et Francis Dubost4 ont développé cette thématique du regard on se penchant sur les scènes où le regard est vecteur entre les personnages sur trois plan

cruel est porté, Il faut boire jusqu’à la lie ! Lorsque mes pas auront franchi Les deux tiers de notre carrière, Sous le poids d’une vie entière Quand mes cheveux auront blanchi, Je reviendrai du vieux Bissy Visiter le toit solitaire Où le ciel me garde un ami. Dans quelque retraite profonde, Sous les arbres par lui plantés, Nous verrons couler comme l’onde La fin de nos jours agités. Là, sans crainte et sans espérance, Sur notre orageuse existence, Ramenés par le souvenir, Jetant

lâcheté du bombardement. La mère portant son enfant mort exprime une douleur déchirante et traduit l'horreur de toutes ces guerres. Ses yeux en forme de larme, , sa langue en forme de couteau( la douleur pointue ressentie), son visage tourné vers le ciel (d'où est venu le drame), tout en elle exprime la souffrance et le désarroi. Au premier plan de la composition apparaît un combattant dont le corps est morcelé, débité et décapité: que de brutalité, d’atrocité ! L’œuvre se dévoile Le langage plastique

qu'elle aime, et d'autre part, il montre une sorte de hasard ou bien que cet amour à était commandé par le destin (ce sont les dieux qui ont suscité cet amour). Le ruban (ligne 12 à 14) symbolise le Duc de Nemours et le fait que c'est un grand chevalier (qui à gagné le tournois. Le corps et l'amour lui font faire des choses sans qu'elle en prenne conscience (Amour qui se révèle). La canne est une métonymie car elle représente le corps du Duc car il est écrit à la ligne 15 qu'il l'avait porté

laissent voir un certain travail d’architecture de la ville. Le courant romantique de l’œuvre, lui, s’entrevoit par la couleur et la matière picturale, les contrastes chromatiques se font plus prononcés, avec le rouge, qui tranche avec la couleur du ciel bleu, et les coups de brosses plus vigoureux. De plus, le spectaculaire de la scène tranche avec la codification qui avait été mise en place par le courant néoclassique. On le voit par le caractère violent de la scène, avec la mise à sac de la ville

par la grève. À travers tout le pays, syndicats de métiers et assemblées locales des Chevaliers du Travail [1] se saisissent de ce mot d'ordre avec passion. Le mouvement est un succès malgré la faiblesse de l'organisation qui y appelle, la FOTLU (Fédération des métiers organisés et des syndicats de travailleurs), malgré l'opposition de la direction nationale de l'organisation majoritaire, les Chevaliers du Travail, impuissante devant l'enthousiasme déclenché par la revendication des huit heures