Les Châtiments

Louis-Napoléon Bonaparte dont il se détache l’année suivante. Il est exilé en 1851 après le coup d’Etat qu’il condamne de manière violente dans Histoire d’un crime. Sous le Second Empire, il vit tour à tour en Belgique, à Jersey et à Guernesey. Les Châtiments paraissent en 1853, ils reviennent sur cette période de sa vie. Cette époque voit fleurir les chefs d’œuvres, notamment La légende des siècles en 1859 et Les Misérables en 1862. Il meurt à Paris le 22 mai 1885. Il est conduit au Panthéon après

traitement inhumain est le seuil intermédiaire et la torture le seuil supérieur. Cette hiérarchie a pour effet direct d’élargir la portée de l’article 3 permettant de sanctionner des faits allant de la torture (arrêt Selmouni contre France) jusqu’au châtiment corporel par fustigation (arrêt Tyrer contre Royaume-Uni). Ce minimum de gravité ne peut cependant être que relatif. Les juges européens doivent en effet se livrer à une appréciation « in concreto » des différentes situations. B. Appréciation

osez-vous avoir des ménageries ? Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, - il faut que la société se venge, que la société punisse. - Ni l'un, ni l'autre. Se venger est de l'individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Le châtiment est au-dessus d'elle, la vengeance au-dessous. Rien de si grand et de si petit ne lui sied. Elle ne doit pas « punir pour se venger »; elle doit corriger pour améliorer. Transformez de cette façon la formule des criminalistes, nous la comprenons

s’avère avoir différentes fonctions moralisatrices (B). La peine de mort et la société : une concomitance Il est avant tout nécessaire d’établir l’origine latine du mot peine afin d’en appréhender la portée. Issu du latin pœna_ _signifiant châtiment, la notion même de peine est liée à celle religion et donc du pouvoir de Dieu sur Terre. Comme il est en relaté dans la Bible, Dieu à fait les Hommes et ceux-ci doivent respecter ses principes, ses commandements. Le terme de commandements est à saisir

COMMENTAIRE LITTERAIRE DE SOUVENIR DE LA NUIT DU 4 (Victor Hugo) Introduction : En réponse à une fusillade ordonnée par Louis Napoléon Bonaparte et ayant fait de nombreuses victimes, Victor Hugo dénonça, dans son recueil de poème « Les Châtiments » grâce à son œuvre « Souvenir de la Nuit du 4 », la barbarie de ce massacre . Cette œuvre, écrite juste après le coup d’état du 2 décembre de Bonaparte, peut être aussi qualifiée d’attaque contre le second empire. Ici Victor Hugo raconte un de ses

C’est hors de lui, exaspéré que Victor HUGO écrit cette poésie intitulée les Châtiments en 1853, suite à l’exécution de trois prisonniers politique sur la place publique sur ordre de Napoléon III. Notre étude va porter sur un extrait de cette poésie et plus particulièrement de la manière dont Victor HUGO fait d’une poésie, un texte argumentatif. Pour ce faire, il s’agira, dans un premier temps, d’observer la façon avec la quel l’auteur persuade le lecteur, ce qui nous conduira a voir que l’auteur

être a part, il n’est pas comme tous les autres. Personne ne peut ou ne pourra faire ce que lui a fait. En réponse à sa constante défiance envers le Ciel apparait le commandeur, lequel serait une manifestation métaphysique de la punition divine, du châtiment divin que l’on sent arriver tout au long de la pièce. Il veut se mesurer à elle car elle est la seule qui peut lui tenir tête, la seule entité concrète a laquelle il peut se comparer en tant qu’égal des dieux. Mais l’absence de peur de Don Juan face

participation de l’Etat. Une peine est une sanction infligée par l’Etat, pour punir une personne qui a commis une infraction. Exemples d’infractions : conduite en état d’ivresse, escroquerie, viol… Suivant la gravité de l’infraction, la peine peut être un châtiment corporel, qui consiste à emprisonner l’auteur de l’infraction. La peine peut être une sanction pécuniaire : l’auteur de l’infraction devra verser une amende. Exemple : amende pour excès de vitesse. Si on a une sanction civiles , la sanction peut

( cf : 34 : cet état ne procure que peur et étonnement, questionnement) II- Le paradoxe humain A) Le péché originel : Fragment 12 : le mot « punition » fait référence à cet épisode biblique : la faute originelle suivi du châtiment dans l’H est illustré par le cas d’Abel et Caïn. Caïn a fait le mal et a choisi délibérément de la faire ( éclairage dans A l’Est d’Eden de Steinbeck Tout cet épisode biblique explique tout le paradoxe humain : 1) il est à l’Origine de la « bassesse »

l’individu Punir <= prérogative divine Rôle de la Société constructif, positif => tournée vers l’avenir corriger pour améliorer Répétition didactique, par juxtaposition, de la même idée sous des formes différentes – se venger =individu, punir = Dieu – châtiment au-dessus, vengeance au-dessous (chiasme avec phrase précéd.) – rien de si grand, et de si petit 3 Il faut faire des exemples épouvanter le criminel en herbe par le spectacle de la condamnation Loin d’édifier le peuple, il le démoralise, et ruine