Les Connecteurs Logiques

de « Quand » et la reprise de « on nous coupe ». Cela donne une impression de lien logique et mécanique entre l’attitude de l’esclave et la mutilation. On retrouve le caractère logique, attendu de sa situation lors de la chute de son discours, lorsque celui-ci dit d’une manière très calme « je me suis retrouvé dans les deux cas » le lecteur s’attend a une rébellion de sa part. L’esclave trouve la situation logique. De plus, le dénûment est présenté très calmement a la manière d’une règle de droit

lecteur. C’est pourquoi tout raisonnement s’appuie sur une ou plusieurs idées principales, elles-mêmes explicitées par des arguments et illustrées par des exemples. L’ensemble des idées, des arguments et des exemples est coordonné par des connecteurs logiques (tout d’abord, donc, c’est pourquoi, par conséquent, d’une part…./ d’autre part, par ailleurs, en outre, ainsi, dans un premier temps…./ dans un deuxième temps, enfin, etc) Schéma simplifié d’une argumentation dans un devoir :

==> D         II. Développement de commentaire   Chaque axe commence par une phrase qui donne la thèse de l'axe, autant de paragraphes qu'il y a de sous axes, pas de connecteurs logiques au début du développement, chaque paragraphe est rédigé sur le principe du paragraphe argumentatif.   Connecteurs logiques   Opposition : mais, en revanche, cependant, alors que Succession : d'abord, ensuite, enfin, d'un part, d'autre part, en outre, de plus Introduction d'une preuve : en effet

exclamations, les phrases coupées et les adverbes. Le débordement est aussi vu par les nombreuses interpelations au lecteur (apostrophes, questions, impératifs). La phase qui suit, celle de l’abattement, se distingue par les nombreuses négations, les connecteurs logiques qui montrent la prédominance de la raison. Le double sens est distingué par des expressions à double sens qui paraissent hyperbolique pour des sentiments mais sont complètement réelles pour le plaisir charnel. Valmont done alors une allure

représenter les unités de sens, il faut déjà repérer les paragraphes, puis les liens logiques structurant (connecteurs logiques, expressions, repérer les changements dans les champs lexicauts, les temps verbaux, l’énonciation.) Tracer un trait horizontal dans le texte au début de chaque unité. Expliciter la logique entre chaque unité l’aide d’un connecteur logique : addition, cause, conséquence, opposition. Logique : - addition - cause - conséquence - l’opposition Enumérer : Ouvrir

dans le temps sans espoir de fin. Enfin, nous pouvons remarquer qu’il n’y a qu’un seul connecteur logique dans ce poème, ce qui signifie qu’il n’y a pas d’évolution dans cette famille. Le seul présent se trouve au vers 14 : « quand » ; il marque en effectivement un moment précis, ce que nous pourrions interpréter comme une évolution, mais le poème reprend son cours, et la vie de la famille aussi. Ce connecteur logique insiste donc sur le fait que même au moment où il pourrait y avoir une évolution, il

-la modalisation Ce terme désigne les moyen par lesquelles l’enonciateur indique son jugement(verbe adverbe emploie du conditionnel) -le registre C’est la tonalité.on peu trouver le registre polémique ou le registre ironique III)la structure logique :Quel son les éléments d’un discours argumentatif ? -Le discours argumentatif traite toujours d’un théme précis(sujet) on doit se poser la question : De quoi parle le texte ?? -Les différentes opinions qui se partage un meme théme s’appel des thése

résolu ». b) Il essaie de résonner. Il se pose des questions métaphisiques : L.2 «  aurais-je peur ? » (…) L.14 : alitération en « s » dans une question. Accumulation L.15 qui montre qu'il réfléchit sur ce qu'il va lui arriver. Connecteur logique qui parcours le texte pour mettre en ordre les idées de G. Focalisation interne. II./ La progression de la peur. a) Des efforts infructueux. Champ lexical de la peur : peur L.2, trembler L.5, pâle L.21.. Gradation de la peur L.8 :

Math´matiques (Rappels) e Licence Eco. Gestion et Droit, L1 Table des mati`res e 1 Raisonnement math´matique, e M´thodes usuelles de e d´monstration et ensembles e 1.1 Rudiments de logique . . . . . . . . . . . . . . 1.1.1 Assertions . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.2 Connecteurs . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.3 Quantificateurs . . . . . . . . . . . . . . 1.2 M´thodes de d´monstration . . . . . . . . . . . e e 1.2.1 D´monstrations ´l´mentaires directes . . e ee 1.2.2 D´monstrations

nouvelle partie ou un nouveau paragraphe, en assurant une continuité avec la partie ou le paragraphe précédent. Les transitions constituent un lien logique entre ce qui vient d’être dit précédemment et ce que vous vous apprêtez à écrire. Très souvent, les phrases de transition commencent par un mot de liaison, qu’on appelle aussi « connecteur logique » : « toutefois, cependant, certes, mais, quoi qu’il Cned 2005 © Tous droits réservés 1/2 en soit, etc. » (voir la fiche les mots de liaison). N’oubliez