Les Conquérants

voyage. Il comporte un extrait d’essai : «Tristes Tropiques » de Claude Lévi-Strauss, un extrait de presse : «Orients rêvés, Orients réels » de Mickaël Le Bris, une BD : « Le photographe » d’Emmanuel Guibert. Il y a aussi un extrait poétique : « Les conquérants » de Jean Marc de Heredia, puis une affiche d’Air France et enfin une photo de touristes devant l’Acropole à Athènes de M Parr. Le voyage correspond-il vraiment à la réalité ? Les documents nous permettent de définir l’ailleurs et mettent en évidences

perpétuel mouvement qui voudrait être arrêté. S'il se préoccupait de son plaisir, il pourrait éprouver de la jouissance ; il pourrait ralentir le temps et l'élargir aux dimensions de l'extase voluptueuse. Mais, raisonnant comme un soldat, conquérant et seulement conquérant, il n'éprouve rien d'orgasmique dans l'orgasme, juste la délivrance d'une tension, la fin d'une gêne. Son désir mort, il attend qu'en naisse un autre, qu'il réalisera aussi en le faisant mourir. La vie de Don Juan s'est concentrée sur

conduit ici" "la divinité que j'adore" = champ lexical du religieux « Nous prêchons la foi chacun de notre côté » 2/ Amour comme une conquête -champ lexical de la carrière militaire >"j'attaque" "l'ennemi" "le but" "conquérant" "carrière" (l10-11) -Un conquérant : Cécile, proie trop facile >"Que me proposez vous" (l 24) >"n'a rien vu" "sans défense" "ne connait rien" (l 25) = chp lexical de l'ignorance « A vaincre sans péril on triomphe sans gloire.  » Corneille Le Cid B/

Mais cette situation pose quelques problèmes qui sont rapportés dans cette lettre. Les deux « ? » aux lignes 24 et 27 introduisent la problématique : la France est décrite comme le royaume le plus puissant et le plus ancien, étant en plus un grand conquérant (lignes 25 à 29) mais dont la plupart des politiciens, mis en évidence à la ligne 47 par les trois mots « glossateurs, commentateurs, compilateurs », qui ont plus sont très nombreux (mis en évidence par ces deux hyperboles : « armée effroyable »

laissent un goût amer. Les populations sont fragilisées et attendent une prise en main qui les soulèvera hors du gouffre. Lors des apparitions d’Hitler, Mussolini et Staline ceux-ci sont alors considérés comme l’ultime espoir du pays. Les trois conquérants profiteront ensuite de la situation pour arriver au pouvoir absolu et écraseront tous ceux qui se dresseront en travers de leur route. Comment les caractéristiques des trois régimes totalitaires ont-elles ouvertes sur une telle ampleur dictatoriale

la séparé de Dom Juan. Ce seul obstacle est suffisant à éveiller le désir de conquête du libertin. Dans la scène 2 de l'Acte I, Dom Juan fait un éloge paradoxal du libertinage amoureux. Il présente la fidélité comme une faiblesse et se compare au conquérant Alexandre en utilisant un vocabulaire militaire crescendo pour décrire la conquête d'une femme. Cette comparaison, qui vient clore cette envolée épique, vise à se saisir de l'Univers dans toute sa diversité et tous ses attraits, "qui volent perpétuellement

une victime de l’amour, comme avec l’emploi des verbes « charmer » et « enchanter », à prendre au sens de l’époque, soit ensorceler. * Il recourt à l’argument de la nature II. Un éloge paradoxal de lui-même 1) Il se désigne comme un conquérant * Il montre qu’il attache plus d’importance à la conquête qu’au résultat : la longueur des phrases marque la progression (l.64-l.72) * Il emploie le champ lexical de la guerre : « réduire », « combattre », « rendre les armes », «  forcer

maintenant ! ». Rastignac affirme toute son ambition, sa volonté de réussir et de prendre possession de tout ce qu’il voit. Il se présente comme un conquérant : il se lance à la conquête de Paris avec un côté théâtral. Très vite, Rastignac revient dans l’action. Il ne reste pas au désir. Il revient au passage à l’acte. C’est le premier dîner d’adulte conquérant. C’est un dîner d’ambitieux et non plus d’amoureux. Balzac le nomme désormais « Rastignac ». Ça sonne dur. C’est un dîner officiel pour prendre

Son but est de se justifier (car Sga désapprouve sa conduite), puis de séduire - utilise des arguments le mettant en position de victime (victime des femmes, de leur beauté, de la nature) - puis il se montre en conquérant L’évolution de la tirade est au service de l’argumentation. B- Le lyrisme de la tirade - CL de l’amour - bcp d’images (comparaison, métaphore filée de l’amour et de la guerre) - homme cultivé et éloquant : phrases longues, énumérations

femmes n'est qu' un effet collatéral de l’amour. L’image que l’on retire du portrait que dresse Dom Juan est celui d’un conquérant, on peut s'en apercevoir dans le texte grâce au champ lexical de guerre employé comme "réduire" , “rendre les armes” , “les petites résistances" , “ à vaincre” , “honneur” , “ en est maître” ,”conquête à faire" , “l’ambition des conquerant” , “volent” ,”de victoire en victoire” , "Alexandre" , “étendre mes conquête” . On voit aussi que Dom Juan n’a pas peur des répercussions