Les Contes Reflet Société

historique : L’auteur met en scène un événement du passé, en regroupant des personnages, des faits imaginés et des actions historiques. Ce genre était en concurrence avec les romans-feuilletons publies dans la presse, ayant un grand succès dans la société du XIXème siècle.  Le roman réaliste : L’auteur pain ici la réalité tel qu’elle est. Il crée un effet de réel avec la vraisemblance du décore, des personnages, des actions, et le gout pour le détail. De nombreux auteurs on définie le roman comme

parodie aussi le roman sentimental, avec Candide qui essaie de retrouver et de sauver Cunégonde pour enfin découvrir qu'elle est devenue laide. Voltaire essaye de nous donner un enseignement en matière de religion. On a par exemple la société de l'Eldorado qui reflète un autre manière de percevoir la religion. En effet les habitants de l'Eldorado sont déïstes, c'est-à-dire qu'ils n'y a pas d'église entre l'homme et le dieu. Voltaire veut nous montrer qu’il faut savoir prendre en main son destin

contemporain et des nouveaux médias Session juin 2012 SOMMAIRE INTRODUCTION p 3-5 I. DE BLANCHE NEIGE À LA BELLE AU BOIS DORMANT : UN INTERÊT PARTICULIER POUR LES CONTES DE FÉES VISANT À REPRÉSENTER LA MORT p 6-13 1. Les contes de fées, de Charles Perrault aux frères Grimm : L’inspiration principale de Walt Disney p 6-9 2. Renaissance des contes à travers l’animation : Blanche Neige le commencement d’une obsession p 10-13 II. OCCULTER LA MORT POUR MIEUX LA RÉVÉLER p 14-24 1. Un fantasme d’immortalité

dissertation/mouvement I. L’impuissance de l’écrivain/litt à changer la société II. Cependant l’écrivain/litt engagée peut faire évoluer les mentalités III. Le rôle de l’écrivain /litt refléter le monde B. 2° étape : rechercher des idées et des exemples 1. Où chercher ? ⇒ Cours : sqces 1 et 2 ms srtt La DDFC + Culture personnelle 2. Trouver les arguments et les exemples ds ce vivier I. Impuissance II. Evo mentalité III. Reflet du monde Arguments + exemples (à trouver pr structurer sous-parties)

Belette et Le Petit Lapin » de Jean de la Fontaine. Jean de la Fontaine est un écrivain français de la période classique (XVIIe siècle) durant le règne du Roi Soleil , Louis XIV. Il a énormément apporté à la littérature française grâce à ses contes, ses pièces de théâtre et surtout ses fables qui ont rendu célèbres ses talents de moraliste. Entre 1668 et 1678, la Fontaine a écrit 243 fables écrites en vers, qu’il a réparties dans 12 livres et qu’il publia en 3 recueils. Le premier, dédié au

participé à la déclaration des droits de la femme ou Mme de Scudéry , une romancière qui a donné lieu à la pièce de Molière « les précieuses ridicules » .Vers 1600, c’est le règne des contes, des farces et des fabliaux : l’on s’y moque des femmes et de leurs multiples défauts, et des maris trompés. Cela reflète une société où la femme est le jouet de l’homme. De plus pour l’Église, depuis le péché d’Ève, la femme est un objet de tentation et elle est vouée à la perfidie. À cette époque, le mariage

la Rose et de l'Idéal courtois du Moyen Âge.Mais elle suit également une évolution sociale:le XVIIe siècle voir en effet l'affirmation d'une société mondaine qui se développe dans les salons aristocratiques--comme l'hôtel Rambouillet,ou Mme de Rambouillet recevait ses invités triés sur le volet--ou bourgeois,tel le salon de Mlle de Scudery.Cette société précieuse,éprise de conversations raffinées et de moeurs galantes,a trouvé refuge dans les salons pour fuir la vie de cour,devenue tres grossière

41 Le trajet vers Le Horla — La « folie » dans les contes « fantastiques » de Maupassant Kazuhiko ADACHI Maupassant, la folie, et le « fantastique » On sait bien que Maupassant a souffert du mal que cause peut-être une syphilis mal soignée et qui a influencé la formation chez lui d’un pessimisme profond. Il est indéniable que l’auteur du Horla a repris plusieurs fois la folie comme thème central de ses contes en s’appuyant, d’une part sur son propre intérêt et son expérience, d’autre part

romans qui font une large part à l’onirisme et au mythe (Désert et Le Chercheur d’or), ainsi que des livres à dominante plus personnelle4, autobiographique ou familiale (L’Africain). Il est l’auteur d’une quarantaine d’ouvrages de fiction (romans, contes, nouvelles) et d’essais. Le prix Nobel de littérature lui est décerné en 2008, en tant qu’« écrivain de nouveaux départs5, de l’aventure poétique et de l’extase sensuelle, explorateur d’une humanité au-delà et en dessous de la civilisation régnante6

bien différent des rêves que l’ont fait la nuit. Son but était de voir les Noirs et les Blancs coexister en harmonie et se considérer comme égaux. Très ambitieux pour un homme de couleur, vivant dans une société où ce comportement de haine entre les ethnies était normal. N’est-ce pas ? Dans la société de l’époque, il était impossible d’espérer une entente entre les deux peuples qui se croyaient tellement différents. Ce pasteur afro-américain a fait d’innombrables démarches non-violentes pour obtenir