Les Corons

« Neuve Ste Geneviève », Flaubert aussi « la Ville-de-Montereau ». La description du décor est tellement réaliste que l’on peut croire que la pension Vaquer existe mais ce n’est pas le cas. Zola dans Germinal explore un milieu social, la vie dans les corons, et un milieu de travail, les mines. On sait qu’il faisait des carnets d’enquêtes dans lesquels il notait ces observations faites sur le terrain. C’est le mouvement naturaliste. Zola dépeint une certaine classe sociale de cette époque et tout comme

cheminée d’usine » ; « une seule voix montait, la respiration grosse et longue d’un échappement de vapeur,  » . Allusion possible à Cerbère , gardien du royaume d'Hades dans la mythologie grecque . Le monde des ouvriers , un monde de damnées : Corons ( habitations des mineurs donnant l'image d'un écrasement : «  C’était une masse lourde, un tas écrasé de constructions » adjectifs « lourde «  et « écrasé » qui dénotent l'idée de pesanteur. Image de la saleté : «  fenêtres encrassées », « les

« Statuette de terre cuite, simple et gracieuse, représentant une jeune femme ou un enfant, provenant du village de Tanagra (Grèce). »Coronée : « Ancienne ville de Grèce, en Béotie, non loin du lac Kopaïs. » https://www.larousse.fr/encyclopedie/ville/Coron%C3%A9e/114743R. Pour obtenir des connaissances, il faut d’abord ne pas les avoir. Ensuite, les avoirs chercher pour après les trouver. Bref, si on prétend déjà savoir, on ne pourra pas le chercher et le trouver. Alors puisqu’il n’a donc pas reçu d’éducation

ce faire, elle étudie 140 affaires de filicides sur différentes périodes de l’histoire du Québec. En plus de nombreuses monographies sur le domaine médical, la psychanalyse, la criminologie etc. Cliche utilise comme sources plusieurs enquêtes de coroner, des journaux d’époques, des registres de prisonniers, la correspondance du procureur général ainsi que nombreux dossiers judiciaires archivés. Le premier chapitre dresse un excellent portrait statistique des différents cas de filicides étudiés

l’herbe, fumées de l’industrie, poussières de la mine, des terrils. Le complémt circonst de lieu « Dans l’ herbe noire(v.1) Il s’agit d’une évocation de l’univers de la mine, mine de charbon. Des êtres parcourent le chemin qui mène de la mine aux corons. De petits êtres, peut-être vus du train, qui longent les rues, marchent sur de l’herbe devenue noire car ces hommes remontent de la mine et n’ont peut-être pas encore acquis le droit de se changer, de se laver. Les Kobolds, dans la mythologie germanique

pour réduire au mieux les transports et les coûts. Cette industrie a donné naissance au « pays noir » qui a pour caractéristiques d'imposantes constructions métalliques au-dessus des puits de mine, des terrils (montagnes de déchets miniers), des corons (maisons de mineurs, toutes identiques et appartenant à la mine), des canaux pour transporter les marchandises. En parallèle, des cokeries et des aciéries se sont installées non loin des mines. Ces vieilles régions industrielles fondées sur les

Dreyfus contre l’opinion publique. 2. Œuvre Germinal (1885) - treizième roman de la série Rougon-Macquart = œuvre ppale, ensemble de vingt romans qui étudient plusieurs générations d’une famille, traite des conditions de vie des ouvriers dans les corons et des disputes dans la classe ouvrière. Personnage principal (Étienne Lantier) devient syndicaliste + meneur principal d’une grève, réprimée par la troupe qui tire sur les mineurs. 3. Mouvement - Émile Zola = chef de file du Naturalisme, mvt

(Aide-mémoire sur le naturalisme, 2022, p.5) Dans le roman à l’étude, on intègre ses caractéristiques initialement avec des conditions de vies pitoyables. L’auteur emploi une énumération pour exprimer la gravité des conditions vécues : « Il revoyait le coron sans pain, ces femmes, ces petits qui ne mangeraient pas le soir, tout ce peuple luttant, le ventre vide. » (Germinal, 1885, p.135). Il débute en exprimant la famine générale chez les mineurs où que même les aliments les plus de bases comme le pain

et pendant la procession des moins où « de chanter n’i ot pas po fait ». On voit que cette liesse est toujours accompagnée par la richesse, l’opulence et la largesse. D’abord on le voit quand les objets symbolisant du pouvoir sont décrits: « deus corones de son tresor,/toutes massises de fin or. », puis le sceptre, incisé d’une façon qui jamais a été vue. Pendant le repas la nourriture est tellement abondant qu’elle doit être servie par milliers de serviteurs «. M. serjant de pain i servoient, / et

Il ne s'agit pas d'un jardin mais d'une courette. Quant à la propreté, elle est impossible à maintenir avec une telle promiscuité et une telle crasse chronique causée par le charbon : le paysage minier, les corons, les mineurs... tout est