Les Damnés de la Terre

légitimité de la remise en ordre de la société, de l’Etat, de l’ensemble du monde. Les moyens d’action varient selon le terrain : grignotage, infiltration, et/ou usage de la violence. Certains se présentent comme les nouveaux défenseurs des damnés de la terre, anti-impérialistes, anti-mondialistes, ce qui peut leur amener des sympathies à gauche, malgré leur attitude vis-à-vis des femmes. Autre problème le déracinement de beaucoup de prosélytes, dont la religion devient la seule identité (voir à

l’interprétation majoritaire, tous les hommes et les djins, seront ou récompensés ou punis, chacun selon ses actes dans cette vie d’ici-bas. Ceux qui auront cru en ce monde et accumulé les bonnes œuvres, seront pardonnés et leurs péchés effacés. Les autres, ces damnés seront pour leur part, condamnés à demeurer en enfer, de sorte que leur peau sera consummée.Ils n’auront comme unique nourriture que le « Zaggoûm » fruit d’un arbre qui pousse en enfer qui leur déchirera les entrailles. Cependant, et dans l’attente

Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris , S'en va

Germinal, il montre dans l’enfer de la mine l’envers du luxe et de la quiétude bourgeoise. Le naturalisme contre les mensonges et les silences romantiques Le naturalisme rompt ainsi avec les mensonges et les silences romantiques. Les paysans de La Terre ne sont pas ceux de George Sand: âpres au gain, violents, mécréants, ils n’ont rien des vertus champêtres, de bonté, de piété, de probité des Marie ou des Germain. Quant aux ouvriers de L’Assommoir, ils contredisent l’idéal menteur des Misérables:

pas besoin de ça en enfer. On n’a pas besoin de dormir en enfer. Il n’y a pas de miroir et cela symbolise le face à face. On ne peut pas bouger les yeux, ils sont ouverts pour toujours et cela symbolise que l’on peut voir le mal que l’on a fait sur terre. Seul, il est saisi d’une crise de désespoir quand entre Inès, l’ancienne employée des postes, très sur d’elle-même. Tous deux ont peur et se demandent ce qui va se passer, ce qui va leur arriver et très vite ils se rendent insupportables

(les hauts fonctionnaires) La bourgeoisie Le classes populaires (artisans, gondoliers, servants)Une crise économique et sociétale· Déclin de Venise en tant que puissance maritime depuis le début du XVIII s· L’économie s’appuie sur les domaines de terre-ferme. Les conflits entre France et Autriche (guerre de succession polonaise (1733), autrichienne (1735)). Affaiblissement de Venise qui, en choisissant la neutralité, expose son territoire au passage des troupes françaises et autrichiennes.· La tentative

habillé de flammes) II.Les enseignements de ce récit A) La forme de l'apologue récit bref et elliptique : pas beaucoup de détail + formule initiale du conte «il y avait un... ») peu de personnage ( on ne voir ni les gens du festin ni les damnés) gros écart entre récit (4 phrases) et histoire (toute une vie) généralisation de la situation → «vous» , «nous» + «du riche» et «du pauvre» : ils sont les représentants de toute une classe : ainsi le texte par d'un homme et évolue à (les frères)

dernier est assez intéressant dans la mesure où l’histoire se déroule en Angleterre. L’auteur a donc intelligemment profité des expressions « courantes des anglais » dans le but de mieux faire pénétrer le lecteur dans l’histoire par exemple, « God damn and blast your bloody eyes » (p.17) littéralement : Dieu damne et détruise tes yeux sanglants ; ou encore « Wattsamatter ? » (p.176) étant du langage familier anglais voulant dire : Que est le problème ? En conclusion : ce roman permet au lecteur

nouveaux mânes ignorent le chemin vers la cité stygienne, là où se trouvent les cruelles demeures de Dis1, le sombre roi. Cette ville est ample, pourvue de mille entrées, et de portes ouvertes de tous côtés ; et comme la mer reçoit les fleuves de la terre entière, ce lieu reçoit toutes les âmes, n'est exigu pour aucun peuple et quand une foule arrive on ne le remarque pas. Des ombres exsangues y errent, sans corps et sans ossature ; les unes hantent le forum, d'autres le palais du tyran d'en bas, d'autres

trouverait un adversaire de taille devant lequel il ne devra qu'avouer sa défaite.      Certains argueront que la foi ou la croyance en un quelconque dieu est quelque chose qui ne sied pas au fait moderne. La foi moyenâgeuse ne saurait vivre en terre moderne. Elle, trop archaïque, ne saurait relever le défi de la modernité. Notre maitre Progrès l’a fichu à la porte depuis des lustres, nous n'avons plus besoin d'elle. Nous sommes enfin libres, cette foi qui enchaina notre raison n'est plus. N'est-ce