Les Deux Sources de la morale et de la religion

n’est pas le seul système qui impose aux individus des règles de conduite sous la contrainte. On peut aussi noter la morale, et la religion. La morale c’est un rapport d’opposition entre le bien et le mal. Elle se base sur la conscience de chacun. La morale et le droit possèdent des règles communes : l’honnêteté, la dignité de la personne humaine. Il y a aussi des différences. La morale a pour objectif le perfectionnement personnel de l’homme. Le droit vise à conserver l’ordre social, soit son rapport

par la police, un panneau de signalisation, etc... C'est défini dans l'absolu. Traditionnellement, le droit est un ensemble de règles de conduite, assortie de définitions trop simpliste, apparue fausse avec le temps... 2. Source du Droit Depuis 200 ans, beaucoup d'autres sources sont apparues. Les Français ont réfléchit et ont apportés des nouvelles lois. 3. Sujet du droit Le droit est un phénomène social, c'est un moyen d'organiser la société, c'est un outil. Le but n'est pas seulement d'édicter

en prison pour l’homme. La théologie politique gnostique est paradoxale, en ce qu’elle peut mener à deux attitudes différentes : d’un côté, l’ascèse et le retrait d’un monde jugé mauvais ; de l’autre, l’entreprise d’une politique révolutionnaire, destinée à détruire le monde au profit d’un nouvel ordre juste et bon. La troisième et dernière théologie, enfin, se tient à équidistance entre les deux précédentes. Dieu est ici pensé comme un être transcendant, ni lointain ni installé dans le monde.

composent. Ces règles ont des effets contraignant. Le droit occupe une place centrale dans les sociétés occidentales, dans d'autres cultures sa place est plus modeste par exemple en Chine le droit est perçu comme la manifestation d'un défaut de rigueur morale. Donc le droit est une technique en occident qui permet aux Hommes de s'organiser. II) Le droit et les autres mode d'organisation des rapports sociaux A) Le droit et la justice 1) Rapprochement entre droit et justice Droit et justice ont des rapports

PHILOSOPHIE POLITIQUE, 2ème SEMESTRE Chapitre 1 : La modernité comme sortie de la religion ? Problèmes et enjeux généraux. I. Qu’est ce que la modernité ? Essai de définition. 1 cas : être moderne c être ds un rapport spécifique avec le passé et l’avenir. 2 cas : rupture avec le passé. Dans ce cas là, 2 sens possibles : 1) terme fréquemment employé au 19ème siècle 2) au sens technique, moderne s’oppose à médiéval ou au contemporain. Le 2ème sens apparaît vers 1800 en France et en GB :

C’est une exigence morale, ou encore du droit qui est un instrument de l’organisation de la société. 1- L’existence de règles non-juridiques. Certaines règles relèvent d’autres terrains que la jurisprudence, tel que la religion, la valeur… a. Règles morales et règles juridiques. « Tout ce qui est licite n’est pas pour autant honnête » - jurisconsulte Paul ; certains actes qui nous gênent ne sont pas pour autant condamnables, comme l’adultère, par exemple. Deux autres exemples :

définie comme la règle de conduite sociale dont le respect est assuré par l’autorité publique. Elle présente à la fois des caractères généraux et un caractère spécifiques qui va lui permettre de la distinguer des autres normes telles la religion ou encore la morale. I- La détermination de la règle de droit A) Un caractère obligatoire, général et abstrait de la règle de droit. Tout d’abord nous pouvons distinguer trois caractères de la règle de droit. La première est celle obligatoire

ici omniscient chez Zola et nous donne une idée très précise à travers les nombreuses descriptions des mines. Chez Hugo nous avons un dialogue qui fait parler une des victimes de la société ce qui donne un impact plus grand sur le lecteur. Les deux autres textes se focalisent plutôt sur l’immoralité de la société et de la perte des valeurs fondamentale dans le milieu aristocratique (chez Balzac il s’agit de l’amour filiale car les filles du père Goriot sont ingrates ; et chez Maupassant il s’agit

Dissertation : le droit la morale et la religion. INTRO : Depuis toujours les relations entre droit, morale et religion ont été tres étroites. Les deux derniers éléments du sujet ont toujours grandement influencé le premier, trouvant son fondement dans ceux ci. L’article 1133 du code civil dispose que « la cause est illicite, quand elle est prohibée par la loi, quand elle est contraire aux bonnes moeursou à l’ordre public », il montre donc bien l’inffluence qu’a la morale sur le droit. Même

bien leur œuvre ; il a même contribué à la publication posthume du traité de Descartes sur L’Homme. Il ressent pour ces deux hommes une estime certaine, qui n’exclut pas de sérieuses réserves.   Pour Pascal, Descartes est le « docteur de la raison », le type de ce que les Pensées appellent un dogmatiste, qui accorde la plus grande confiance aux capacités théoriques et morales de l’homme. Pascal admire surtout en lui le promoteur de l’analyse et de la méthode. L’auteur du Discours croit la raison