Les Diaboliques Personnages

de sa confusion un nouvel ordre. I- Le scandale du mal : Le mal dans Macbeth bat son plein, il agit en force sur les personnages et les transforme en pantins prêts à exécuter les manœuvres les plus sordides. Faire du mal physique ou moral devient ainsi partie prenante de leur être, une manière de s’affirmer et de se faire valoir. A-le mal physique : Les personnages dans Macbeth se partagent en bourreaux et victimes, ils provoquent ou subissent le mal dans sa différence et ses pires états

l'assemblée est coupable de ne pas avoir pris la peine de chercher le coupable. Rousseau et Marion: Tout au long de l'extrait, Rousseau utilise différents adjectifs, verbes pour décrire les personnages. Rousseau fait de lui une description dure: il a un cœur barbare, une impudence infernale et une audace diabolique. Marion est belle physiquement et moralement. Elle est jeune, jolie, fidèle, sage. Elle a "un regard qui aurait désarmé les démons" et "une angélique douceur". Toutes ces descriptions donnent

sur les gendarmes ni sur la justice pour les assurer mais plutôt sur « les escopettes de ses gendres ». Un patriarche archaïque L « Falcone », le nom de famille de Mateo, signifie « faucon ». Quelles caractéristiques physiques et morales du personnage cet oiseau de proie évoque-t-il ? Le nez aquilin de Mateo fait référence au faucon ainsi que son acuité visuelle lui permettant d’atteindre une cible placée à quatre-vingt pas, dans l’obscurité ou d’abattre un mouton « à cent vingt pas » (l. 42)

étudié de l’œuvre, le narrateur personnage raconte son enfance et adolescence solitaire, insouciant du temps qui semble l’emporter. Quels procédés, utilises par l’écrivain, permettent la caractérisation du personnage marginal du roman ? Et quel est le destin que semble poursuivre le personnage en l’absence de Cousine K? Dans un premier temps nous analyserons les différents procédés utilisés par l’écrivain pour mettre en avant la marginalité du narrateur personnage, pour ensuite s’intéresser, dans

choisie: la fatalité l' a vaincu. 7.3Thème 3 : La noblesse La noblesse,toute l'action se situe dans la cour d'Espagne,tous les personnages nobles incarnent l'image d'une noblesse dégradante,Don Salluste est laid et Don César est devenu un gueux,seul Ruy Blas incarne un personnage grand,qui n'est pas noble mais a la noblesse du cœur que le peuple a. 8.Personnages principaux 8.1Personnage 1 : Ruy Blas. Ruy Blas, valet de Don Salluste , cultivé, honnête et amoureux de la Reine est le héros

véritable identité au tribunal pour sauver le malheureux. Avant d’être emprisonné, il assiste à l’agonie de Fantine et lui jure de protéger Cosette. Il s’échappe finalement pour se rendre à Paris. Cosette devient servante chez les Thénardier, couple diabolique qui s’enrichit en détroussant les morts tombés sur le champs de bataille de Waterloo. Valjean de son côté a été rattrapé par Javert, mais s’est échappé une nouvelle fois en faisant croire à sa mort par noyade. Il sauve Cosette de la tyrannie des

dialogue (le personnage est seul), avec une musique omniprésente. Dans le reste du film, il y a beaucoup de tension, de peur et de brutalité. Ce passage est aussi l’occasion de nous dévoiler une autre partie de la personnalité du dictateur. Le cinéaste met en scène ces sentiments en jouant sur trois registres: a) il donne un côté enfantin à Hynkel : - en le faisant jouer avec le globe - en le faisant sauter, danser, grimper au rideau, bondir sur son bureau, … - en en faisant un personnage incapable

une réflexion chez le lecteur? Tout d'abord, cette page comporte tous les éléments d'un dénouement de conte. Premièrement, on peut relever dans ce texte de nombreuses caractéristiques du conte. On remarque la présence de personnages communs, des personnages traditionnels : un "pèlerin", un Roi et sa "cour" composée de "gens" et plus particulièrement d'un "ministre", une "maîtresse" et un "favori". De plus, on remarque un cadre spatio-temporel typique du conte : une époque presque intemporelle

due au hasard et à la chance. C’est pourquoi Marivaux met en scène l’amour qui naît de fausses confidences organisées grâce à une stratégie de manigances et de mensonges. Ce type de comédie italienne n’est pas nouveau. Marivaux a su prendre les personnages classiques et comiques comme Arlequin et leur donné une touche française et drôle. Les « fausses confidences » qui parsèment la pièce prennent des formes diverses et recourent à des moyens différents – une confidence verbale, par exemple, peut

notion qui, pour Alain, pose problème que le terme et un certain usage qu'en a fait le freudisme (c'est-à-dire l'héritage de Freud et la vulgarisation de sa pensée). L'inconscient est, en effet, présenté comme un personnage mythologique ou un autre Moi, « une sorte de mauvais ange, diabolique conseiller » (Elément de philosophie), qui agirait en moi malgré moi, comme un double caché, qui commanderait mes passions, mes peurs et tout ce qui, en moi, échappe à ma conscience. Or, cette représentation n'est